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Le temps d'un soir

 
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 Le temps d'un soir

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Ulrich Liechtenstein


Ulrich Liechtenstein
Assistante de Potions



Masculin
Nombre de messages : 2628
Date d'inscription : 29/06/2008

Feuille de personnage
Particularités: Masochiste
Ami(e)s: Hazel Woodley dans mes plus grands fantasmes
Âme soeur: Katie Bell, mais ça ne change rien au fait que je vais en épouser une autre.

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MessageSujet: Le temps d'un soir   Le temps d'un soir Icon_minitimeDim 13 Juin - 14:32

Voilà maintenant quatre ans que nous nous connaissons. Et je le déteste. C’est un monstre ! Il est l’homme le plus beau qu’il puisse exister sur cette planète, l’homme le plus séduisant que je n’ai jamais vu. Ses yeux gris qui me fixe sans me voir à l’autre bout de la classe, ses cheveux blond mi-long qui au vent, volette de façon si sexy, que je mon corps fond d’amour pour lui et quand il cligne de l’œil quand une femme, bien plus belle que moi, lui sourit… j’en meurt. Je l’aime.

Mais derrière cet air d’ange, c’est un véritable diable. Il ne me regarde jamais, il ne me connais pas. Lui il connaît les filles populaire qui se pavane comme des idiotes devant lui, lui il connaît le plaisir d’être aimé par toutes celles qu’il désire. Puis, quand il a ce qu’il veut, il le met de côté. Ce n’est qu’un enfant égoïste qui se tue pour un jouet avec lequel il jouera que quelques secondes.

Je le hais, quand je ne le vois pas, je suis si heureuse. Et quand il est là… je sens mon corps qui ne désire que son souffle sur moi. Je me sens si sale. Comment puis-je aimé un homme aussi odieux alors que près de moi, j’ai celui qui m’aime et qui me rend heureuse? Oui… alors que je vous confie sa, un autre homme est entrain de mes serrer dans ses bras, et mon regard, ne fixe pas.

J’ai mal… je souffre alors qu’on me caresse si tendrement le bras. Mon âme pleure et mon cœur bat si vite que je ne me souvient plus quand il battait a un rythme régulier. Que puis-je faire? Que suis-je sensé faire? Aimé un homme plus que tout mais n’avoir d’yeux que pour un autre?

J’étais si triste, si perdu ce soir là. Mes doutes n’étaient que plus fort et sentant une raideur en moi, mon tendre et moi nous nous étions prit de bec. Je divaguais dans mes pensés, je ne savait plus quoi dire, quoi pensé, qui être… quand il apparut tel un ange devant moi. Un ange diabolique. L’ange de mes envies, de mes péchés et de mes désires.

Mon corps trembla, mes joue se pourprèrent et mon regard ne pu quitté ses doux yeux de démon. Et l’ange me regarda, me sourie et je fondis, encore une fois. Il s’arrêta devant moi, me fixant sans me parler, puis, et ne me demander pas pourquoi mais depuis tout ce temps qu’il n’était que celui qui était impossible à avoir et que je n’aurait jamais, celui qui était si loin de moi et qui était devant moi, je m’approchais de lui, et aggripant son t-shirt si doux au touché, je pressait mes lèvres contre les sienne, dans une unique étreinte.

Le temps passa si vite, et moi qui ne connaissait rien en la chose, j’étais si plongé dans cet unique baisé que je me souvint pas de comment j’étais arrivé là, mais je me retrouvais allongé sur un lit qui m’était inconnu et sur moi, l’homme de mes désirs, l’homme de mes rêves.

J’étais si gênée et lui, si sur de lui. On ne parlait pas, les mots étaient inutile. Il avait tant l’habitude de faire ce genre de chose tandis que pour moi, c’était la première fois. Allongé sous lui, il passa ses douces mains sous ma chemise, puis, décrocha le premier bouton, et les autres. Ne laissant que sur moi, le dernier bout de coton qui retenait la poitrine.

Jamais un homme encore ne m’avait vu ainsi et je savais qu’il ne verrait pas que cela. J’avais envie de lui dire d’arrêté, j’avais peur, je n’étais pas prête mais comment dire non quand son propre corps et notre plus grand traître? Tandis que je pensais non, mes mains glissaient déjà sous son t-shirt caressant son dos de manière inexpérimenté.

Me redressant, je le lui retirais tandis qu’il dégrafait de manière si experte mon soutien gorge. Et nous nous replongeâmes dans un baisé si passionné que je ne pensait pas offrir autant d’amour à un homme par ce seul geste. Puis, je retombais sur le lit, allongé tandis que ma jupe glissait sur le sol et que lui, déboutonnais son pantalon, qu’il enleva également rapidement.

Ses yeux scrutait mon corps sans négliger le moindre espace. Que pensait-il? Était je belle a ses yeux? Je ne savais pas, mais j’avais le sentiment qu’il me désirait, qu’il avait envie de me prendre pour lui. J’étais un objet dont on se fichait du nom mais qui pouvait rapporté gros. Et vous savez quoi? Sa n’avais pas la moindre importance. Si je devais être l’objet d’un homme j’aurais donné tout ce que je possède au monde pour être le sien.

J’étais nue, et lui aussi. Je n’avais aucune expérience ni aucune comparaison mais son corps était si attirant… je le touchais, le caressais, voulais le sentir en moi. Mon corps tremblait d’excitation sous lui alors qu’il ne fessait qu’exploré mes partie intime avec ses doigts. Tout mon corps était en transe, je ne réfléchissait plus, je le désirais. Je le voulais en moi, je voulais mourir en lui et crier de douleur si cela pouvait lui procuré le moindre plaisir. J’offrais mon corps et mes pensés à ses yeux d’ange qui, alors qu’il me regardait, me disait qu’il était le diable.

Son boxer tomba et, alors qu’il était a genou sur le lit je pu le voir pour la première fois en entier. Cet homme… c’était le diable car même les anges ne pouvaient être aussi beau que lui. Il était tout ce qu’il y avait de plus malsain et tentant au monde. Son ventre plat qui semblait être si musclé et ses hanches droites et fine qui donnait une image de puissance… ses jambes lisse et forte… et son héritage… dressé et fière qui fessait de lui un véritable homme.

Il s’allongea sur moi, embrassant mes lèvres encore une fois, se plaçant de manière confortable il entra en moi tout doucement puis. Je sentis une petite douleur et il s’arrêta. Il du sentir cette porte en moi qui était encore fermé. Je n’avais jusque-là laissé personne la franchir et, le sourire sur son visage d’ange confirma qu’il l’avait comprit.

Maintenant je sais que de savoir cela, l’avait excité encore un peu plus. Est-ce que savoir que l’on est le premier d’une femme, celui qui marquera sont corps à jamais procure une envie supplémentaire? Une envie de conquête, et bien oui. Car lui qui jusque la avait montré tant de douceur, devint comme un animal sauvage qui ne peu plus contrôlé ses envies.

Je gémissais. Quand il approcha ses lèvres de la zone défendu pour rendre mon corps encore plus souple et plus désirable à ce qu’il me prenne, je ne pouvais plus contenir mes envies. Je n’aspirais a présent plus cas une chose : Qu’il me fasse l’amour.

Puis, il entra en moi d’une manière si violente que la douleur fut inssuportable, mais durant seulement quelque secondes. Maintenant j’étais une femme…

Je me cabrais, gémissais sous les coups de bassin qu’il affectait en moi. Ses va et viens me fessait quitté mon corps pour me plongé dans un moment de pur plaisir et d’envie. Ses mouvements devenait si violent et sauvage qu’ils me procuraient un tourbillon de plaisir ultime. Je criais son nom de plaisir et il n’arrêtais pas la cadence, je sentait monté en moi le plaisir suprême, celui que je ne pourrais jamais oublié.

Et comme prévu, mon corps entier se contracta et dans un cris de joie, j’atteignit mon orgasme. Ce fut à ce moment là que son plaisir a lui aussi explosa car je sentis s’écoulé en moi son liquide chaud. Il s’effondra sur moi le souffle coupé. Il me manquait également de l’air. J’avais besoin de respiré un peu… et je m’endormi dans ses bras.
Le matin, j’étais seule dans le lit et ce fut un autre homme qui me réveilla. Je ne comprenait pas trop ce qu’il voulait mais apparemment j’étais dans sa chambre… dans son lit… et toute nue plus clore le tout. Il était très énervé et je quittais les lieux aussi vite que je pouvais.

Voilà maintenant quatre ans que nous nous connaissons. Et je l’aime. Je pense a lui ce soir,
Si mon amour pour lui a tord, est que mon âme aimera encore? il est l’homme sans qui, tout s’éteins dans mon corps, il est le seul homme que désire mon corps. Je donnerais ma vie, mes jours, pour une nuit. Je lui donnerais mes rêve pour ses lèvres sur les mienne. Je risquerais mon âme, mes espoirs, et, j’épuiserais mes larmes s’il le voulais. Je donnerais toute ma vie, pour qu’il m’aime encore une nuit.





Voilà, dites moi ce que vous en pensez sincèrement. Le temps d'un soir 39359
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MessageSujet: Re: Le temps d'un soir   Le temps d'un soir Icon_minitimeMar 13 Juil - 10:48

woua... c'est très bien écrit!
ce genre de texte doit être assez délicat à écrire et le résultat est vraiment bien! tu tombes pas dans la vulgarité comme certaines autres fictions que j'ai put lire... c'est très bien!!
et on sens l'amour du personnage même si ça reste un texte assez triste je trouve...
en tout cas bravo! ^^ très bien écrit, ça fait passer des sentiments...oui, vraiment c'est bien!
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