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Noyez Joël !! [C.A]

 
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 Noyez Joël !! [C.A]

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Danny Ram-Jam


Danny Ram-Jam
Professeur de Divination
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Masculin
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MessageSujet: Noyez Joël !! [C.A]   Noyez Joël !! [C.A] Icon_minitimeSam 18 Déc - 11:46

Le bal... Cela faisait une éternité que je n'avais pas participé à des festivités. Cette année, j'avais prévu de ne pas rentrer chez moi pour les fêtes. Mes parents m'en voulaient un peu, mais dans le contexte politique actuel, il n'était pas prudent de mettre en danger la vie des personnes qui m'étaient chers... En effet, être professeur à Poudlard revenait presque à déclarer que vous luttiez contre Celui-Dont-Ne-Doit-Pas-Être-Prononcé-Le-Nom... Bien que je ne tenais pas à voir ce dernier prendre officiellement le pouvoir, je n'avais jamais réellement pris part dans les affrontements de ces derniers temps. Je m'étais contenté de vivre, ou plutôt survivre au jour le jour, ne me souciant que de l'instant présent. Mais désormais que j'avais une vie plutôt stable et confortable, je comprenais ces gens qui se battaient pour ce et ceux qu'ils aimaient ! Je crois que moi même, à ce moment précis, j'étais prêt à défendre cette place confortable de professeur coute de coute ! Et cela me coutait un réveillon en famille pour me retrouver avec des centaines d'étudiants pré-pubères s'amusant et les professeurs censés en faire autant tout en les surveillant... Rien de bien passionnant... Mais au moins, il y aurait du Whisky... C'était déjà ça...

Je n'ai jamais aimé les bals... Lorsque j'étais moi-même étudiant, aucune fille ne voulait être ma cavalière à cause de mon homosexualité, et évidemment, à partir de sa troisième année, Alix était parti, et je me retrouvais seul. Mais ce jour là, j'avais décidé de prendre ma revanche, en me prenant une bonne cuite ! Rien de mieux pour se remonter le moral... Et peut être inviter un des vendeurs de Pré-Au-Lard, qui serait présent à "danser"... Oui, cela me semblait être une excellente vengeance ! Alors, quelques jours avant ledit bal, je m'étais rendu sur le Chemin de Traverse pour m'offrir une tenue approprié. C'était une robe de cérémonie blanche, toutes les coutures faites à la main par les meilleures Magicouturières d'Europe, avec une bande noire recouvrant chaque couture. "Le top du top du géniallissime à la mode en ce moment !" m'avait assuré le vendeur en me jetant un regard aguicheur. Je l'achetais comptant. Une fois revenu à Poudlard, j'avais sorti la robe de son emballage pour la contempler. Il était absolument hors de question pour moi de pour cette robe ! Du moins, pas comme ça...


-Allez, au boulot !

En moins de temps qu'il n'en fallut pour le dire, j'avais disposé la robe sur un cintre, sorti mes tubes de peintures, et j'avais redécoré la robe à ma façon, afin qu'elle ne passe pas inaperçu. Le résultat était bien mieux. Gardant tout de même une majorité de blanc, on pouvait désormais voir des taches de peinture rouge, bleu, vertes, violettes..., qui grâce à mes talents magiques, ne ressembleraient plus à des taches de peinture. Ces créateurs étaient trop soft, trop coincés pour faire des vêtements qui me plaisaient. Satisfait du résultat, j'avais rangé la robe jusqu'au jour du bal.

Lorsque j'arrivais dans la Grande Salle redécorée pour l'occasion en Salle de Bal, l'ensemble de l'équipe professorale (composé uniquement de femmes au passage...) me dévisagea. Elles ne semblaient pas contentes de me voir arriver avec des vêtements qui ne semblaient plus si appropriés à la sobriété, et à la morale qu'elles voulaient voir chez les élèves. Mais qu'importe, ce soir, je prenais ma revanche ! Nous finîmes vite de tout mettre en place avant l'arrivée des élèves et l'ouverture des portes. La musique commença à retentir, douce au début, musique classique censée être le soutien de danses traditionnelles que plus personne ne connaissait aujourd'hui. On passait quand même ces musiques... Je n'avais jamais trop compris pourquoi... Ce qui suivrait plus tard dans la soirée, c'est un déferlement violent de bruits, de cris, de guitares sourdes, et de centaines d'adolescents déchainés sautant dans tous les sens... Mais nous n'en étions pas encore là. Pour le moment, tout le monde discutait poliment, laissant un grand cercle là où se tenait la piste de danse pour le moment déserte. Quant à moi, je me dirigeai vers la buvette, tenue par une élève de 5° année, si mes souvenirs étaient exactes. Elle me demanda ce que je voulais boire :


-Un whisky s'il vous plait. Dis-je avec un grand sourire. Sans glace. Ajoutai-je.

Je l'avalai d'un trait. La sensation du whisky Pur Feu descendant dans ma gorge me réchauffa, puis disparut rapidement... Cela devait faire quelques mois, voire quelques années que je n'avais pas bu de whisky, me contentant généralement de champagne pour les fêtes, et parfois, quand le menu s'y prêtait, de vin à table. Bien sûr, grâce à une grande expérience des soirées alcoolisée dans ma jeunesse, il me restait quelques réflexes, et l'incroyable don de ne pas montrer mon état même d'il est catastrophique... Oui, j'arrivais à marcher droit lorsque je suis saoul... Mais nous n'en étions pas encore là, loin de moi cette idée !

Autour de moi, les élèves commandaient pour la plupart de la Bierraubeurre. Je ne vis personne prendre de la "bave de crapaud", et n'en ayant moi même jamais bu, je me demandais bien pourquoi ils continuaient d'en distribuer dans les bals... M'éloignant vite de mes réflexions, je me retournai de nouveau vers l'élève qui tenait la buvette, et lui dis simplement :


-Un autre s'il vous plait.

Elle me servit un autre whisky, que je ne bus pas cul-sec cette fois ci. Le secret pour ne pas finir comme une chose ridicule faisant n'importe quoi, et surtout, pour ne pas vomir, c'était de rester toujours au même alcool, et surtout, de boire doucement ! Le premier, c'était juste pour me mettre dans le bain... Ainsi, je me retournai vers la salle, regardant les comportements des adolescents. Certains se tenaient juste debout, fixant le vide, ou les filles qu'ils convoitaient. Lesdites filles étaient réunies en meute gloussant dès qu'elles se rendaient compte qu'on les épiait. Les profs vagabondaient dans la salle, pour surveiller, sans doute, et moi, je me tenais debout, prés de la buvette. Mais j'en avais marre. D'un coup de baguette, je fis apparaitre un tabouret haut, bien rembourré et confortable, et je m'assis dessus, tout en continuant de regarder les élèves, buvant un petite gorgée de whisky de temps en temps...


Dernière édition par Danny Ram-Jam le Sam 18 Déc - 13:59, édité 1 fois
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Claire Austen


Claire Austen
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MessageSujet: Re: Noyez Joël !! [C.A]   Noyez Joël !! [C.A] Icon_minitimeSam 18 Déc - 17:10

Tenue :
Spoiler:

Aussi étrange que cela puisse paraître, j'étais soulagée d'aller à ce bal plutôt que d'être à Holy Blood Hall, car si les préparatifs du bal de Poudlard donné à l'occasion de noël engendrent un certain stress ce n'est rien comparé aux sommes d'argent, aux diverses sociétés magiques spécialisées dans l'art de la décoration ainsi qu'aux jours d'intense labeur nécessaires pour faire briller du sol au plafond la moindre pièce du grand manoir. Mieux valait ne pas chatouiller les nerfs, déjà bien trop sensibles, de ma chère mère car sa voix, si haut perchée, aurait tôt fait de monter dans les aigus et se déverser en un atroce flot de hurlements, de cris et d'ordres stridents à vous rendre sourd. Parfois je souhaitai presque entendre le doux cri de la mandragore percer mes tympans, les faire éclater et sentir un filet de sang chaud couler le long de ma nuque neigeuse plutôt que sa voix. Nos rapports déjà difficiles n'en seraient que plus tendus, nerveux et sujets à de violentes disputes, aussi est-ce pourquoi je préférai m'épargner cette épreuve. Après tout démonstration avait été faîte de mes pulsions sadiques mais masochistes pas encore; je n'étais ni folle ni assez stupide pour me jeter dans ce terrible chaudron. Aussi est-ce pourquoi j'avais exprimé mon vœu sincère et définitif d'assister au bal de noël.

Une semaine avant la date fatidique mon fidèle messager ailé prit son envol pour la campagne anglaise, une missive soigneusement roulée et protégée des aléas de la météo dans un étui de cuir et tandis que j'observai sa silhouette disparaître à l'horizon en un vague point dans le ciel d'un bleu éclatant j'étais loin de me douter des réactions à suivre. Le lendemain ce fût la chouette des neiges de Chanel Austen qui se posa parfaitement à la table des Serpentard, ses ailes blanches encore déployées elle me tendit une patte à laquelle était attachée une missive. Je la détachai aussitôt et lut sa réponse, avide de mon sort.


Citation :
«  C'est une bonne idée, tu as ma permission. Cependant je dois te dire que la robe choisie n'est pas digne d'une jeune fille de ton rang, tu trouveras dans les quelques robes une qui conviendra bien mieux.
P.S : Ne nous fais pas honte, tu as donné ta parole d'honneur. Nous ne l'oublions pas. »

Une rage terrible me brûla les veines. Dans ma poitrine battait un cœur furibond, indignée qu'elle ai l'audace d'insinuer des idées honteuses, moi qui avais juré sur ce tout que j'avais de plus cher, donné ma parole d'honneur! Décidément cette pauvre femme ne comprenait rien; l'honneur, voilà bien un mot, une idée, tout un univers dont je m'efforçai d'être digne. Vexée qu'elle me prenne pour une enfant capricieuse ou une petite vieille sénile je fis du parchemin une boule froissée que je jetai dans mon sac de cours. Sa remarque me resta en travers de la gorge toute la journée agissant comme un poison, terrible et précis, qui gagnait mon organisme tout entier, suivait les routes bleues de mes veines pour finir par occuper mon esprit d'idées noires et abreuver mon cœur de rancune.

Cependant la partie était loin d'être gagnée, c'était sans compter sur l'incapacité avérée de mes parents à adopter la même opinion quant à mon éducation. Père, sans doute inquiété par les informations circulant au Ministère de la Magie me fit parvenir le soir même son avis, le seul qui avait jamais compté, le seul auquel mère daignait obéir.


Citation :
«  Il est hors de question que tu restes à Poudlard pour les fêtes. Le monde dans lequel nous vivons n'est pas, n'est plus sur et c'est pour cela qu'il faut être prudent et raisonnable. Des informations inquiétantes me parviennent chaque jour au ministère et pas seulement; des confrères font état aussi d'incidents qui me poussent à craindre le prie. De terribles épreuves nous attendent dont tu ne peux imaginer les conséquences. Poudlard n'est pas sur, c'est une cible évidente et la pureté de ton sang ne te protègera pas d'un sortilège dans la confusion d'un combat. Les puissants et complexes enchantements qui protègent nos terres de la menace te mettront à l'abri. »

Ce Rufus Scrimgeour, ministre de la magie de son état, avait visiblement une influence néfaste sur mon père. Où donc était passé le jugement subtil, le raisonnement libre de ce père dont je tirai une immense fierté, ce sorcier dont la gloire rejaillissait sur la noble maison des Austen ? Sa promotion au rang de ministre des affaires étrangères avait-elle bâillonné son bon sens ? Les mots de Desmond Austen me laissaient perplexe, partagée entre la tendresse de son inquiétude et sa cécité. Ne voyait-il pas que je n'avais, contrairement aux traîtres à leur sang et aux sang-de-bourbe, rien à craindre ? Jamais je n'avais souillé mon sang ni renié l'héritage de mes glorieux aïeuls, pensées étaient pures et lumineuses et du haut de mes seize ans je nourrissais des rêves de grandeur, de gloire éternelle, l'ambition juste de purifier notre monde de cette vermine corrompue et néfaste. Pourquoi devrais-je fuir ? Si combat il devait y avoir pour rien au monde je n'aurai tourné le dos à cette faveur du destin.

Confuse, je cachai avec mille précautions cette lettre si subversive dans un petit coffre au fond ensorcelé dont les secrets étaient gardés par de redoutables enchantements. Nul être, en dehors de moi même et d'un sorcier expert en magie noire ne pouvait dévoiler l'intimité de mon existence sans s'exposer à de fâcheuses conséquences. Une angoisse terrible me noua l'estomac les jours qui suivirent cette réponse empoisonnée. Mon esprit fertile soupçonnait autant qu'il redoutait chaque sorcier et sorcière, je vérifiai régulièrement le coffre soulagée qu'il soit intact. Il y avait une odeur de trahison dans ses propos, un souffle brûlant qui menaçait de se transformer en véritable tornade et moi, son unique enfant, loyale et aimante, je me devais de le protéger de ses propres égarements. Le ministère devait tomber, et au plus vite pour notre bien à tous.

Je ne répondis pas le lendemain, ni le surlendemain mais ce fût la veille du grand soir que je décidai d'envoyer le coursier aux ailes dorées porter ma réponse, réponse mûrement réfléchie, chaque mot soigneusement sélectionné. Père devait comprendre mon opinion, connaître ma position; je ne doutai pas une seule seconde de son intelligence, il saurait me donner raison et m'aimerait plus encore. Oui, mon père serait fier de mon choix. J'attendis d'être seule dans le dortoir et rédigeai ma réponse, ma plume trembla, mon poignet défaillait tant l'émotion était forte. Un flux intense, une bourrasque d'émotions s'abattirent sur moi et mes idées, vagabondes se succédaient sans le début d'une logique dans mon esprit bouillonant. Je pensai à Sacha Winch, à notre première rencontre si décisive, je pensai à mère et nos colères, à père et cet amour brûlant et sans égal qui m'animait, à Elizabeth et son obsession de l'honneur... Tant d'images chatoyantes naissaient de ces mots.


Citation :
«  Père, votre tendresse me touche mais je ne peux m'y conformer.

Jamais je n'ai offensé la mémoire de nos ancêtres et bien que mon comportement vous ai parfois fait honte je ne serai pas digne d'être votre fille si je fuyais lâchement la menace. Ma vie ne court aucun danger entre ces murs pas plus qu'entre ceux de Holly Blood Hall. L'honneur et la loyauté me préservent de la déchéance dans laquelle se vautre notre monde malade. Si la fortune me tend la main je vous ferai honneur Père, à notre nom si glorieux et noble et à nos ancêtres dont les exploits résonnent encore à notre mémoire.

Votre loyal enfant. »

Voilà. Il n'y avait rien de plus à ajouter, ces lettres d'encre noire exprimaient mon voeu le plus cher, comment un père pourrait-il me reprocher mon amour ? Je pliai la lettre et la soumis à un sortilège de confidentialité avant de la glisser dans l'étui et la remettre au rapace docile. Cette nuit-là je dormis très mal et lorsque je m'éveillai au petit matin dans un concert de gloussements mièvres et de rires à peine dissimulés je fus d'une humeur particulièrement mauvaise. Contrairement à certaines de ces demoiselles je ne passai pas la journée à me prélasser dans un bain mais me vêtis d'habits moldus et chaussai de hautes bottes, idéales pour la marche. Longtemps l'agitation ambiante n'eût pas de prise sur mon esprit libéré de ses entraves, purifié de toutes les saletés du quotidien ni sur mon corps exposé au froid, au vent et à l'immensité sauvages des paysages d'Ecosse. Je marchai jusqu'à l'épuisement, c'est dans la douleur, la brûlure de mes muscles, l'irrégularité de mon souffle glacé que je retrouvai la paix intérieure. A bout de souffle, les joues rouges d'effort et le regard brillant je retournai au château me préparer.

La robe mettait en valeur la grâce juvénile de mes seize ans, ma peau de neige semblait plus pâle, plus noble encore et mes yeux attachés en un chignon lâche semblaient soyeux, d'un étrange et pâle rose. Marcher avec de hauts talons n'avait rien de naturel, mais depuis peu je m'y habituai, délaissai mes manières sauvages et enfantines pour des attitudes plus féminines. Ma propre beauté, régulière et harmonieuse me flattait mais ce qui me séduisait le plus dans mon propre reflet c'était cette aura terrible, cette beauté sauvage et fière, hautaine. Dans un sac à main assortit à la tenue je rangeai ma baguette dont je ne me séparai jamais. Seuls les idiots commettaient une aussi grossière erreur. Fin prête je pris le chemin de la Grande Salle.

La vision lumineuse, chatoyante des décorations et des tenues me fit un choc, aussitôt je me sentis étrangère à toute cette fête, déjà lointaine, à la recherche d'immensités vierges et sauvages, de vastes territoires accidentés mais beaux à en mourir. Trop de lumières, trop de couleur, trop de rires, de visages heureux pour que je me sente à l'aise mais ce n'était qu'un avant-goût, une ébauche de bal en comparaison de ce qui m'attendait. Je fermai les yeux une seconde pour ne plus voir ni entendre la rumeur assourdissante de la Grande Salle après le silence de l'Ecosse, je visualisai la neige épaisse, les cimes des arbres, le lac brillant et ce cieil azuré, l'air glacé...


- Whisky dis-je sans même accorder un regard à la fille qui s'occupait de la buvette, d'ailleurs elle ne parut pas s'en formaliser, la réputation de souffre qui me collait à la peau m'évitait bien des politesses. A côté de moi un enseignant, dont je ne parvenai pas à me souvenir du nom et encore moins de la matière, semblait inconscient de l'horreur dont il était vêtu. Mon regard dédaigneux s'arrêta sur une tache particulièrement mauve et énorme. Moonel Man ou quelque nom de la sorte me servit et je bus ma boisson sans ciller.
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