Le secret de Moormock [récit + coms]

Ceci est le début d'une plus ou moins longue fiction en plusieurs chapitre, tout droit sortie de mon imagination scabreuse, je posterait bientôt la suite mais en attendant n'hésitez pas à laisser vos commentaires, critiques et impressions. Le secret de Moormock [récit + coms] 788650

Le secret de Moormock [récit + coms] 788650

Prologue

Moormock, un des deux mondes parallèle niché dans la dimension du Rêve. Le Rêve avec un « R » majuscule, Univers dissimulé dans les cieux des humains, composé de deux îles immenses. Bien que ces îles là ne soit pas entourées d’eau, mais d’azur.
Moormock et Ahmoria.
Ahrmoria, territoire moyenâgeux, refuge des rois cruels, des chevaliers assoiffés de gloire et des belles dames innocente à la recherche de l’Amour. Donjons, dragons et compagnie, beau royaume sympathique déchiré par d’incessantes guerres de pouvoir et vieux conflits poussiéreux entre familles royales.
Autrement plus éclectique et coloré, Moormock. Mélange incongrue d’authenticité et de modernité, peuple hétéroclite, où les différentes races, hybrides ou pures se côtoient dans un quotidien plus ou moins harmonieux. Un empereur, le grand ~~et gros~~ Marvolo 1er, ainsi que quelques rois indépendants veillent sur tous ce joli petit monde.
Dans cet étrange décor, vivent une poignées d’individus dispersés au quatre coins de l’île, noble ou petit escroc pouilleux ils ont tous en commun un lourd secret dont ils doivent aujourd’hui assumer malgré eux les conséquences. Leurs ancêtres ont commis un crime, mille ans après leur passé les rattrape. Quelque chose se prépare, quelque chose qui peut totalement bouleverser ce monde, mais aussi celui des Terriens…

Le secret de Moormock…

Chapitre 1, la joie assasinée

Mariam, une des villes les plus peuplée de cette île, et pourtant également une des plus petite.
En cet après-midi d’été, l’astre roi ne se lassait pas de darder ses rayons brûlants sur le pauvre peuple, accablés sous la chaleur. Le moindre petit coin d’ombre était envahi, les plages noires de mondes, les bourgeois et seigneurs se terraient dans leur demeure à l’air climatisé, tandis que les petites gens qui n’avaient pas cette chance se voyaient chassés de leurs fournaises, pardon, maisons où l’atmosphère était encore plus chaude qu’au dehors. Bien que le peuple dans cette partie de Moormock eurent été habituer à la chaleur, cet été là explosait tous les records de température. Les seuls énergumènes qu’on voyaient se balader en plein soleil, rayonnants étaient les Phyrrus, êtres hybrides à l’apparence humaine, mis à part leurs peau littéralement écarlate. Température corporelle avoisinant les 45 degrés, ils déambulaient au travers des rues surchauffées parfaitement à l’aise sous les regards jaloux et les râles des pauvres humains ou autres espèces transpirantes.
Justement, Isis était un se ceux-ci. Ou plutôt, à moitié. Mi Phyrrus, mi humain, c’était un jeune garçon d’une douzaine d’année, peau couleur caramel, tignasse blonde en bataille et prunelles azures brillantes de malice. Bien bâti bien que d’assez petite taille, une musculatures bien développée caractéristique de sa race, il avait tout pour plaire aux filles si une innocente timidité ne l’avait tenu éloigné de la gente féminine.

5 : 30 / Dans l’enceinte du seul collège de la ville, une sonnerie assourdissante se manifesta soudain, vrillant les tympans de tout les élèves et annonçant la tant attendue fin des cours. Les grandes vacances étaient enfin là. Le bruit de cette pauvre sonnerie fut aussitôt masqué par les hurlements de joie des adolescents libérés, auxquels se mêlaient, avec tous de même plus de discrétion, certains professeurs à bout de nerfs. Au milieu de la foule euphorique et compacte à la sortie de l’établissement, le jeune demi Phyrrus se frayait tant bien que mal un chemin, jouant des coudes et lançant des excuses au hasard que personne n’entendait.
Parvenue à l’air libre son poing fermé s’envola au dessus de sa tête accompagné d’un silencieux cri de joie, ses yeux bleus brillaient et un magnifique sourire illuminait son visage. A ce moment là il était heureux.
Profite, petit garçon, bientôt tes pleurs effaceront ce sourire…

Fort de son état, Isis était tout de même quelque peu soumis à la chaleur, mais il avait cédé à la pudeur, se résignant à garder sa chemise plutôt que d’exposer son torse. Son sac à dos rouge vif ballottait négligemment dans son dos au rythme des son pas rapide, une douce mélodie sans parole s’échappait de sa bouche, heureux il se dirigeait vers sa maison, ses parents. Il leva son regard au ciel, le soleil aujourd’hui était si proche qu’ en grimpant sur le toit d’une de ces maisons il avait l’impression qu’il pourrait le toucher. Soudain, un voix féminine et enjôleuse dans laquelle perçait une nuance de sarcasme le tira de sa rêverie naïve, il n’avait pas besoin de voir pour savoir qui l’appelait, cette voix, il la reconnaîtrait entre mille. Malgré tout, il ne resista pas à la tentation de la regardée. Assise sous le porche d’une maison, entourée de sa tripotée d’amis, Violette Maure l’observait un air amusé plaqué sur son visage exquis. Comme statufié, Isis restait pétrifier au milieu de la rue. Ses joues déjà rosées virèrent à l’écarlate quand la fille dont il était fou se leva et le rejoignit de sa démarche féline. Violette était en deuxième année, avait un an de plus que lui et était aux yeux de tout le monde la plus jolie fille du campus. Ses yeux s’accordaient avec son prénom, sa chevelure doré tombait en cascade sur ses épaules, quand à ses formes Isis n’osa pas poser les yeux dessus de peur de tomber par terre. En résumé, c’était une Morane, race hybride née de l’alliance d’une fée avec un vampire, créatures ensorcelantes et narcissiques.
On ne choisit pas la personne dont on tombe amoureux.
Les lèvres de la déesse bougèrent, mais le Phyrrus n’entendit rien, perdue dans l’abîme de ses grands yeux violets, ce fut seulement quand elle le prit par les épaules et le secoua qu’il reprit contact avec la réalité, prenant conscience qu’il avait la bouche grande ouverte. Il s’empressa de la refermait et se concentra sur ses paroles.
« Hey tu m’écoute ??
-Oui, …euh, bien sûr ! » Sa voix n’était alors pas plus élevée qu’un murmure, mais Violette ne l’écoutait pas et déjà elle enchaînait.
«Tu es bizarre…Tout va bien ? »
Isis hocha frénetiquement la tête. Bien sûr, elle savait qu’il avait un gros (pour ne pas dire énorme) faible pour elle et prenait un malin plaisir à le manipuler.
Les deux adolescents se remirent en route vers la maison du garçon, la fille continuant à jacasser de tout et de rien juste pour le plaisir de voir son soupirant boire ses paroles avec un regard éperdu.
Mais bientôt, il atteignirent le petit appartement, Isis franchit le seuil de la porte et appela son père qui normalement devrait être à l’intérieur, cependant comme il n’obtenait aucune réponse il avança jusqu’au salon, après avoir invité Violette à entrer d’une voie tremblante. Celle-ci le rejoignit, le nez et les sourcil froncés.
« C’est quoi cette odeur bizarre ? »
Il ne répondit pas, figé dans l’embrasure de la porte, yeux écarquillés d’horeurs... La jeune Moranne regarda à son tour…

Le hurlement qu’elle poussa atteignit tout la ville.

Nombre de messages : 1204 Date d'inscription : 30/11/2008

ARF! Mon dieu! Ilaya LA SUITE!!!
Le prologue que je viens de lire annonce une SUPERBE histoire non?
C’est pour quand le premier chapitre? JE LE VEUX! XD
Bref, bon courage et bravo d’avoir le courage de commencer une histoire (qui a l’air P-A-S-S-I-O-N-A-N-T-E) !
En plus, je trouve que les noms des deux mondes sont très bien choisit ^^
Bisous ! Et bonne continuation !

Ooh mikii beaucoup :*_*: :rougit:
Et voilà le premier chapitre! Le secret de Moormock [récit + coms] 116302

Pourquoi pas Le début d'un grand univers surgissant de ton esprit. Ca m'a l'air intéressant à suivre, le développement et tout Fais juste bien attention à ne pas te perdre dans ton propre univers mais jusque là tu as su bien expliquer avec un vocabulaire restant poétique. Bravo, c'est très dur à faire. Je sais que moi je ne suis pas organisée ni claire donc impossible de me lancer dans ce genre d'écrits non cadré, trop libre. Cependant ça a l'air de te convenir. J'ai hâte de lire la suite

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