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It's only Karelle but I like it, like it, yes I do.

 
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 It's only Karelle but I like it, like it, yes I do.

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Karelle Marley


Karelle Marley
Élève de 2ème année



Féminin
Nombre de messages : 121
Localisation : Genre je vais te le dire. Cherche.
Date d'inscription : 08/01/2011

Feuille de personnage
Particularités: Merde.
Ami(e)s: Essaye de faire le poirier pendant trois minutes sans respirer.
Âme soeur: T'en as pas une toi ? Remarque, ça ne m'étonne pas vu comment t'es lourd.

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MessageSujet: It's only Karelle but I like it, like it, yes I do.   It's only Karelle but I like it, like it, yes I do. Icon_minitimeSam 22 Jan - 12:43

It's only Karelle but I like it, like it, yes I do. Tumblr17

Nom : Marley.

Prénom : Karelle Aislin Tamina.

Date de naissance : un jour c'est certain. Une journée d'été, lourde et chaude, lors d'un voyage en Égypte. Oui, c'est en Égypte que je suis née, dans un hôpital tout blanc à ce qu'il paraît : le trois juin.

Physique : je ne dirais pas que je suis moche, mais il est clair que je ne surpasserai jamais ces filles que l'on nomme gravures de mode. Mignonne, jolie, mes yeux chocolats attirent le regard surtout quand je vous vrille. J'ai cet air hautain qui m'est familier et qui ne quitte que rarement mon visage. Mes cheveux sont bruns également, avec parfois en été, lorsque le soleil règne dans le ciel bleu, des reflets roux qui adoucissent mon visage. Je ne suis pas très grande mais pas trop petite non plus.

Caractère : Je suis quelqu'un de naturellement têtu, borné et caractériel. Je sais ce que je fais et ce que je veux et de ce fait, personne n'est en mesure de me contredire. Je déteste recevoir des ordres, je préfère largement en donner car je trouve que certaines personnes ont cette formidable capacité à exécuter les ordres qu'on leur donne. Très maligne, je devient très intelligente lorsqu'il s'agit de m'échapper ou trouver des plans et combines pour m'enfuir lorsqu'un professeur ou surveillant me menace d'une retenue. Je peux passer pour une insolente qui n'a pas froid aux yeux à cause de cet air un peu hautain qui trône souvent sur mon visage. Je n'accorde ma confiance qu'à peu de personnes ce qui explique que les gens me perçoivent généralement comme une petite princesse , une peste sans nom. Ce n'est pas vraiment le cas car lorsque je m'attache à une personne, Dieu sait que je peut réellement m'inquiéter pour elle si elle ne va pas bien.

Famille : ma mère Aislin et mon père Ethan Marley. Ma mère travaillait dans une agence de publicité tandis que mon père nous a longtemps fait croire qu'il était garde du corps, notamment de Monsieur le Maire de Londres. En réalité, il est sûrement l'un des plus grands voleurs que l'Angleterre aie jamais connu, ayant à son actif multiples vols d'objets précieux et antiques. Lorsque l'on creuse un peu plus loin dans mes origines on se rend compte que je suis la lointaine descendante d'un pirate qui régna sur les mers de son époque, un certain Guybrush Marley. Cependant, je vous passe les détails des descendants, car moi-même n'y ait jamais vraiment compris grand chose.

Histoire :

Un jour, paraît-il, un petit garçon du nom de Guybrush décida de prendre la mer, de hisser le pavillon de ses convictions et de naviguer au gré de ses rêves et de ses envies. Entouré de quelques âmes qu'il sauva ou rencontra sur diverses îles, il s'en alla, naviguant sur les mers bleues et parfois tumultueuses. Il eut affaire aux pires hommes qu'il eut été donné de connaître qui convoitaient le même trésor que lui : la belle fille du gouverneur de l'archipel de Mêlée, le gouverneur Denver ; Hélène. Après d'innombrables péripéties, après avoir vaincu son plus redoutable ennemi, Guybrush épousa Hélène et devint ainsi gouverneur de l'archipel de Mêlée.
N'ayant guère envie de m'étendre sur le sujet de ses descendants, qui ne fait pas dans la simplicité, je saute jusqu'à mes parents. Ma mère Aislin est née dans une famille anglaise modeste et travaillait dans une agence de publicité. Mon père quant à lui, semblait tout avoir pour réussir : riche famille, facilités intellectuelles... Mais il décida de devenir garde du corps des personnalités telles que Monsieur le Maire ou le président de quelque grosse firme multinationale. Il fut plus particulièrement celui du maire qu'il escortait à chacun de ses déplacements. Mes parents se rencontrèrent lors d'une réception organisé par une grosse firme anglaise. Ma mère avait été invitée pour qu'elle leur fasse leur prochaine campagne publicitaire et le maire convié pour faire un peu bonne figure et aussi pour présenter un discours. Ils se plurent tout de suite ; mon père avec son côté charmeur et caractériel et ma mère, qui n'était pas aussi timide qu'elle ne voulait le laisser paraître. Ils se mariaient un an plus tard et partirent en voyage de noces en Égypte. C'est là que je naquit. Oui bon je sais que ma mère n'aurait jamais dû prendre l'avion mais que voulez-vous... Cette naissance explique ainsi l'origine de mon troisième prénom : mes parents étaient décidés à immortaliser cette arrivée au monde en me donnant un nom ancien. Bon ok, Tamina c'est plus perse qu'égyptien – enfin je crois – mais j'aime bien. Quant à Aislin, c'est pour ma mère car il paraîtrait que je lui ressemble beaucoup physiquement alors que j'ai davantage hérité de mon père en ce qui concerne le caractère. Oui j'ai hérité de son caractère un peu difficile.
Cependant, et cela je ne l'apprendrai que peu avant mon entrée à Poudlard, c'est que je ne connaissais pas tout de ma famille. En réalité, ma mère et moi ne connaissions pas aussi bien mon père que nous le croyions. Fin, ma mère du moins, car j'étais trop jeune pour y penser. Mon père s'avérait être en fait sûrement le plus grand voleur de toute l'Angleterre. Il avait à son actif de nombreux vols d'objets divers, précieux et antiques. Je ne sais pas pour qui il travaillait mais toujours est-il qu'un beau jour, qu'un jour, le fait qu'il n'ait pas beaucoup d'amis se retourna contre lui. Ma mère et moi étions seules dans notre pavillon à Salther Trix. Ma mère entendit frapper des coups contre la porte – des coups qui montraient bien que les gens ne souhaitaient pas prendre une tasse de thé et discuter tranquillement. Elle m'ordonna de partir me cacher dans la salle de bain, de m'y enfermer et de n'en sortir que lorsqu'elle me le dirait. Je m'exécutais sans réfléchir, pensant sûrement qu'il s'agissait d'une partie de cache-cache revisitée. C'est alors que j'entendis des voix d'hommes que je ne connaissais pas et ils ne semblaient pas très contents, au contraire ils paraissaient furieux. Je ne me rappelle plus vraiment des mots qu'ils échangèrent, juste que ma mère se bornait à répéter que celui qu'ils cherchaient n'étaient pas là et qu'il n'était sûrement pas l'homme dont ils parlaient. Au bout d'un laps de temps qui me parut interminable, un bruit sec et sonore se fit entendre avant un long silence. J'entendis la porte qui claquait et je restais néanmoins dans ma salle de bain, debout derrière la porte, l'oreille collée pour essayer d'entendre le plus petit des mots. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, à attendre, pelotonnée près du radiateur froid, dans une serviette.
C'est alors que mon père fit irruption dans la maison. Il poussa un cri avant d'hurler mon prénom dans toute la maison. Réveillée, je sortais de la salle de bain et courrais vers mon père. Il me porta dans ses bras et là je crois qu'il était au bord des larmes et me serrait fort contre lui. Il ne cessait de prononcer mon nom et que Dieu soit loué, j'étais vivante et saine et sauve. Malheureusement, on ne pouvait pas en dire autant pour ma mère Aislin. Je n'oublierais jamais cette image de ma maman, allongée sans vie sur le parquet de notre salon : sa longue chevelure brune en soleil autour de son visage aux yeux clos, ses yeux bleu vert. On aurait dit qu'elle était endormie si une rose rouge qui ne cessait de s'agrandir sur sa poitrine n'avait pas été là. Je ne sais combien de temps mon père et moi restâmes là, à pleurer cette femme qui avait tout été pour nous. Mais mon père jugea bon pour moi qu'il ne fallait pas que je reste ici et c'est pourquoi il me pria d'aller faire mon sac en prenant seulement ce qui était le plus cher à mes yeux. J'emportais donc avec moi un album photo de mes parents et moi-même, deux peluches et mon père se chargea de mes vêtements. Après quoi, il me prit dans ses bras et nous partîmes en pleine nuit, dans sa voiture noire. Je me souviens de cette image : celle de la porte d'entrée qui se fermait sur le corps inerte de ma mère, comme si une autre ère commençait. Nous quittions notre maison, mon père avait une idée en tête mais ne voulait rien me dire.
Nous arrivâmes finalement devant le portail d'une grande maison qui m'était totalement inconnue. Lorsque mon père sonna à la porte, un homme brun sortit en robe de chambre. Devant l'air affolé de mon père il l'invita à entrer mais mon père refusa. Il lui raconta alors ce qui nous amenait à cette heure, il parla bien évidemment de la mort d'Aislin. Il ajouta, les yeux pleins de larmes et la voix secouée de sanglots que j'étais la seule chose la plus précieuse du monde qu'il lui restait, qu'il ne pourrait pas se permettre que je subisse une nouvelle fois la même chose et que tout ce qui lui importait, c'était mon bonheur et ma sécurité. Il me prit dans ses bras, me serra contre lui et quand il me reposa sur le sol, je vis sa détresse dans ses yeux chocolat dont j'avais eu la chance d'hériter. Il s'accroupit pour être à mon niveau et, sans doute avec un peu de difficulté, il m'annonça que certaines vies étaient reliées par un certain lien, incassable qui résonnait au fils des années. Sur le moment, je ne comprit pas ce qu'il me disait mais je me doutais que cela ne présageait rien de bon. Mon père détacha de son poignet une gourmette en argent sur laquelle étaient gravées ses initiales et celles de ma mère. Il me l'attacha et je crois que mon petit poignet tomba sous le poids du bijou de famille. Il ajouta, en un sourire que c'était le cadeau de mariage qu'il avait offert à ma mère. Il me serra une dernière fois contre lui en murmurant qu'il m'aimait plus que tout. Il se releva, serra la main du monsieur et s'en alla. J'entends encore le bruit de sa voiture qui démarre avant de s'évanouir dans la nuit.
Perdue je me retournais vers l'homme chez qui j'allais rester. Il m'adressa un franc sourire tendre et, prenant ma main, m'invita à le suivre. Je découvris une maison immense et une femme blonde qui descendait l'escalier. Elle s'attendrit devant le tableau que son mari et moi lui offrions et demanda des explications. Mais le monsieur préférait que j'aille me coucher d'abord car je devais être morte de fatigue, ce qui était vrai. Tous deux me prirent les mains et me guidèrent en haut de l'escalier pour m'amener dans une grande chambre. C'est là que je dormirais à présent. Nous défîmes mon sac et bien que j'aie passé une horrible soirée, je m'endormais comme un bébé. Le lendemain, je compris que les gens chez qui j'élisais domicile étaient Monsieur le maire de Londres et sa femme. Lui s'appelait Marc et elle Alix. Marc et Alix Lance. Ils me considérèrent comme leur fille et bientôt je fut Karelle Lance. Deux jours après mon arrivée chez eux, alors que nous étions réunis dans la cuisine, les informations à la télé nous laissèrent sans voix : mon père, Ethan Marley venait d'être arrêté pour vols à répétition de précieux objets antiques. C'est là que Marc comprit pourquoi Aislin avait été tuée et pourquoi il m'avait recommandée à lui, le maire de Londres. Mais au lieu de se sentir furieux contre son ancien garde du corps, il ne ressentit que de la peine. Bien évidemment il dû fournir des interviews, conférences de presse pour mentir que cet homme ne méritait que la prison mais que jamais il ne lui avait fait aucun mal. C'est pour cela qu'ils me donnèrent leur nom de famille ; pour éviter que les soupçons ne se tournent vers eux. Les journaux télévisés ne cessaient de repasser la même image : je voyais mon père, le visage meurtri de coups, une joue écorchée et une lèvre saignante, la chemise déchirée par endroits, les cheveux en bataille, des menottes dans le dos qui essayait de se frayer un chemin parmi les dizaines de journalistes et policiers qui l'entouraient. A chaque fois les larmes me montaient aux yeux. Je n'arrivais pas à croire que l'on puisse lui faire du mal et pourtant je ne pouvais m'empêcher de lui en vouloir après tout ce qu'il nous avait caché à moi et maman, c'était à cause de lui que ma mère était morte. Mais il n'en restait pas moins et mon père et c'était à lui que je devais la vie que j'avais ; sans lui, je ne sais pas ce que je serais actuellement.
J'avais décidément une famille hors du commun : mon arrière arrière arrière et lointain arrière grand-père fut l'un des pirates les plus craints et respectés du monde de son vivant et mon père était un des grands hors-la-loi anglais qui venait d'être bouclé en prison. Comme si mon ancêtre n'avait pas eu assez de culot, il avait fallu que mon père s'en inspire ! Mais Marc et Alix prenaient grand soin de moi, comme si j'étais leur propre petite fille et je sais qu'ils éprouvaient autant de peine que moi lorsque les mères de famille de notre quartier interdisaient à leurs enfants de jouer avec moi voire de m'adresser la parole. Du fait que personne ne m'ait vue toute bébé dans les bras de Monsieur le Maire et sa femme, les soupçons s'étaient éveillés et faisaient de moi une jeune enfant non fréquentable qui emmènerait sur la mauvaise direction chacun des enfants qui s'approcheraient de moi. Comme je vous l'ai dit, souvent sur mon visage trône et imprime mes traits cet air hautain, un peu odieux peut-être, je me pare de cet air supérieur à chaque fois que j'estime en avoir besoin, c'est-à-dire quand quelqu'un me regarde un peu de travers, que ce soit d'étonnement ou d'admiration telle cette petite fille, plus âgée que moi mais qui semblait ne jamais pouvoir décoller son regard du mien alors que ma mère et moi étions dans une boulangerie non loin de chez nous. A cette époque, je le faisais car je n'aimais déjà pas qu'on me fixe de la sorte mais désormais, il ne quittait presque plus car j'avais appris à mes dépends que lorsque je m'attachais trop à quelqu'un, la déchirure est affreuse. Je ne voulais pas qu'on s'attache à moi comme je ne souhaitais m'attacher à personne. Je voulais rester seule avec ma famille, celle du maire et tout cela me convenait parfaitement.
J'aime ma vie telle qu'elle est actuellement et je sais que Marc et Alix éprouvèrent une once de tristesse quand ils me laissèrent monter dans le Poudlard Express, le jour de la rentrée. Je les vois encore sur le quai, Alix serrant Marc dans ses bras. Ils me faisaient de grands signes auxquels je répondais, toute souriante malgré cette pointe qui piquait mon cœur. Je n'avais pas pleuré et pourtant, il s'en était fallu de peu. Ils me reverraient à Noël et je fêterais cette merveilleuse fête avec eux comme une enfant avec ses parents. Mon bras leur fit un dernier signe, un dernier grand sourire sur mes lèvres et je rentrais la tête dans le train, prête à affronter ce nouveau départ, cette nouvelle vie qui commençait pour moi.

Autres :

Mon père, Ethan Marley :
Spoiler:

Ma mère, Aislin Marley :
Spoiler:

Monsieur le Maire, Marc Lance :
Spoiler:

Madame la Maire, Alix Lance :
Spoiler:
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Karelle Marley


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MessageSujet: Re: It's only Karelle but I like it, like it, yes I do.   It's only Karelle but I like it, like it, yes I do. Icon_minitimeMar 5 Juin - 14:47

Journal des Rps

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Première Année

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