Thomas von D. - Dray Collins

Yep, J'encaisse! J'enboite
Les critiques permettent d'avancer donc no problemo!

Spoiler:

Bon, je commence!
J'ai choisi le 2e paragraphe, je pense que c'est celui que je pourrai le mieux travailler.

Spoiler:

Les étoiles. A deux, ils s'étaient toujours passionnés pour ces phénomènes de la nature que peu de scientifiques pouvaient vraiment expliquer sans paraître ridicules. Qu'est-ce qui les maintenait réellement dans le ciel? L'apesanteur? Dray en doutait. Il y avait sûrement une force bien plus puissante, quelque chose qui ne pouvait pas être expliqué par la science et qui ne pouvait être compris que par ceux qui y croyaient. Comme le lien entre lui et Madisson, il y croyait dur comme fer. C'était comme si ce lien avait toujours existé, avant même leur naissance. Personne ne pouvait l'expliquer, et personne ne cherchait à comprendre. Ils étaient deux, et ils avaient toujours été deux, tout simplement.
Mais Madisson, elle... Elle était bien plus encore. Elle était la Lune. Elle était un astre lumineux, qui tournait sans cesse, dans le but d'éclairer un peu plus le monde entier. Elle était ce genre de lumière qui ne s'éteint jamais, ce genre de lumière qu'on pourrait suivre sans poser de question. Ce genre de lumière qu'on ne se lasse pas d'admirer.
Et Dray, il était le ciel sombre. Froid et sombre. Mais en son coeur brillait la lune. C'était la seule chose qui lui donnait un air un peu moins désolé. Elle lui donnait presque même un air poète.
En gros, elle était la Lune et lui, le ciel. La seule chose qu'il y avait entre eux, c'était les étoiles. Elles étaient là à narguer le monde par le simple fait de leur présence inexpliquée et inexplicable. Bien que de ce point de vue, les étoiles perdaient de leur beauté, il n'en restait pas moins fasciné par ces petits être lumineux, il était sûr que c'était des êtres. Rien de plus ni moins que des êtres. Lumineux, certes, mais des êtres tout de même. Donc, pas infaillibles. Il finirait bien par découvrir leur secret. Sénèque lui-même en est l'auteur:"Le courage conduit aux étoiles et la peur à la mort." De ce fait, il se réservait une place à leurs côtés lorsqu'il en aurait marre de sentir le sol sous ses pieds. Il deviendrait alors un être lumineux, parmi les autres. Il ne serait plus le ciel, mais l'étoile. Il ne serait plus le nargué, mais celui qui nargue. Et à jamais il serait visible.

Il monta à la tour d'astronomie. Son coeur pulsait au rythme de ses pas. Marche après marche. Chaque battement le rapprochait un peu plus de son objectif. Sa survie. Sa Lune. Sa lumière. Cela faisait trop longtemps qu'il en avait séparé. Il était comme un illuminé privé de sa lumière. Rien. Il se sentait faible, déboussolé, petit.
C'est à peine s'il se sentait encore quelque chose.



Voilà... J'y ai réfléchi à fond, et en effet, y'avait vraiment, mais alors là, vraiment plus à dire

Oui, je n'hésiterai pas à te demander alors!

Bon... J'ai looooongtemps cherché une image qui me plaisait, et j'ai enfin trouvé!
Je regardais par la fenêtre et (il faisait et fait toujours moche... ) et j'ai pensé à l'automne!
Donc voilà l'image

Spoiler:

Et j'ai suivi ton conseil en écoutant de la musique, c'était plus simple, en effet, merci
Je la mets au cas où tu voudrais savoir c'est laquelle
https://www.youtube.com/watch?v=so6ExplQlaY



Tandis que les feuilles mortes jonchaient le sol, tapissant la terre d’une douce couleur orangée, les arbres dressaient leur dernière robe rouge vers les cieux en attendant la venue de l’hiver. Leurs ombres, tels de fantômes poètes, dansaient sur le feuillage déchu, l’assombrissant en des jeux de couleurs auxquels même Dame Nature n’aurait pu prétendre en être à l’origine. Et leurs troncs écorchés, morts et vivants à la fois, abritaient déjà nombre des secrets de ceux qui avaient eu le bonheur et la chance incroyable de rencontrer leur chemin. Le chemin. Ce chemin qui menait au brouillard, qui menait partout et nulle part. On en voyait ni le commencement, ni la fin; ce n’était qu’un long chemin, prisonnier des arbres, prisonnier de leur étreinte, mais pourtant si libre. On pouvait se placer n’importe où, en se retournant le paysage restait identique, il était à la fois parfaite symétrie, et différent partout. Chaque arbre était différent de son suivant et identique à son suiveur. On ne pouvait différencier un arbre d’un autre qu’en admettant qu’ils étaient pareils. Et autour de cette paisible route s’étendait la joie infinie de la terre, verte comme une robe d’été, parsemée de fleurs oranges, rouges et jaunes. Ces couleurs se disputaient le paysage, mais il y régnait une douce harmonie que le ciel lui-même lui enviait à un point tel que sa jalousie le faisait disparaître derrière les frêles branches encore habillées de leur épais manteau d’automne. On y était prisonnier comme on y était libre. Libre d’aller et de venir admirer ce tableau réel et inimaginable, libre d’admirer la danse des feuilles et des ombres, jetant sur la terre leur jeu de lumière. On n’était rien devant l’immensité de ce tableau, on ne pouvait donner aucune limite à ce paysage tellement sa grandeur nous dépassait. Et en même temps, on était tout. On en était le centre, le cœur même. On était ce qui donnait beauté et puissance au paysage, car sans yeux pour l’admirer, il n’aurait été que vil petit passage d’un endroit à un autre. On s’éclipsait devant cette immensité, mais on était tout de même important. Chaque détail était important, chaque fissure, chaque feuille, chaque brindille, chaque brin d’herbe participait la pureté d’un paysage sans faille. Chaque élément avait sa place et son importance. Et ici plus encore qu’ailleurs. Tout dépendait de la vision de la personne. Pour quelqu’un de pressé, cela s’arrêtait à un beau paysage d’automne. Mais pour un enfant, innocent et pur, ce paysage ne pouvait être que ce qu’il n’avait jamais vu de plus beau et le resterait à jamais, et il penserait de la même manière chaque fois qu’il tomberait sur un autre paysage. Un aveugle ne verrait pas les couleurs, mais percevrait les odeurs douces et chatoyantes qu’offrait l’écorce des arbres, la sensation humide que la pluie avait laissée derrière elle, amenant d’autres odeurs encore, plus surprenantes les unes que les autres. Il ressentirait la paisibilité et le calme offerts par le lieu. Chacun avait une vision différente du tableau, mais au final, le tableau était resté le même pour tous.


J'ai l'impression que c'est un peu court, mais en même temps, j'arrive pas à rajouter plus

Merci

Haha, Ouuui Thomas, j'ai toujours besoin de toi!!!!
Merci

ça fait un peu longtemps et j'avais complètement zappé le cours! ... Mais je pense que c'est toujours intéressant d'apprendre. J'aimerais bien continuer le cours, si tu veux toujours de moi comme élève.
Je vais déjà commencer par faire cet exercice.

• Je n'aurais jamais pensé pouvoir finir ainsi. Seul. Je n'avais jamais voulu finir ainsi. Seul. Mais c'est comme ça que j'ai fini. Seul.
  
  J'étais étendu dans un petit lit inconfortable dans un coin d'une chambre minable et miteuse isolée dans la plus haute tour d'un château tombant en ruine. Et j'enrageais. Oui, j'enrageais et je pestais contre le monde entier! Les autres étaient partis aux Iles Canaries, aux States, là où le soleil pouvait faire cuire un oeuf sur le pare brise d'une voiture; mais moi j'étais là, au milieu de nulle part, dans un vieux château que même les rats fuyaient. "Mais oui, Jake, tu verras ça va être super!". Et voilà, deux semaines à ne rien faire, coincé dans une tour aussi morbide que les cuisines de l'école, et digne des films d'horreur au budget aussi réduit que l'imagination de leurs réalisateurs. J'avais presque eu la bonne volonté de trainer ma carcasse jusqu'ici, et voilà que j'héritais de la chambre la plus miteuse. Même la bonne avait une chambre plus grande que la mienne, même la niche du chien avait l'air plus propre. J'étais juste dans une pièce aux murs jaunis par les années, au plafond menaçant de s'effondrer chaque seconde, et meublée d'un simple lit de camp recouvert d'une couverture aussi douce que l'écorce des bois environnant. Mais parlons-en de ce plafond. Chaque nuit, et j'étais là depuis six jours, il grinçait et craquait comme si quelqu'un s'amusait à faire des vas et viens au dessus de ma tête. J'étais pourtant dans la plus haute chambre de la plus haute tour du château - Moi c'est Jake, pas Raiponce. - et tout ce qu'il y avait au dessus, c'était un ancien grenier condamné pour raisons de sécurité. Le propriétaire n'avait pas été très loquace sur le sujet, mais il avait évoqué une mésaventure dans cette pièce morbide, il avait donc décidé d'en condamner l'accès. Pourtant, j'étais persuadé que chaque soir, quelqu'un empruntait les fragiles marches de bois qui contournaient ma chambre, menant à la pièce interdite. N'étant ni peureux, si superstitieux, je ne m'étais pas fait de soucis à ce sujet, sûrement était-ce le propriétaire qui venait vérifiait la porte du grenier. Mais ce qui me dérangeait, c'était que les bruits de pas descendaient avant de remonter quelques instants plus tard, et j'avais décidé d'attendre un soir afin de vérifier cette hypothèse, et selon mes sens, je n'avais pas tort. J'étais plus intrigué qu'apeuré, mais loin d'être fou, je n'aurais jamais été m'aventurer là-haut. J'avais plus intéressant à faire, comme... Comme... Dormir? Je n'avais aucune envie de suivre papa, maman et Aly à visiter les environs, les autres châteaux ou les musées. Tout cela m'intéressait autant qu'un troupeau de vache broutant de l'herbe, et j'étais passionné des vaches, mon Dieu!
  
  Je me sentis soudain fatigué, très fatigué. Il était vrai que la nuit dernière je n'avais pas beaucoup dormi, parce qu'apparemment les poussières d'en haut avaient semblé très agitées, très lourdes aussi. De toute façon, je n'avais rien d'autre à faire, autant rattraper le sommeil. Je m'endormis donc sans remords et ne repensai plus à cette pièce étrange qui menaçait de squatter la mienne chaque nuit. Je fis par contre un rêve immonde, un cauchemar peu commode où des enfants se faisaient enlever par une créature difforme, mi-homme mi-... pas homme, qui les emmenait dans des sous-terrains pour les dévorer corps, sang et âme. Les cris des enfants se répercutaient dans ma tête dans un écho interminable et insoutenable. Je ressentais leur douleur, quand le monstre leur arrachait la peau, leur écrasait les membres... Mais la pire douleur fut celle de l'âme, aspirée et dévorée par cet être immonde. Jamais encore je n'avais fait un cauchemar pareil. J'étais l'un des enfants enlevés et j'attendais mon tour effaré, isolé dans un coin de la grotte sous-terraine. Quand enfin vint mon tour, la créature se tourna vers moi avec ses deux grands yeux rouges, haletant comme une bête en haleine, soufflant un air chaud dans ma direction. ma terreur fut telle que je m'éveillai dans un sursaut.
  
  J'étais à nouveau dans ma chambre miteuse, mais loin d'être rassuré. Les volets avaient été fermés et les lourds rideaux tirés, de telle sorte que la seule lumière qui éclairait encore la pièce venait de deux grosses bougies placées de chaque côté de mon lit. Quelqu'un avait du passer pendant que je dormais. Combien de temps avais-je dormi? Je jetai un rapide coup d'oeil à ma montre avant de remarquer que celle-ci débloquait complètement. La grande aiguille sautait à la seconde suivante avant d'y revenir incessamment. Bon, une montre cassée, ça va tuer une mouche. Haussant les épaules, je me levai afin d'aller allumer la lumière, je laissai néanmoins les bougies allumées pour ne pas me prendre les pieds dans quelque truc ou machin-bidule. Je ne me rappelais pas avoir retiré la clé de la chambre... Où était-elle passée? A moins que la personne passée l'avait prise par inattention... Je décidai d'ouvrir la porte pour vérifier si la clé ne se trouvait pas sur la serrure derrière mais la poignée ne tourna pas. La porte resta irrésistible malgré l'effort que je fournissais pour l'ouvrir, et j'avais essayé dans tous les sens m'y usant les doigts. Alors seulement je pris peur. Je courus allumer la lumière mais là encore rien ne se passa. C'était comme si quelqu'un essayait de m'effrayer, et c'était réussi. Fronçant les sourcils, je pestai contre Aly; ils avaient du rentrer pendant que je dormais et pour me faire une mauvaise blague, elle avait du m'enfermer ici pour me punir de ne pas les avoir accompagnés.
  
  Tout à coup, ce qu'il y avait là haut s'agita, me faisant totalement sursauter. Le plafond se remit à trembler, grincer, tout ce que vous voulez qui prouve que quelqu'un ou quelque chose se trouvait là haut. Ca ne pouvait pas être Aly, elle était bien trop trouillarde pour aller s'aventurer seul là en pleine nuit, et je voyais mal mes parents trouver un quelconque intérêt à un vieux grenier. Du haut de mes 16ans, je courus me réfugier sur mon lit, contre le mur le plus loin possible de cette porte d'entrée. Si quelque chose m'y avait enfermé, ce quelque chose allait sûrement revenir me chercher. Je tremblais comme une feuille, mon coeur tambourinait dans ma poitrine à m'en faire exploser le thorax. J'aurais voulu l'arracher pour qu'il cesse de battre ainsi. Mais mes mains tremblaient tellement que j'aurais pu m'ouvrir la poitrine sans jamais trouver mon organe principal. J'essuyai la sueur qui perlait mon front en retenant mes larmes et tirai sec la couverture au dessus de ma tête, recroquevillé sur moi-même, quand soudain, les bruits de pas descendirent l'escaliers contigu à ma chambre. Les pas me semblaient plus lourds et plus lents que jamais, faisant grincer les vieilles marches de bois. Je crus que ce moment ne s'arrêterait jamais. J'attendis néanmoins avec angoisse que les pas retournent d'où ils venaient, mais il semblait que ce quelque chose n'était pas du même avis. Les pas se rapprochaient dangereusement de la porte verrouillée, et je vis les ombres dansant sur le pas de la porte. La chose se tenait devant ma chambre. Croyant ma dernière heure venue, j'éclatai en sanglots silencieux, priant toutes les divinités que je connaissais de me venir en aide. Jamais encore je n'aurais pensé finir mes jours dans une chambre pourrie, dans un château datant du Moyen Age, au milieu de nulle part. Je murmurai alors des paroles que moi-même je ne comprenais pas, quand devant mes yeux ahuris, la poignée se tourna d'elle-même, lentement, lentement. Et quand la porte fut complètement déverrouillée, plus rien. La chose n'ouvrit pas tout de suite, me laissant le temps de pleurer toutes les larmes de mon corps. Je ne voulais pas finir ici, je ne voulais pas finir maintenant. Pas comme ça. Je tremblai à m'en mordre la langue, lorsque soudain, la porte grinça, s'ouvrant plus lentement encore. J'étouffai un sanglot bruyant lorsque un souffle venu de nulle part vint éteindre les seules sources de lumière éclairant encore la pauvre petite pièce meurtrie par les âges.
  
  Et à l'apogée de ma peur, la porte s'ouvrit d'un coup, en explosant presque. La chose semblait avoir de la force, et de l'impatience. Croyant ma dernière heure venue, j'éclatai en sanglots aussi bruyants qu'un train, n'osant lever les yeux sur ce qui allait causer ma perte. Grand moment de silence.
  Quelqu'un éclata de rire. Pas d'un rire diabolique, ni sarcastique. Un grand rire moqueur, mais plein de vie. Je bondis sur mes pieds, essuyant toutes mes larmes de ma manche sale, et reniflai bruyamment. Aly se tenait sur le seuil de la porte, agitant la clé de ma chambre. Les cadence de mon coeur s'apaisa peu à peu mais mon esprit n'était toujours pas tranquille.
  
  - Ca t'apprendra à vouloir rester seul!
  
  Et elle éclata de rire à nouveau. Je me sentais ridicule finalement. Jamais je n'aurais du agir ainsi. Tout est rationnel dans le monde, les monstres n'existent pas, pas plus que les fées ni la magie. Je lui lançai un regard noir lorsqu'elle m'annonça qu'on m'attendait pour aller diner. Je ramassai la couverture tombée au sol et la jetai sur le lit. Mes mains tremblaient encore. Quelque chose clochait quand même, comment avait-elle fait pour monter dans le grenier si la pièce était condamnée, et le propriétaire n'avait pas l'air d'avoir envie de blaguer sur le sujet.
  
  - Comment t'as fait pour aller là-haut? demandai-je enfin en la rejoignant.
  - De quoi tu parles, Jake? Je n'ai jamais été là-haut! s'exclama-t-elle en haussant les épaules.
  
  Je n'avais pourtant pas rêvé. Chaque soir, ces bruits survenaient et me surprenaient, m'empêchant de dormir. Et jamais Aly n'aurait osé se promener dans le château passé 20h... Haussant les épaules et chassant ces mauvaises pensées, je suivis Aly, lui reprenant la clé. Je la glissai dans ma poche pour ne plus la perdre en prenant bien soin de fermer la porte derrière moi. Je suivais tranquillement Aly dans le couloir quand un bruit étrange m'interpella. Un halètement, étrangement semblable à celui dans mon rêve, venait de plus haut. Je me retournai en m'approchant des bas des marches. Aly était déjà partie. J'étais à nouveau seul, ou presque, dans cet endroit morbide. Mais au moins, je n'étais plus coincé. le bruit ne semblait pas vouloir s'arrêter et en tendant l'oreille, je m'aperçus qu'il venait d'en haut. Cette pièce m'intriguait réellement. Mais je ne pouvais pas m'attarder, et puis j'avais faim. Je me promis de questionner le propriétaire sur le sujet quand tout à coup, la porte derrière moi grinça. En s'ouvrant, elle dévoilà deux grands yeux rouges pareil à deux orbes de feu, accompagnés d'un halètement à faire s'enfuir le Diable en personne. Deux énormes bras à rallonge, difformes et rugueux s'emparèrent de moi me tirant avec force jusqu'au grenier tandis que la porte se refermait derrière moi ...

Voilàààààààààààà, j'espère que ça ira! J'ai décidé d'aller un peu plus loin que le psychlogique, et la fin est un peu bâclée je trouve...
Enfin, je compte sur toi pour m'aider !

Bah, mon retard était pire encore

Hummm... l'idée de la métaphore m'intéresse bien, je crois que je vais essayer de caler un paragraphe quelque part, mais ça sera pas facile ^_^

enfait, pour la fin, ..
pendant le développement, j'ai beaucoup été arrêté, interpellé, etc... Donc, j'ai dur reprendre encore et encore.. mais ça a quand même été. Par contre, pou la fin, j'en ai eu un peu marre, il faut l'avouer.. Donc, j'ai quand même essayé de retranscrire la fin que j'avais en tête, mais en précipitant les choses. Donc, voilà...
Je pense que je vais reprendre le paragraphe de fin en effet, et je l'arrangerai mieux (:
Merci en tout cas pour ces conseils!

Donc, voilà, juste pour pas que ça reste encore sans réponse, mais je pense pas que je vais le faire tout de suite, donc dès que je l'aurais fait, je posterai à la suite, ou je rééditerai mon message (:

Meeeeeeeeeeeerci!