Emy Windless

- Nom : Windless
- Prénom: Emy
- Date de naissance : 3 juillet 1998
- Physique :

Emy fait 1,71m, elle a les cheveux blonds portés mi-long, des yeux bleus, elle est de corpulence normale, elle a un style vestimentaire bien a elle, elle aime porter des couleurs vives comme le rose bonbon, le vert pomme, le jaune, le bleu, etc.
Emy a toujours un sourire sur les lèvres et il lui arrive souvent de sourire toute seule pour un rien.

- Caractère :
De nature curieuse Emy, se retrouve toujours dans des situations délicates dont sa maladresse ne l'aide pas à se sortir. Elle ne peut pas s'empêcher de se moquer des gens, disons carrément qu'elle adore se foutre de leur gueule. Emy aime jouer la rebelle et ne supporte pas d'être comme les autres, elle aime contredire pour contredire. Elle a un sérieux problème avec l'heure, c'est-à-dire qu'elle est incapable d'arriver l'heure et puis c'est une grosse pantouflarde totalement amoureuse de son lit et de sa couette. C'est aussi une grande gourmande.


- Famille
Son père s'appelle Johannes Windless, Jo pour les intimes
Sa mère s'appelait Isana Windless, mais malheureusement elle est décédée lorsqu'Emy avait six ans.


- Histoire
Je m'appelle Emy Windless, j'ai des parents qui adorent voyager et changer de vie sur un coup de tête, du coup depuis ma naissance j'ai été balloté de pays en pays. Je suis née en Allemagne dans un petit village nommé Dillingen de parents anglais. J'y ai vécu jusqu'à mes six ans, jusqu'à la mort de ma mère, ensuite, on est partit au canada à Toronto plus précisément. Deux ans plus tard, nous étions repartit vers l'Amérique du sud cette fois, six mois au Venezuela, six mois en Argentine. Puis nous étions partit vivre en Angleterre où nous sommes toujours. Je n'ai jamais vraiment eu de proche amis, des connaissances oui, des amis non. La seule chose qui ne m'ait jamais quittée, la seule chose dont j'ai toujours refuser obstinément de me séparer c'est ma guitare. La musique fait partie de ma vie et ma vie est faite de musique.

- Autres précision
Sa chanson favorite est "Rebel" de Cupofty.
J'voudrais conduire un voiture, regarder la télé tard le soir, me faire passer pour un gros dur, dire ça me fait chier que j'en ai marre, me forcer à aimer la bière, faire chier les gens dans le bus, insulter mes potes par derrière, en faire toujours et encore plus, encore plus
Je suis un rebel, je gueule quand faut sortir le chien, je suis un rebel, je fais pas mes devoirs ça sert à rien, je suis un rebel, je fais peur au vieilles dans la rue, je suis un rebel, je suis même capable de prendre ma douche tout nu
Pour l'instant je me prends pas la tête, je verrais ça quand je serai plus grand, je fume et je bois en cachette, j'ai même tutoyé mes parents, pas moyen que j'écoute ma mère, elle comprend rien de toute façon, j'ai envie de tout foutre en l'air dire que le monde est vraiment c*n, vraiment c*n.


-Moment de vie.
Je me baladais dans la rue, c'était la période des soldes. Je regardais les vitrines, quand soudain, mon regard a été attiré par une paire de moufles. Mes mains enfoncées dans mes vieux gants miteux, j'admirais ces moufles. Il me les fallait ! J'ai respiré un grand coup et me suis aventuré dans cette jungle humaine (le magasin) plein de bonnes femmes pressée ou trop lentes, désagréables ou trop gentilles, trop bruyantes ou tellement discrètes qu'on les bouscule. Pouah ! Ça m'énerve déjà. Je me suis faufilé à travers les lianes (porte- vêtements), j'ai accosté un amérindien (vendeuse) au passage, lui ai demandé où se trouvais le trésor (les moufles), j'ai continué mon chemin en évitant les plantes carnivores (clientes) et je suis enfin arrivé à destination. Il était là, mon trésor, brillant de mille feux et bien plus, m'appelant pour que je le sauve de tous ces monstres de la forêt amazonienne (toutes personnes voulant acheter les moufles). Je m'en empare et me dirige vers le chef amazonien (caissière) et lui demande de troquer ce bijoux (5,00) contre quelques argents. Contente de moi, je rentre vers ma maison, mes précieuses moufles aux mains. En ouvrant la porte, mon père m'attendait un sourire mystérieux aux lèvres. Une lettre était posée sur la table...