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 You Can Leave Your Hat On

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Ulrich Liechtenstein


Ulrich Liechtenstein
Assistante de Potions



Masculin
Nombre de messages : 2628
Date d'inscription : 29/06/2008

Feuille de personnage
Particularités: Masochiste
Ami(e)s: Hazel Woodley dans mes plus grands fantasmes
Âme soeur: Katie Bell, mais ça ne change rien au fait que je vais en épouser une autre.

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MessageSujet: You Can Leave Your Hat On    You Can Leave Your Hat On  Icon_minitimeJeu 19 Juil - 19:53

Baby take off your coat
Real slow
Baby take off your shoes
I'll take your shoes
Baby take off your dress
Yes yes yes


S’il existait bien un lieu à poudlard ou trouver Ulrich Liechtenstein était une certitude, c’était là ou il y avait toujours de l’action. Que ce soit par simple coïncidence ou par le bon vouloir de forces supérieur qui agissait sur le monde, Ulrich était toujours aux milieux des trucs foireux. Enfin foireux. Plutôt louche, dingue, sans la moindre morale, suicidaire, déjanté, et où, évidement, baignait alcool et substance illicite. Foireux ? Pas pour lui. Il adorait ça. Même mieux, il recherchait ça. Poudlard était un peu comme une maison de fou. On y passait la plus grande partie de sa vie. Combien de douche, de siestes en cours, de devoirs non rendu, d’heures à écouter les prof parler, de « bonjour » lancé, de jus de citrouille avalé, de hiboux passant juste devant son nez alors qu’il mangeait, de plume cassé, de sourires hypocrite avait-il supporter avant de boire son premier verre de Whisky ? Oui, être en dernière année à poudlard, c’était un défi à relever tous les jours. Et quand, comme Ulrich Liechtenstein on découvrait les plaisirs des interdits, on ne vivait plus que pour ça.

Les professeurs étaient bien gentils de faire des fêtes pour les élèves, mais dans leurs « réunions » il y avait du jus de citrouille et des biscuits sur de longues tables avec une belle nappe blanche, et des fleurs un peu partout… ce n’était pas vraiment le genre de truc qui éclatait le serpentard. Certes, c’était très intéressant et virevoltant pour ceux qui étaient encore en première année, qui ne vivait pas dans une lassitude constante comme lui mais au bout d’un moment… une fête c’était pour s’amuser nan ? Heureusement, et c’était une des raisons pour lesquels il adorait cette prof, Nakamura, oui Nakamura, avait laissé sous-entendre que le soir, une fois que toutes les petits agneaux seraient allés gentiment au lit, la surveillance pour une plus ou moins « After » serait pratiquement inexistante. En gros, elle laissait les plus âgées faire la fête toute la nuit. Voilà quelqu’un d’intéressant à fréquenter.

Ulrich se réveilla ce matin-là avec les bavardages incessant de ses camarades de dortoir. Entre les blablas de ceux qui n’avaient pas encore eu le temps de parler avec l’élue de leur cœur, ceux qui n’en avaient pas, ceux qui se vantaient de leur « expérience » et ceux qui étaient si nul qu’ils préféraient changer complètement de conversation, Ulrich se demanda une fois de plus pourquoi il partageait sa chambre avec eux. Et quelques minutes plus tard, après avoir fait le tour de la question, il en résultat que c’était parce qu’il n’occupait presque pas son lit. Pas ces derniers temps.

Avec les dernières épreuves qui s’étalaient sur plusieurs semaines, Ulrich, étant majeur, avait pris l’habitude de rentrer chez lui quand, pendant plusieurs jours, il n’avait plus cours. Surtout aussi, parce que ses parents n’étaient que rarement là. Avoir un manoir pour soit c’était bien plus classe que de partager une chambre avec quatre types plus accros aux stupidités qu’aux plaisirs de la vie. Ulrich grogna pour bien montrer qu’il commençait à en avoir marre. Ce qui ne gêna pas une seule seconde la bande de serpentard qui continuaient à parler de la fête qui commencerait cet après-midi pour la fin d’année. La fête « Champêtre » avaient dit les professeurs. Encore une journée ou tout le monde allaient être excité et agaçant.

Ce qui ne manqua pas de se produire. Déjà dans la grande salle, on pouvait voir les effets de cette nouvelle attraction sur les élèves. Plus personne ou presque ne portait son uniforme scolaire, le laissant de côté en faveur d’une robe pour les filles, ou de jean, de t-shirt coloré, de short, certain même étaient en petite chaussures de plage. Les fins d’années réveillaient toujours les élèves. Tout le monde bougeaient, chantaient, couraient dans les couloirs. Même Ulrich, qui pourtant, était bien trop fatigué pour se joindre à cette atmosphère de plénitude totale souriait malgré tout en mangeant ses céréales.

Un hibou lui passa au raz du nez pour aller se poser à quelques centimètre de lui, vers un élève de 5ème année. Ulrich soupira, son sourire perdu. Il n’avait même plus envie de manger. Il avait atteint le stade ou le moindre truc le contrariait. Pas qu’il était lourd comme type mais il n’en pouvait vraiment plus. Surtout qu’une plume s’étaient poser dans son bol. C’était répugnant. Il jeta un coup d’œil sur l’élève totalement absorbé par sa lettre, qui, visiblement annonçait de bonnes nouvelles. Tant mieux pour lui. Puis, repoussa le bol et se leva de table sans dire le moindres mot. Il se dégageait de lui comme une aura noire qui faisait chuter le moral de tous ceux qui l’approchaient. Il prit au passage une pomme et sortit en dehors du château.

C’était la fin de l’année. En respirant le grand air le serpentard calma ses humeurs. Des vacances. C’étaient vraiment ce qu’il lui fallait. Cette année avaient été bien remplit. Trop même. Lui habitué à passer ses années dans le calme, sans jamais de problèmes, il avait, en un an, rattraper tout ça. Entre les mangemort qui avaient envahis l’école, les purgateur dont il avait fait partie, sa petite amie qui avait rejoint le camp opposé, les mensonges, les secrets, et maintenant Sophie qui revenait. Ulrich avait pu échapper aux soucis du quotidien 7 ans mais cette dernière année, ils les avaient toutes faites. Avait-il seulement eu un moment de calme absolu ? Oui. Dernièrement quand il s’était pris une pierre sur la tête et qu’il avait passé une semaine à l’infirmerie. Entre les moments où il dormait et ceux où il était drogué de médicament… Il avait passé une semaine plutôt calme.

Ulrich regarda son bras, ou il y a encore peu de temps, trônait un bandage plus épais d’un steak. Il n’avait pratiquement plus aucune cicatrice. Et pourtant son bras avait été réduit en miette… Chez les moldu une parfaite reconstitution aurait été impossible ou alors très longue. S’il avait été à sainte mangouste il aurait pu guérir bien plus vite aussi. Mais visiblement, son cas n’avait pas été assez grave pour qu’on le retire de l’école. Tant mieux. Voir Katie à l’infirmerie lui avait fait le plus grand bien. Katie… Ulrich regarda le ciel en se demandant si elle comptait aller à la soirée organisé par l’école. La connaissant, elle allait même sans doute y passer dès l’après-midi. Katie et Ulrich était extrêmement différent sur certain point. Elle était un peu comme la partie juste et droite de sa conscience. Katie n’était pas le genre de fille à agir comme une idiote ou se laisser dominer par des désirs passager. Elle était réfléchie et poser. Tout ce qu’il n’était pas, quand il était loin d’elle. Katie le ramenait vers le droit chemin. Le seul souci, c’était qu’une fois qu’elle s’éloignait, comme un gamin en proie à l’interdit, il retournait sur le chemin de la dépravation. Heureusement qu’elle était là. Ulrich n’imaginait pas à quoi ressemblerait sa vie si elle n’y plaçait pas de limite.

Ambre passa devant lui sans même lui dire bonjour. Ulrich la suivit des yeux. Même si, dans la grande limite il n’en avait rien à foutre, Ulrich aurait comme même préféré qu’elle le remarque. Ne serais-ce que par principe, ou par fierté. Puis, en y réfléchissant bien, elle ne pouvait pas, ne pas l’avoir remarqué. Elle ne l’avait juste pas salué parce qu’elle ne voulait pas le voir. Raison pour laquelle, le serpentard rejoignit sa Miss et passa la plus grande partie de la journée avec elle. Quand bien même, sa la faisait chier, Ulrich l’aimait bien Ambre. Plus encore quand elle était si « inaccessible ». Car une Ambre qui dirait « Amen » à tout, ce ne serais pas très drôle. Quoi que…

Après avoir finalement mangé, râler, puis retrouver sa bonne humeur, Ulrich décida malgré tout de passer jeter un coup d’œil à la petite fête au potager aux citrouilles. Comme il l’avait prévu il y avait de longues tables blanches, et beaucoup de première et deuxième années assis sur des nappes posé à même le sol ou sur des citrouilles faisant office de table, chaise, banc, porte verre, enfin plus ou moins n’importe quoi suivant le moment et la situation. Il reconnut cependant quelques élèves qu’il avait déjà croisés ou avec qui il avait même parlé quelques fois. Ce n’était peut-être pas le cas pour Ambre, mais en générale les premières années venaient lui poser des questions ou essayaient de faire ami-ami (c’était surtout sur ce point qu’Ulrich doutait fortement qu’un gamin ai osé approcher Ambre dans cet intention).

Le fait est que la petite fête semblait être bien plus amusante qu’il ne l’aurait pensé. Le seul souci, c’était, qu’en plus de ne voir personne de sa connaissance, il y plainait une sortes de bonheur enfantin dans lequel, même ivre, il ne pouvait pas se baigner. Voilà bien une chose qu’il regrettait avec le temps. Mais Ulrich ne resta pas bien longtemps plongé dans sa semi-nostalgie car déjà, il pensait à la fête qu’il y aurait le soir.

De retour sur son lit, il entendait encore les mêmes blablas de ses camarades de dortoir. Décidément, ils ne changeaient donc jamais de disque. Mais ils soulevèrent un point important quand l’un deux mentionna qu’il retrouverait sa copine le soir et qu’ils s’isoleraient dans une pièce vide du château pour faire dieux sait quoi. Katie comptait venir ce soir ? Ulrich se leva, devenant d’un coup, le sujet d’attraction de la chambre et se dirigea vers une table ou il se mit à griffonner un mot à l’intention de sa chère serdaigle. « Ce soir, à l’orée de la forêt ? U. » Il se retourna vers les quatre serpentard qui s’étaient tu pour voir ce qu’il faisait, car en même temps, il n’avait pas bougé ni dis un mot depuis une bonne demi-heure, et leur demanda si l’un d’entre eux avaient un hibou à disposition. Son message envoyé, Ulrich regarda les types quitter la chambre avant de se remettre au lit. Ses yeux tombaient de fatigue.

Une lumière s’alluma, accompagné d’un brui assourdissant d’une porte qui claque. Ulrich ouvrit les yeux d’un coup sec. Quelle heure était-il ? Le type qui venait d’entrer dans la chambre était un de ceux qui l’avaient gonflé toute la journée. Visiblement, il était déjà bien amoché. Il s’excusa comme il put avant de s’effondrer sur son lit. Ulrich regarda la montre de la chambre, attendit quelques secondes, le temps que l’information n’arrive à son cerveau et se leva en moins d’une seconde. Katie ! Elle devait l’attendre ! Surtout qu’il lui avait envoyé un mot pour qu’elle vienne… il lui posait un lapin, mais alors magnifique. Le serpentard prit le premier jean et le premier t-shirt qui lui passa sous la main, un gilet, et il sortit comme un dingue de la salle commune des serpentard.

Dehors, la lune était déjà bien haute. Et de la grande porte on entendait la musique résonner et les cris des élèves survolté. Ce n’était plus vraiment la même ambiance que durant l’après-midi. Arrivé sur place Ulrich reconnu presque tous les visages. Même si il aurait été incapable de dire les noms, il avait vu la tête de pratiquement tout le monde au moins une fois dans sa vie. Légèrement décalé à celle de l’après-midi, l’After se déroulait bien plus près de la forêt interdite que du potager. Les professeurs essayeraient sans doute même d’utiliser cette « peur » qu’avait la jeunesse de la forêt pour les dissuader de venir. Et ça marchait ! ou alors, ils avaient tout bêtement utiliser un sortilège pour repousser tous ceux qui n’avaient pas l’âge.

Ulrich avança parmi les élèves déjà bien soul, pour essayer de retrouver sa Serdaigle. Il la retrouva près d’une grosse citrouille, entrains de boire un verre avec Lilian. Lilian ! Il ne l’avait plus vu depuis… depuis un bail. Les examens, il s’en rendait compte, l’avait complètement absorbé, au point de s’isoler complètement du monde. Et connaissant Lilian, il fallait vraiment s’isoler pour ne pas la remarquer dans les couloirs, surtout depuis que les mangemort étaient parties et donc, que la vie avait repris son petit train-train. Lilian avait le don d’être toujours la favorite quand il s’agissait de parler des « célébrités » de poudlard. C’était difficile à croire que katie soit sa meilleure amie, ou du moins une de ses amies les plus proche. Katie, tout comme Ulrich, n’aimaient pas vraiment voir leurs vies privée être déballées au grand public. Ils avaient, d’ailleurs, toujours été d’une discrétion sans pareils sur leur couple. Ulrich repensait à l’époque ou Lilian et Chuck étaient ensemble… C’était le couple le plus en vue de l’école. Et Ulrich, qui appréciait Chuck, autant qu’il adorait Lilian, imaginait bien qu’ils avaient adoré ça. Il ne comprenait d’ailleurs, pas pourquoi ça n’avait pas marché.

Ulrich attrapa la main de Katie par derrière, l’attirant doucement vers lui, la coupant dans sa conversation avec Lilian pour déposer un baisé sur ses lèvres.


-J’ai pas vu le temps passé. Désolé.

Ulrich replaça une de ses mèches de cheveux puis lâcha sa main pour aller vers Lilian, et déposer un baisé sur sa joue.

-Bonsoir Lilian. Sa faisait longtemps.

La dernière fois c’était quand déjà ? Dans la forêt s’il se souvenait bien. Lui, elle, dans les bois, en pleine nuit. Pas besoin d’en dire plus. Quiproquo énorme. Et Ulrich avait été collé pour avoir osé emmener une fille dans la forêt en pleine nuit… aussi étrange que cela soit, c’était toujours quand il était parfaitement innocent qu’il lui arrivait des bricoles. Moralité : Ne jamais laisser passer une occasion d’en profiter au risque de tout perdre.

Ulrich passa son bras dans le dos de Katie, la tenant par la taille en regardant un peu autours d’eux. Bon… il plaidait coupable pour avoir cherché, pendant quelques secondes, Chuck des yeux. Faut dire que l’alcool + femme, c’était presque impensable que Chuck ne soit pas là. Et puis Ulrich commençait à être habituer à ce qu’il soit toujours là lorsqu’il faisait la fête. Mais ses yeux tombèrent sur autre chose de tout aussi divertissant : une bouteille de Pur-feu encore pleine sur une citrouille voisine. Ulrich abandonna une nouvelle fois Katie pour se diriger vers la bouteille qu’il comptait faire sienne. Juste à côté, il trouva quelques verres, encore propre, ce qui, en soit était assez dur à trouver vu le nombre des gens présents, puis, au sol, trainant dans la poussière, un paquet de carte à jouer. Ulrich récupéra le tout et se retourna vers les deux étudiantes.


-Un poker ?

La bouteille dans une main, le jeu de carte dans l’autre, Ulrich déposa avec un sourire le tout sur la grosse citrouille à côté d’eux. La soirée ne faisait que commencer.






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