Questionnaire Andrew [Gryffy]

Prem ! Bienvenue et amuses-toi bien ! clin2

Bienvenue à Poudlard !!!

Bienvenue à Poudlard !!!!

Gracias tout le monde !!

kikou

Bienvenue!

Bienvenue et amuse toi bien Andrew!

Bienvenue^^

Bienvenue.

Gracias ? hablas espanol ? mdr

Bienvenue a toi

Si James ! Mdr

Mais juste un peu lol ! Merci à vous tous, je vois qu'il ne faut surtout pas s'inscrire pendant les vacances scolaires, comme les directeurs et admins ne sont pas là. Je crois que j'aurais du y penser plutôt, vous ne croyez pas ?

Je suis certaine qu'ils viennent faire un tour de temps en temps =)

J'aimerais bien moi ! Xd Pour passez le temps : :music2: :music2: :music2: :music2: :music2: :music1:

Joder, que me va a pasar si tu tambien hablas el espanol jaja^^

Bueno bienvenido^^

Graçias Gabe

Merci est si cela peut vous aidez pour trouvez ma maison, j'en serais ravi de le mettre :

C'est dans un hôpital chic de New York que nait Andrew. Il vécu très heureux, avec son père et sa mère, jusqu'au jour de ses cinq ans. Il allait dans une sympathique école moldue, avait des camarades agréables, se montrait souriant, petite bouille innoncente et naïve. Jusqu'au jour où il tua la mascotte de la classe. Une petite bestiole, un cochon d'inde peut être, le mordit cruellement à la main. Ses yeux étincelèrent, autant de rage que de surprise. Il venait de découvrir que tout n'était pas bon et rose dans son monde, et que le sang pouvait couler pour des broutilles. Il ne réfléchit pas. Il ne pouvait pas contrôler ce pouvoir fluide qui ruisselait dans ses veines. Le sang d'un sorcier. La bête explosa au toucher du petit garçon. Les parents furent convoqués. La mère essaya de se convaincre que tout ce qu'on lui avait dit était un canular, mais devant l'étrangeté de la situation, des autorités supèrieurs furent convoqués. Une pèriode noire commença alors. Rattrapé partout où il allait par sa réputation, Andrew était rapidement exclu de chaque école, ou ne s'y sentait jamais bien. On le regardait, le montrait du doigt, et même quand on ignorait qui il était, il avait toujours l'impression que les gens le fixait du regard, lisant en lui comme dans un livre ouvert. La même paranoïa prit place dans le coeur de sa mère, qui l'aimait tellement, désepérement. Elle avait honte, honte de son fils, honte de ne pas pouvoir le protéger. Après une énième intervention violente auprès d'un principal de primaire, elle mourrut.

Anthony Eanrslow devint presque fou. Lui qui avait tout quitté pour sa femme, il l'avait suivie dans tout le pays pour sauver son petit garçon. Bien sur, c'était de sa faute si elle était morte, c'était à cause de lui que leur enfant n'était pas comme les autres, bien sur... Ou peut être était ce cet enfant qui était maudit...? Malgré les remarques du médecin qui lui affirmèrent que sa femme était décédée à cause d'un défaut cardiaque qu'elle avait depuis la naissance, Peverell Senior devait agir, passer sa colère sur quelqu'un. Si ces actes lui auraient semblé ignoble quelques années plus tôt, la folie lui arrachait la vue, et il frappa, se noya dans l'alcool. Lui et Andrew déménagèrent une dernière fois, en Ecosse, et plus jamais Andrew ne sourit. Il avait vu sa mère mourir, et, au fond de lui, il était sur que c'était de sa faute. Tout en lui hurlait cette vérité, les coups de son père le prouvaient, sa rage de même.

Andrew s'enferma dans son mutisme, il s'enferma dans le seul endroit où il lui restait un peu d'intimité : son esprit. Là, personne ne pouvait le battre, personne n'avait le droit d'entrer. Il s'agissait de son terrain,de son royaume à lui, et personne ne pouvait lui imposer une loi à laquelle il n'adhérait pas. Son âme était sa forteresse. Les quelques souvenirs heureux qu'il avait sut préserver de l'enfance, de l'oubli et des coups devinrent ses trésors. Quand il finissait par être las d'être puni, erreinté par les coups qui ne cessaient de pleuvoir, drogués par les vapeurs d'alcool, il pouvait toujours se réfugier là où les autres ne pouvaient matériellement pas entrer. Son père n'avait pas le droit de venir fouiller dans ses pensées, au moins, ici, il n'y avait pas de risques qu'on l'humilie, qu'on lui fasse encore plus mal. Peu à peu, ses vérités lui apparurent comme des évidences, et quand il eut tout à fait saisi le pouvoir de son inconscient, il se jura que personne n'aurait jamais un quelconque pouvoir sur lui. Et pour cela, il devait bâtir soigneusement des murs virtuels autour de ses pensées et de sa mémoire. Sans savoir réellement comment se nommait ce qu'il s'efforçait d'apprendre seul, Andrew se formait à l'Occlumencie, sans autre professeur que son esprit et sa motivation. Lui qui avait besoin d'un but, il s'en était trouvé un : rendre son Intèrieur intouchable.

Un jour vint une libération qu'Andrew n'attendait plus: la lettre de Poudlard. Ce ne fut pas de la joix qui se peignit sur son visage, mais du soulagement. Enfin, il n'allait plus avoir à subir les enfermements, les punitions répétées, et tous ces autres traitements ignobles et innomables ! Presqu'optimiste, la première année de l'adolescent fut d'un désenchantement rare. Cela faisait si longtemps qu'il ne s'était pas vu dans un miroir qu'Andrew eut du mal avant de comprendre pourquoi on le rejetait aussi violemment. On chuchotait, on riait dans son dos. Encore une fois, il fut conforté dans ses convictions personnelles : l'esprit était bel et bien le seul endroit que l'on pouvait maitrisé un temps soit peu dans une vie qui ne cessait de se convertir en désillusions funestes. Une fois encore, Andrew prit son mal en patience. Après tout, il était mieux ici que chez lui. Et puis, tout le monde ne le rejetait pas. Reconnu par ses professeurs comme un élève travailleur, calme et studieux, Andrew réussit à se maintenir dans les premiers de classe, sans pour autant être le meilleur. Il restait dans l'anonymat le plus complet, mais portait une terrible étiquette: celle qui voulait dire qu'on n'était pas pareil, qu'un monde le séparait des autres élèves, qu'il n'avait pas sa place parmi les autres.

Si la vie n'était pas toute rose à Poudlard, chacune des vacances scolaires d'Andrew lui arrachaient des spasmes furieux, causés à la simple idée de revoir son bourreau... Si les autres enfants n'étaient pas des plus agréable, au moins, la seule présence du château avait quelque chose de rassurant : il était assez grand pour qu'il puisse s'isoler quand l'envie lui prenait. Ainsi, on imagine sans peine combien sa détresse fut grande quand il apprit la fermeture de l'école durant toute une année. Il avait pris l'habitude d'être loin de sa famille pendant un an, et voilà qu'il allait devoir endurer une fois de plus les incessantes brimades patriarcales. Ces 365 jours furent les plus longs de la vie d'Andrew, mais le pire était dans cette question : "l'école allait elle rouvrir ?" Le soulagement fut intense, presque heureux quand il apprit que ses études reprenaient. Il mit du temps avant de s'apercevoir qu'il manquait une table dans la Grande Salle. Après tout, il n'avait jamais réellement fait attention à ce qu'il se passait auour de lui. Mais quand il s'en rendit enfin compte, une irritation sourde prit place dans son coeur: on avait touché à son école. L'équilibre à peu près stable dans lequel il aimait se réfugier avait été chamboulé. Un sentiment étrange prenait place dans son coeur, et il devint évident que Poudlard avait été la seule chose au monde à laquelle il avait porté de l'affection, après sa mère. Isolé des journeaux et de l'information des sorciers, Andrew ignorait ce qu'il se passait dans le monde magique. Mais une chose était sure : on n'avait pas le droit de toucher à Poudlard comme ça. Il fallait payer.

La septième année d'Andrew commença ainsi : par une prise de conscience étonnante. Cette année serait elle différente ? Andrew pourrait il trouver une autre raison de vivre que celle de survivre ?

Merci Elizéa

Cool je suis à Gryf ouai trop fort !

dit donc quand tu aura ta maison sa te dit une petite copine

Peut-être on sais jamais, mais pourquoi cette question ?

Bienvenue^^