L'odeur de l'herbe [Pv Maryweather H. ]

Nombre de messages : 1901 Date d'inscription : 25/07/2009

Ambre était de très bonne humeur ce matin-là . Elle marchait tranquillement dans l'herbe fraiche du matin avec un de ses plus beau sourire . Ambre n'était même pas tombé du lit ce matin-là pourtant elle tombait du lit tout les matin . Ambre s'arrêta de sourire pendant un moment en pensant à le dernière fois ou elle avait marchait dans l'herbe si tôt le matin . Elle venait de se rappeler que c'était avec son frère . Ambre venait de se réveiller après un cauchemar lorsqu'il l'avait réveillée et qu'il l'avait rassurée . Elle s'était mise à pleurer et elle avait fini par sortir dehors suivi par son frère ...

Ambre reprit pied dans le parc de Poudlard d'un coup . Elle avait presque oublié ou elle était pendant un instant . Elle détestait se souvenir des moments passé avec son frère car elle pleurait souvent . Là Ambre était en train de pleuré . Peu certes mais quand même assez pour qu'elle n'entende pas des bruits de pas derrière elle . Elle finit par s'arrêter de pleurer et entendis donc le dernier pas de la personne derrière elle . Ambre se retourna d'un coup et sourit en voyant qui se trouvait derrière elle .

[hj: désolé j'ai pas beaucoup d'inspiration ...]

Maryweather discutait beaucoup avec sa nouvelle amie, d'un an son ainée : Ambre Serana. Sa famille avait beau être en froid avec la sienne, elle ne pouvait s'empêcher de trouver la jeune fille sympathique. Elle n'avait parlé à personne de son amitié avec l'héritière des Serana, sauf avec son frère, car elle savait qu'il ne dirait rien. Son frère était calme, gentil, épris de justice, et passionné des poisons. Oui cette dernière caractéristique pouvait faire froid dans le dos, mais à Mary, peu importait les actes des gens envers les autres tant qu'ils étaient doux envers elle-même. L'égoïsme à l'état pur.

La veille, Ambre et Mary avaient discuté tard dans la salle commune, ne s'arrêtant que lorsque la plus jeune avait menacé de tomber de fatigue dans la cheminée. Ambre avait alors pris la sage décision d'aller dans leur dortoirs respectifs de première et deuxième année, et de reporter leurs discutions au lendemain. Mary trop fatiguée pour refuser s'était glissée dans son lit en pensant au bonheur d'avoir une amie, comme chaque soir depuis qu'elle avait rencontré Ambre.

Ce matin, Mary s'était réveillée très tôt, en entendant du bruit dans la salle commune. Le temps de se lever et elle avait vu disparaitre une tête blonde bien connue par la porte. Se demandant ce qui avait bien pu la tirer du lit si tôt, Mary enfila son uniforme, se coiffa rapidement, sans oublier de garnir ses cheveux d'un beau nœud vert, et suivit la jeune fille.

Bien sûr lorsqu'elle sortit de la salle commune, plus personne n'était en vue, les couloirs étaient déserts, et l'amie de Mary était déjà loin. Réfléchissant à un endroit où Ambre serait plausible d'aller, Maryweather posa ses index sur ses tempes et inspira profondément. Le seul endroit qui lui venait était le parc. Elle supposait que la deuxième année aimait particulièrement cet endroit vu qu'elle lui en avait parlé plusieurs fois en termes élogieux.

Après quelques pas dans la cour, puis dans l'herbe, elle finit par la voir sur le pont. Elle était immobile. Mary se rapprocha d'un air joyeux, ravis de pouvoir dire bonjour à Ambre. Lorsqu'elle fut à un mètre de la Serpentard, celle-ci se retourna, et le sourire de Mary se figea : on voyait qu'elle avait pleuré. Mary étaient choquée, elle pensait que les grands ne pleuraient jamais, en tout cas c'était ce que son père lui disait. Elle était en train de comprendre que ce que voulait dire son père était que les grands ne voulaient pas qu'on sache qu'ils pouvaient pleurer. Mary eut soudain un profond dégout des adultes, en particulier de son père, mais il s'estompa vite en voyant le sourire lumineux que lui adressa son amie. Par respect pour elle elle ne lui demanda pas pourquoi elle avait pleuré. De toute façon, elle savait qu'elle n'aurait pas répondu, et ce devait être par rapport à un souvenir qu'elle avait. Elle ne pensait pas Ambre capable de pleurer pour des basses matérialités du présent.

Maryweather laissa de côté ses inquiétudes, et repris son sourire où elle l'avait laissé avant de se rapprocher de la jeune fille en sautillant.

- Bonjour, tu es bien matinale dis moi... Tu as bien dormi?

Et elle lui plaqua un baiser discret sur la joue en guise de salutations.

[Hj : c'est toujours difficile de commencer un sujet... L'inspiration viens avec celle de l'autre]

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Ambre aimait pourtant beaucoup rester dans l'herbe quand elle était encore un peu mouillée . Ambre aimait tant l'odeur de l'herbe . Mais le fait et que lorsqu'elle vu juste devant elle Mary ça lui fit bizzard à première vue . Ensuite Ambre comprit que sa ne la déranger pas du tout de voir Mary . Elle aimait vraiment bien cette Serpy . Cette petite Serpy .

- Bonjour, tu es bien matinale dis moi... Tu as bien dormi?

Et Mary vint faire un baiser discret sur la joue d'Ambre qui sourit . Elle n'aurait jamais penser voir un jour Mary lui faire un bisous sur la joue . Ambre était contente qu'elle le fasse . Elle n'avait pourtant pas l'habitude qu'elle lui en fasse . Que personne ne lui en fasse d'ailleurs . Ambre avait vraiment rien contre mais si on lui en faisait tout les jours elle s'en passerai surement assez vite surtout si plusieurs personne lui en faisait ce qui n'était pas le cas bien sur .

-Salut ! Oui très bien merci et toi ?

Ambre venait de sentir un léger coup de vent passer contre sa peau et ses cheveux venait de s'envoler légerement . Ambre aimait aussi le vent . Tout ce qui lui rappelait la nature en générale . Ambre sourit encore plus fort qu'avant . Elle ne pleurait plus du tout maintenant .

"Salut ! Oui très bien merci et toi ?" Maryweather était contente qu'Ambre s'intéresse un peu à elle. Elle prit son temps, comme à son habitude, de bien choisir ses mots. Un coup de vent les balaya toutes deux, laissant au passage les cheveux couleur de blé de la Serpentard de deuxième année chatouiller la joue de Mary, qui émit un petit rire. La jeune fille aimait les déchainements de la nature, et aux vues du sourire de son ainée, il semblait que se fusse le cas pour elle aussi. Elles n'étaient pas à Serpentard pour rien, préférant la pluie et le vent au soleil, l'ombre et l'humidité à la chaleur...

Mary trouvait qu'Ambre était vraiment belle, elle aurait voulu lui ressembler. Rien qu'être sa petite sœur par exemple ! Au moins elle aurait peut-être eu le même visage... Mais pour cette vie là, c'était trop tard... La petite Hargreaves, non pas qu'elle fut moche, resterait une petite fille maigre, blanche, et ne ressemblant pas aux Serana. Laissant ses regrets de côté, Mary se balança de gauche à droite, ses mains derrière le dos, et articula gaiement :

- Je pense que ce fut la meilleure nuit que j'ai jamais passé à Poudlard.

Elle avait un sourire jusqu'au oreilles, ne voyant plus l'ombre de la tristesse sur le visage de son amie. Elle laissa le vent décoiffer ses cheveux d'or quelques instants puis replaça une mèche derrière son oreille d'un geste rapide, essayant de ne pas les manger au passage. En baissant les yeux, le moue boudeuse, pour voir ce que ça faisait sur son épaule, elle ne fut pas tout à fait satisfaite du résultat. La jeune fille enroula donc la mèche autour d'un de ses longs doigts blancs, l'entortillant, puis la relachant d'un coup sec. Une belle boucle s'était formée. Fière d'elle, Mary leva les yeux vers Ambre et lui sourit :

- Je n'ondule pas naturellement, mes cheveux sont raides comme des baguettes, alors je fais des tresses la nuit le plus souvent...

Mais à peine eut elle prononcé ces mots qu'un coup de vent plus fort que les autres détruisit son œuvre sans aucun scrupule. Mary eut l'air dépité, et regarda furieusement les nuages sombres qui pointaient à l'horizon.

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Ambre avait toujours les cheveux qui partaient dans le vent et se mit à contempler Mary avec un petit sourire plus discret cette fois. La jeune blonde regardait toujours la belle chevelure de la petite Hargreaves avec un petit peu d'envie. Elle avait, depuis qu'elle était toute petite, eut envie d'avoir les cheveux très raides qui lui feraient moins de petites boules de cheveux enroulaient dans ses magnifique cheveux blonds. Ambre n'aurait échanger ses boucles blondes pour rien au monde maintenant qu'elle avait compris qu'ils étaient d'une beauté à couper le souffle. Elle aimait que les regards admiratifs des personnes qu'elle rencontrait soient sur ses cheveux. Le fille aimée des Serana avait bien sure appris dès son plus jeune âge à coiffer sa belle chevelure avec une épingle, un ruban ou n'importe quelle autre coiffure. Ambre enviait les cheveux de Mary.

-Je pense que ce fut la meilleure nuit que j'ai jamais passé à Poudlard.

Ambre vit Mary mettre une mèche derrière son oreille, l'enlevait, la regardait avec une moue boudeuse et finir par l'enrouler autour de ses doigts. Elle la relâcha aussi vite qu'elle l'avait mise et sa mèche était devenue une belle boucle. Le résultat eut l'air de plaire à Mary cette fois vu le sourire qu'elle adressait à Ambre. La boucle de Mary était belle et avait une très jolie forme qui rappelait celles d'Ambre.

-Je n'ondule pas naturellement, mes cheveux sont raides comme des baguettes, alors je fais des tresses la nuit le plus souvent...

La Serpentard trouvait cela absolument magnifique qu'ils soient raides mais si Mary n'était pas d'accord avec elle Ambre n'allait pas la contredire. Tout d'un coup un autre coup de vent vint et la belle boucle de Mary tomba en miette. Ambre prit un air compatissant mais Mary avait vraiment l'air dépitée et regardait d'ailleurs le ciel couvert de nuages avec un regard furieux. Ambre lui sourit et voulut lui remonter le moral.

-Moi je trouve qu'ils sont magnifiques tes cheveux Mary !

Ambre amplifia son sourire avec un regard compatissant et leva la tête pour observer les nuages en attendant la réponse de Mary. Ambre se disait que les nuages étaient vraiment très beaux mais que des fois ils ne servaient absolument à rien.

Mary apprécia les paroles de la deuxième année pour la réconforter. Cependant, si celle-ci attendait une réponse, elle le ferait encore bien longtemps. Maryweather ne répondait jamais aux remarques sur sa beauté. Elle se contenta de hausser les épaules de manière quasi imperceptible. Elle avait certes de beaux cheveux, et deux beau yeux au passage, mais le reste ne suivait pas. Son nez était trop petit, son menton trop pointu, ses joues trop creuses ; sa grand-mère maternelle ne cessait de le lui répéter et la forçait à avaler des quantités inimaginables de soupes, purées et autres juliennes de légumes du jardin. Une fois, Mary avait même piqué une crise auprès de son père pour ne pas y aller, et celui-ci avait fini par céder, à la grande déception de ses grand-parents.

La jeune fille avait les yeux fixés sur les nuages noirs qui montaient. Le noir la faisait toujours penser à son père. Lui et ses yeux sombres, lui et ses cheveux corbeau, mais à la peau de satin. On comprenait facilement qu'elle ait pu le faire passer pour un vampire auprès d'élèves de première année. Sa mère au contraire avait une peau brûlée par le soleil et des cheveux aussi blonds que les blés. Ses yeux dorés luisaient toujours d'une lueur joyeuse depuis qu'elle était sortie de sa dépression. Mary se demandait toujours ses yeux océan. Elle était la seule dans la famille à les avoir de cette couleur aussi foncé. Elle supposait que c'était un mélange du noir de son père, et du bleu ciel de sa grand-mère maternelle. Soupirant légèrement, Maryweather finit par annoncer d'un ton neutre :

-Je pense qu'il va pleuvoir vers onze heures.

Sa phrase n'avait aucun rapport avec le sujet précédent, mais elle l'avait dite quand même. La fillette de onze ans aimait dire des choses inutiles, simplement pour la beauté du geste. Elle s'accouda sur la barrière de pont, plaçant son menton pointu entre ses mains osseuses. Elle avait l'air rêveur, et respirait le doux parfum du parc en train de se réveiller. Pour l'instant le soleil chauffait leur peau, mais ça n'allait pas durer. On sentait l'odeur de l'orage dans l'air. Cette odeur si caractéristique de Mary aimait tellement, lourde, métallique...

-J'aime la pluie. C'est beau, c'est doux, ça sent bon...

Elle glissa ses yeux foncés vers son amie, cherchant dans son regard l'approbation de ses dires. Elle était presque certaine que leurs gouts concordaient la dessus. L'humidité étant en général appréciée des serpents. La foudre restait pour elle un des plus grands mystères de cette planète. Comment un simple mouvement d'énergie pouvait-il produire autant d'électricité en si peu de temps sans puiser dans une puissance magique énorme. La fillette en avait conclu l'existence dans le noyau terrestre d'une réserve de magie à l'état pure. Et les soit-disant miracles de mère Natures étaient puisés dans cette source d'énergie magique pour faire fleurire les bourgeons, murir les blés et rougir les citrouilles.

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Mary, Mary,... J'étais tellement contente d'être avec elle. Ça faisait tellement de temps que je devais me coltiner des filles comme Halley, qui n'étaient pas méchantes mais pas captivantes non plus, qu'elle était encore mieux qu'elle aurait pu avoir l'air une autre fois. D'un autre côté ce n'était pas pour rien que Mary était la personne que je préférais de tout Poudlard. Elle avait.... sa personnalité.

Manifestement elle n'aimait pas mes compliments sur ses cheveux. Voilà ce que ça donnait lorsque j'essayais d'être gentille ! Moi qui avait cherché quelque chose de gentil à dire. Elle n'avait surement pas fait exprès de me vexer. Mais elle l'avait quand même fait. Qu'elle soit une Serpentard ou non ne changeais rien à mon affaire. Elle m'avait vexée. C'était rare, même très rare, mais elle l'avait quand même fait et quand quelque chose me restait dans la gorge je ne l'oubliais jamais. Cela va sans dire que je souriais quand même. Je n'avais pas arrêté de sourire. Mon beau sourire !

Mary venait de soupirer, la tête dans le ciel en proie à des pensées quelconque quand je redescendis mon regard. Les nuages étaient intéressants un jour par un millier. Il pouvait bien pleuvoir,ce dont je ne doutais pas, Mary n'allait pas se désintégrer pour autant. A moins bien sur, qu'un énorme problème arrive ou qu'un événement impossible se fasse. Mais son soupir n'avait pas l'air de me concerner. Tant mieux je n'avais pas envie d'avoir ça sur la conscience. Cela dit ça ne m'aurait pas tuer vue que je n'ai absolument aucune conscience. Demandez moi ce que j'ai fait de pire dans ma vie et je répondrais surement : « j'ai mangé un morceau de chocolat en trop et j'ai pris un kilo », tout en sachant qu'un morceau de chocolat ne me fait pas prendre un kilo. Quoi que l'on ne sait pas quelle tailler pourrait avoir le morceau...

-Je pense qu'il va pleuvoir vers onze heures.

Bravo! Moi j'étais capable de dire qu'il allait pleuvoir mais pas à quelle heure. De toute façon je ne comptais pas me convertir en météorologue. Mon Sang me le permettrait pas et moi non plus. J'étais une Sang-Pur pas une moldue idiote qui a besoin de travailler pour avoir de l'argent. Chez nous, ça coulait de source l'argent. Pas besoin de réfléchir longtemps sur un prix. Riches, voilà comment nous étions.

Mary devait aussi être riche puisque c'était aussi une Sang-Pur mais, si elle ne l'était pas, elle ne l'avouerait surement pas. C'était comme dire qu'elle était une Sang-de-Bourbe. Ça ne se faisait pas et ça n'allait pas. Pourquoi Mary aurait-elle dit quelque chose de profondément illogique ?

Manifestement la vue du ciel ne lui plaisait pas puisqu'elle changea de position et s'accouda contre la barrière du pont, son menton entre ses mains. Ses mains étaient si fines que l'on voyait ses os. Je ne pouvais pas n'empêcher de me dire qu'elle aurait du mieux manger. J'allais l'accompagner manger la prochaine fois. On ne pouvait pas être si fine! C'était immorale ! C'était comme les Sang-de-Bourbes qui ne mangeaient pas pour être plus belles. Quoi que, elles, elles avaient des raisons.

-J'aime la pluie. C'est beau, c'est doux, ça sent bon...

Moi aussi. Mes yeux répondirent à sa supplication muette de ses yeux foncés d'une approbation de ma part. Je n'allais pas la laisser dans le doute alors que la réponse était toute simple.

Je laissais mon regard erré vers le pont et deux filles qui venaient d'arriver. Je n'entendais pas leur conversation mais le rire d'une d'entre elle me parvint et un sourire naquis sur mes lèvres. Non pas que j'aimais entendre son rire, à cette gamine sortit de chez les moldus, mais il contrastait tellement avec mes pensées, tournées à ce moment-là vers ma mère, amie des moldues, que cela me faisait bizarre.

Mon regard revint se fixé dans les yeux de Mary me permit de ne plus écouter se rire, qui allait de toute façon s'effacer pour laisser le champs à libre à une phrase. Pas n'importe quelle phrase MA phrase.

-Tout à fait. En plus la plupart des gens n'aiment pas la pluie...alors personne ne pense à m'observer d'une quelconque manière et je ne tombe sur personne lorsque je me promène. Un doux moment.

De toute façon, et ce que je n'avait bien sur pas précisé, c'était que,si je tombais sur une personne, elle finissait mal sa journée. Quand j'avais envie de rester tranquille tous les moyens étaient bons pour arriver à mes souhaits et la première personne qui essayait de m'en empêcher se rappellerait de cette journée.

[HJ: J'ai remarqué que tu ne répondais plus à tes Rps mais je voulais quand même l'écrire. ]

Deux filles de Gryffondor passèrent en rigolant, l'une d'entre elle avait un rire aiguë qui dérangea quelque peu Mary. Elle se demanda pourquoi elles rigolaient. Mary était d'une nature assez curieuse et elle aimait savoir tout ce qu'il se passait atour d'elle. C'était pour cela qu'elle avait postulé pour être Journaliste au Daily Poudlard, et qu'elle avait réussit avec succès. Aussi cela l'énervait de ne pas pouvoir tout savoir. Parfois elle aurait aimé pouvoir remonter le temps, et devenir invisible, se rapprocher, écouter les paroles des gens, noter ce qui était intéressant pour le resortir au moment où cela ferait le plus mal. Mais elle passa outre et reporta son attention sur Ambre. Celle-ci avait un petit sourire aux lèvres. Elle répondit :

-Tout à fait. En plus la plupart des gens n'aime pas la pluie... Alors personne ne pense à m'observer d'une quelconque manière et je ne tombe sur personne lorsque je me promène. Un doux moment.

Il fallait avouer que ce côté là de la pluie était intéressant également. Mary regarda Ambre un peu comme on regardait un grand frère ou une grande sœur qui vient d'être du même avis que soi, une pointe d'amour et d'admiration. Elle se souvenait d'une après-midi ou elle était sortit alors qu'il pleuvait à torrent, juste parce qu'elle n'allait pas bien, juste après la fête d'halloween. Ce jour là elle avait croisé une élève un peu folle, ou peut-être que Mary avait déliré à cause de la fièvre, car elle était en effet tombé malade, elle avait dû s'évanouir dans le parc vu qu'elle s'était réveillée à l'infirmerie.

Elle n'avait jamais revu cette élève depuis, et se demandait réellement si ce dont elle se souvenait s'était réellement passé. Le contraire ne l'aurait pas tant étonné que ça. Toujours est-il que cet épisode lui avait appris à ne pas rester trop longtemps sous une pluie battante. Avec son poids excessivement maigre, son organisme était de plus en plus faible, et elle ne tenait pas a se retrouvée hospitalisée à cause d'un simple rhume, et encore moins à devoir utiliser de la pimentine et se retrouver avec de la fumée qui lui sortait par les oreilles.

La plupart des gens ne sait pas où se trouve la vraie beauté

Mary replaça ses cheveux derrières ses épaules, en les ramenant en queue de cheval un court instant, puis les relâcha. Elle regarda ses doigts blancs et maigres. Trop blanc, trop maigres. La fin de l'année approchait et Mary n'avait jamais été aussi pâle et aussi maigre. Pourtant elle mangeait plus qu'il y avait 6 mois, mais uniquement des pommes et des poires. Il ne faisait aucun doute que son corps flancherai à un moment, mais tant qu'il tenait le coup, elle continuerai comme ça. Autant ne pas se forcer à faire quelque chose qu'on aime pas si ça n'implique pas notre perte directement.

Il était plus ou moins onze heure quand, comme Mary l'avait prévu, les premières gouttes de pluie commencèrent a frapper le sol et à faire des ronds dans l'eau. Tous les élèves présents dans le parc s'étaient hâtés vers leur salle commune sous le regard entendu des deux jeunes filles de Serpentard. Mary respira à fond l'odeur de la terre mouillée pendant quelques instants, puis regarda son ainée. Elle aussi avait l'air heureuse, cependant la sonette d'alarme interieur de la jeune Hargreaves lui signaler qu'il était dangereux pour les êtres de faible constitution comme elle (Elle avait honte de se l'avouer à elle-même) de rester dehors par un temps pareil.

On devrait rentrer à la Salle commune pour finir le devoir d'Arithmantie que nous a demandé le professeur Okazaki, non ?

Mary était fière d'elle, elle avait trouvé l'excuse parfaite, Ambre ne pourrait pas refuser. Ambre ne pouvait jamais refuser de travailler l'arithmantie pour les beaux yeux de Tamon Okazaki. Avec un sourire, l'héritière des Hargreaves se dirigea vers le château.

[HJ : WOOOOOH record du monde de temps de réponse :B Non mais je voulais finir ce RP pour ne pas avoir un RP en abandonné avec toi. Donc finit pour moi :D]

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