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Holly Dilay & Helena Dashwood

 
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 Holly Dilay & Helena Dashwood

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Holly Dilay


Holly Dilay
Elève de 6ème année & Préfet



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Particularités: Je m'épanouie totalement dans les relations à sens unique comme une fleur au printemps.
Ami(e)s: Haley Collins ? Qui sait avec le temps... Et Lilian qui est ma bestie (et puis elle avait tellement insisté que j'ai fini par craquer).
Âme soeur: Je pense que l'on peut supprimer cette case en ce qui me concerne.

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MessageSujet: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeMer 4 Mai - 0:51

Voilà c'est ici que nous allons travailler ensemble ! Holly Dilay & Helena Dashwood 39359

J'ai eu l'occasion de lire tes deux posts de RPs sur le forum, nous y reviendrons plus tard. Pour le moment nous allons nous concentrer sur ton personnage.

Helena Dashwood a écrit:
Nom : Dashwood
Prénom(s) : Helena
Caractère : Dynamique, curieuse mais pas commère
Aime : la compétition, quelque soit le domaine
Aime pas : les tricheurs, les hystériques
Animaux : Un hibou
Passe temps/passions : Explorer

Une présentation brève, mais qui ne renseigne pas assez sur le personnage.
Tu vas donc refaire ta fiche de présentation et développer un peu tout cela avec le modèle suivant :

- Nom & Prénom(s) :
- Physique : Minimum de 200 mots
- Caractère : Idem
- Habitudes ou manies : Minimun de 50 mots
- Nature du sang :
- Origines :
- Lieu de résidence :
- Animaux : Minimum de 100 mots
- Baguette magique : Tu peux t'aider de ce topic.
- Famille : Minimum de 150 mots
- Histoire : Minimum de 500 mots

Voilà j'ai vraiment envie que tu explores absolument chaque possibilité. Evidemment si tu arrives à faire plus de mots, c'est quelque chose d'excellent ! Essaye aussi de trouver une mise en page bien à toi. Je t'enverrais un MP pour ça.

Si tu as des questions, envois moi un MP ! Holly Dilay & Helena Dashwood 788650
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Helena Dashwood


Helena Dashwood
Élève de 3ème année



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Âme soeur:

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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeDim 26 Juin - 23:04

  • Nom : Dashwood

  • Prénom : Helena, qui signifie "Éclat du soleil" en grec.

  • Origines : Anglaises

  • Lieu de résidence : Londres

  • Nature du sang : Mêlé

  • Baguette magique :
Elle mesure 28 centimètres, faîtes dans du bois d'accacia elle possède un crin de licorne.


  • Physique (209 mots)

Entre ses deux parents, c'est de son père qu'elle tient le plus et elle en est fière. Blonde comme papa, des grands yeux bleus comme papa, le teint clair comme papa... Ses cheveux lui arrivent à la poitrine, tantôt bouclés par temps humide et tantôt lisses par temps sec. Elle a une taille dans la moyenne pour son âge et plutôt svelte. Elle possède donc des caractéristiques qui lui permettent de se fondre dans la masse sans problème. Si elle se différencie des autres c'est par l'expression de son visage qui est assez singulier. Elle fait parti de ses personnes dont les traits physiques sont en transparence complète avec ses sentiments, ici à cause de sa fossette et de ses yeux très expressifs.
Elle aime porter des couleurs vives mais n'aime pas s'encombrer de bijoux sauf lors d'occasions spéciales. Le seul accessoire qui ne la quitte jamais est un gros chouchou accroché à son poignet qu'elle utilise pour attacher sa chevelure.
Comme de nombreuses filles elle a un grand complexe physique, ce sont ses doigts qu'elle trouve trop petits et donc moches. Elle s'arrange pour les cacher, dès qu'elle le peut elle met des gants, des manches longues ou bien elle les dissimulent dans ses poches.


  • Caractère (259 mots)

D'un caractère plutôt dynamique, elle ne supporte pas que les gens soient mous ou paresseux. En fait elle déteste perdre son temps et tout doit être fait rapidement, ce qui fait qu'elle est plutôt organisée et assez vive. Elle n'aime pas les gens qui crient ou encore qui parlent pour ne rien dire mais aime se retrouver en compagnie de gens qui savent la faire rire et qui ne la contredisent pas. Il faut dire qu'elle a un égo assez fort. Elle ne veut compter que sur elle-même et déteste qu'on lui dise ce qu'elle a à faire. La jeune fille a développé un esprit de compétition assez poussé à cause dû au fait qu'elle aime de se mesurer aux autres. Elle peut parfois être mauvaise joueuse mais jamais elle ne parvient à ses fins en trichant.
Elle déteste qu'on s'en prenne à ses amis et les défend coûte que coûte. Il faut dire qu'elle laisse souvent ses sentiments l'emporter sur sa raison ce qui la pousse parfois à commettre des erreurs.
La chose qu'elle préfère est explorer des lieux inconnus. Non pas pour le plaisir de l'inconnu et des surprises qu'il peut réserver mais justement parce qu'elle déteste ça. Elle aime connaître tous les recoins comme sa poche.
Très terre à terre elle n'est pas du tout superstitieuse. Le fait qu'elle ai appris qu'elle est une sorcière n'y a rien changé. Elle ne considère pas la sorcellerie comme un don extraordinaire mais comme quelque chose qu'il faut travailler avec rigueur, comme n'importe quelle faculté.



  • Habitudes ou manies (133 mots)

Elle a pour habitude de manger souvent des pommes dans la journée, que ce soit en travaillant ou en se baladant ce qui fait qu'elle prend peu de repas et ne s'alimente donc pas correctement. Elle se parfum trois fois par jour, le matin en se levant, le matin avant d'aller en cours et le soir.
De plus lorsqu'elle reçoit une lettre à Poudlard, elle s'en débarrasse à chaque fois car elle a toujours peur que quelqu'un la trouve. Cela est dû au fait qu'elle se confie peu et qu'elle n'aime pas qu'on se mêle de ses affaires.
Sa sale manie est de faire claquer ses ongles contre le bureau sans s'en rendre compte lorsqu'elle est stressée, ce qui a le dont d'énerver les autres qui se trouvent dans la même pièce qu'elle.



  • Animaux (137 mots)

Helena ne voue pas un amour particulier aux animaux. Elle apprécie les poissons rouges par exemple parce qu'ils ne parlent pas et qu'un aquarium dans un salon ou dans une chambre peut être une jolie décoration. Cela ne veut pas dire qu'elle ne les aime pas, au contraire, mais elles les préfère sauvage ou quand ils ne sont pas encombrant. Du genre les chats de salon qui roupillent dans ton lit et prennent la moitié de la place, non merci. C'est pourquoi lors de son entrée à Poudlard elle a choisi de prendre un hibou blanc tacheté marron, un grand duc, qu'elle trouve très beau mais aussi bien pratique puisqu'elle n'a pas besoin d'utiliser un autre volatile, en qui elle n'aurait pas confiance, pour envoyer son courrier. D'ailleurs elle ne lui a toujours pas trouvé de nom...

  • Famille (171 mots)

Helena était très proche de son père et a été déboussolée par son départ. Elle a beaucoup de choses en commun avec lui, autant du côté physique que par son caractère. La jeune fille a toujours entretenu de très bonnes relations avec lui bien qu'il eût parfois quelques prises de têtes inévitables entre ces deux fortes personnalités. Elle n'est ni particulièrement proche ni distante de sa mère mais la situation actuelle fait que leurs liens ont tendance à se solidifier. Enfant unique, elle a toujours était habituée à ce que le monde tourne autour d'elle ce qui a forcément déteint sur sa personnalité.
Elle ne connait qu'un cousin qui a cinq ans, le fils de la sœur de son père. Son père a aussi un frère mais dont il ne parle que pour évoquer des souvenirs d'enfance ou qu'il a mal fini. Helena ne l'a jamais rencontrée.
Enfin, du côté maternelle, sa mère a rompu tout lien avec sa famille, dont les causes demeurent inconnues pendant longtemps auprès de la Gryffondor.


  • Histoire (643 mots)

Les parents d'Helena se sont rencontrés dans un bar moldu lorsqu'ils avaient vingt-cinq ans. Ils s'éprirent l'un de l'autre et se marièrent deux ans plus tard. Sa mère, Juliet, quitta alors son poste d'infirmière qu'elle occupait dans un endroit qu'elle n'avait jamais précisément mentionné et devint femme au foyer. Elle coupa également les ponts avec sa famille pour des raisons mystérieuses. Celle-ci ne désirait pas avoir d'enfants, prétextant diverses raisons plus ou moins convainquantes. Cependant, un jour, elle tomba enceinte « accidentellement » et Helena vînt au monde le vingt mars à minuit.

Elle fit toujours la fierté de son papa, Ethan Dashwood, promoteur immobilier et le bonheur de sa maman, qui semblait oublier après cette naissance les raisons qui l'avaient poussée à ne pas vouloir d'enfants.
Diverses fois des choses étranges arrivèrent à la jeune enfant Dashwood. Le premier événement rationnellement inexplicable se produisit lorsque Helena atteignait à peine ses huit ans. Elle se trouvait alors dans le salon avec sa mère et piquait une crise parce que celle-ci ne voulait pas l'inscrire dans un cours de karaté. A ce moment-là, le vase préféré de son père, qu'il avait ramené de Chine, éclata en mille morceaux alors qu'il se trouvait à deux ou trois mètres d'elles. Sa mère lui fit promettre de ne rien dire, sinon papa serait très en colère. Par la suite elle raconta à son mari qu'elle l'avait fait tomber sans faire exprès en faisant la poussière des meubles. En retour elle inscrivit Helena à son cours de karaté. Il en fut ainsi pour d'autres évènements que sa mère dissimula un par un à son époux. Cependant, depuis ce jour-là, sa mère fit régulièrement des crises d'angoisses dont Helena ne comprenait pas l'origine.

Tout s'expliqua le fameux jour où la pré-adolescente reçut sa lettre d'admission dans une école de sorcellerie. « Poudlard », il y avait écrit. Elle découvrit alors le pourquoi du comment. Sa mère, sorcière elle-même, avait cachée cette part d'identité à Ethan. Pourquoi ? A cause d'une triste histoire. Celui-ci avait eu un frère, James, ce fameux oncle qu'Helena n'avait jamais eu l'honneur de rencontrer. Il avait été un sorcier. Un sorcier dans une famille entièrement moldue. Il avait été accueillie dans la prestigieuse maison de Gryffondor. La nouvelle avait été accueillie avec enthousiasme au début, mais, au fil des années, il devint néfaste et infréquentable. Il changea du tout au tout. Le père d'Helena, qui avait été très proche son frère qui était de deux ans son aîné, devint fort égoïste, manipulateur et méchant. Lui qui avant été gentil, généreux et plein de joie. Son père avait immédiatement cru que c'était parce qu'il était sorcier qu'il était devenu comme ça. Tous les sorciers étaient des mauvais. Bref, pour finir, l'oncle avait usé de sa magie pour escroquer une entreprise moldue. On lui avait retiré ses pouvoirs, il était devenu alcoolo et à présent il habitait dans un endroit reculé de la Grande Bretagne on ne savait où.
Il avait raconté cette histoire à Juliet, au bout d'une année de relation, qui avait elle-même connu James à Poudlard. Très amoureuse, elle avait eu peur sur le coup de lui dire qui elle était et avait gardé le secret. Puis au fur et à mesure le mensonge s'était consolidé...

Après avoir appris que sa fille et sa femme étaient toutes les deux des sorcières mais surtout qu'il avait bâti sa vie sur un tissu de mensonges, il quitta le domicile conjugale. Depuis, sans aucune nouvelle de lui, la mère d'Helena est complètement déprimée et essaye de retrouver un travail dans le monde des sorciers, mais c'est très difficile.

Helena, très affectée par le départ de son père pense que pour qu'il revienne, il faut qu'elle réussisse ses études à Poudlard et lui prouve qu'être sorcier n'est pas une fatalité, mais un destin différent qui peut être passionnant
.
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Particularités: Je m'épanouie totalement dans les relations à sens unique comme une fleur au printemps.
Ami(e)s: Haley Collins ? Qui sait avec le temps... Et Lilian qui est ma bestie (et puis elle avait tellement insisté que j'ai fini par craquer).
Âme soeur: Je pense que l'on peut supprimer cette case en ce qui me concerne.

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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeSam 2 Juil - 2:58

Si tu as des questions par rapport à mes commentaires ou si tu souhaites avoir un avis plus poussé, on en discutera via MP.

Citation :
Nom : Dashwood

Prénom : Helena, qui signifie "Éclat du soleil" en grec.

Origines : Anglaises

Lieu de résidence : Londres

Nature du sang : Mêlé

Baguette magique : Elle mesure 28 centimètres, faîtes dans du bois d'acacia elle possède un crin de licorne.

Physique : Entre ses deux parents, c'est de son père qu'elle tient le plus (mal dit *) et elle en est fière. Blonde comme papa, des grands yeux bleus comme papa, le teint clair comme papa... Ses cheveux lui arrivent à la poitrine, tantôt bouclés par temps humide et tantôt lisses par temps sec. Elle a une taille dans la moyenne pour son âge et plutôt svelte. (mal dit *) Elle possède donc des caractéristiques qui lui permettent de se fondre dans la masse sans problème. Si elle se différencie des autres c'est uniquement par l'expression de son visage qui est assez singulier. Elle fait partie de ces personnes dont les traits physiques sont en transparence complète avec ses sentiments (mal dit *), ici à cause de sa fossette et de ses yeux très expressifs.
Elle aime porter des couleurs vives, mais n'aime pas s'encombrer de bijoux sauf lors d'occasions spéciales. Le seul accessoire qui ne la quitte jamais est un gros chouchou accroché à son poignet qu'elle utilise pour attacher sa chevelure.
Comme de nombreuses filles elle a un grand complexe physique, ce sont ses doigts qu'elle trouve trop petits et donc moches. Elle s'arrange pour les cacher, dès qu'elle le peut elle met des gants, des manches longues ou bien elle les dissimule dans ses poches.

Caractère : D'un caractère plutôt dynamique, elle ne supporte pas que les gens soient mous ou paresseux. En fait Elle déteste perdre son temps et tout doit être fait rapidement, ce qui fait qu'elle est plutôt organisée et assez vive (mal dit *). Elle n'aime pas les gens qui crient ou encore qui parlent pour ne rien dire mais aime se retrouver en compagnie de gens qui savent la faire rire et qui ne la contredisent pas. Il faut dire qu'elle a un égo assez fort (ça fait bizarre, j'aurais dit un "égo surdimensionné"). Elle ne veut compter que sur elle-même et déteste qu'on lui dise ce qu'elle a à (il est préférable d'utiliser le verbe devoir ici) faire. La jeune fille a développé un esprit de compétition assez poussé à cause dû au fait qu'elle aime de se mesurer aux autres (il ya un petit problème de relecture ici *). Elle peut parfois être mauvaise joueuse, mais jamais elle ne parvient à ses fins en trichant.
Elle déteste qu'on s'en prenne à ses amis et les défend coûte que coûte. Il faut dire qu'elle laisse souvent ses sentiments l'emporter sur sa raison ce qui la pousse parfois à commettre des erreurs.
La chose qu'elle préfère est d'explorer des lieux inconnus (ce mot sera répété dans la phrase suivante, mais il est préférable de remplacer celui-ci par un synonyme comme "inexploré"). Non pas pour le plaisir de l'inconnu et des surprises qu'il peut réserver mais justement parce qu'elle déteste ça. Elle aime connaître tous les recoins comme sa poche.
Très terre à terre elle n'est pas du tout superstitieuse. Le fait qu'elle ait appris qu'elle est une sorcière n'y a rien changé. Elle ne considère pas la sorcellerie comme un don extraordinaire mais comme quelque chose qu'il faut travailler avec rigueur, comme n'importe quelle faculté (il s'agit d'un synonyme de don, "compétence" serait plus approprié).

Habitudes ou manies : Elle a pour habitude de manger souvent des pommes dans toute la journée, que ce soit en travaillant ou en se baladant ce qui fait qu'elle prend peu de repas et ne s'alimente donc pas correctement. Elle se parfume trois fois par jour, le matin en se levant, le matin avant d'aller en cours et le soir.
De plus lorsqu'elle reçoit une lettre à Poudlard, elle s'en débarrasse à chaque fois, car elle a toujours peur que quelqu'un la trouve. Cela est dû au fait qu'elle se confie peu et qu'elle n'aime pas qu'on se mêle de ses affaires.
Sa sale manie est de faire claquer ses ongles contre le bureau sans s'en rendre compte lorsqu'elle est stressée, ce qui a le don d'énerver les autres qui se trouvent (il serait préférable d'utiliser le participe présent "se trouvant") dans la même pièce qu'elle.

Animaux : Helena ne voue pas un amour particulier aux animaux. Elle apprécie les poissons rouges par exemple parce qu'ils ne parlent (le verbe "communiquer" correspond mieux) pas et qu'un aquarium dans un salon ou dans une chambre peut être une jolie décoration. Cela ne veut pas dire qu'elle ne les aime pas (tu pourrais préciser une nouvelle fois qu'il s'agit bien des animaux derrière "les"), au contraire, mais elles les préfère sauvage ou quand ils ne sont pas encombrant. Du genre Comme les chats de salon qui roupillent dans ton votre lit et prennent la moitié de la place, non merci. C'est pourquoi lors de son entrée à Poudlard elle a choisi de prendre un hibou blanc tacheté de marron, un grand-duc, qu'elle trouve très beau, mais aussi bien pratique puisqu'elle n'a pas besoin d'utiliser un autre volatile, en qui elle n'aurait pas confiance, pour envoyer son courrier. D'ailleurs elle ne lui a toujours pas trouvé de nom...

Famille : Helena était très proche de son père et a été déboussolée par son départ. Elle a beaucoup de choses en commun avec lui, autant du côté physique que par son caractère (mal dit *). La jeune fille a toujours entretenu de très bonnes relations avec lui bien qu'ils eussent parfois quelques prises de têtes inévitables entre ces deux fortes personnalités (mal dit *). Elle n'est ni particulièrement proche ni distante de sa mère mais la situation actuelle fait que leurs liens ont tendance à se solidifier (mal dit *). Enfant unique, elle a toujours était habituée à ce que le monde tourne autour d'elle ce qui a forcément déteint sur sa personnalité.
Elle ne connait qu'un cousin qui a cinq ans, le fils de la sœur de son père (ne va pas trop dans le détail et précise juste qu'il s'agit de ta tante du côté paternel). Son père a aussi un frère, mais dont il ne parle que pour évoquer des souvenirs d'enfance ou qu'il a mal fini (mal dit *). Helena ne l'a jamais rencontré.
Enfin, du côté maternelle, Sa mère a rompu tout lien avec sa famille, dont les causes demeurent inconnues pendant longtemps auprès de la Gryffondor. (mal dit *)

Histoire : Les parents d'Helena se sont rencontrés dans un bar moldu lorsqu'ils avaient vingt-cinq ans. Ils s'éprirent l'un de l'autre et se marièrent deux ans plus tard. Sa mère, Juliet, quitta alors son poste d'infirmière qu'elle occupait dans un endroit qu'elle n'avait jamais précisément mentionné (mal dit *) et devint femme au foyer. Elle coupa également les ponts avec sa famille pour des raisons mystérieuses. Celle-ci ne désirait pas avoir d'enfants, prétextant diverses raisons plus ou moins convaincantes. Cependant, un jour, elle tomba enceinte « accidentellement » et Helena vînt au monde le vingt mars à minuit.

Elle fit toujours la fierté de son papa père, Ethan Dashwood, promoteur immobilier et le bonheur de sa maman mère, qui semblait oublier après cette naissance les raisons qui l'avaient poussée à ne pas vouloir d'enfants.
Diverses Plusieurs fois des choses étranges arrivèrent à la jeune enfant Dashwood. Le premier événement rationnellement inexplicable se produisit lorsque Helena atteignait avait à peine ses huit ans. Elle se trouvait alors dans le salon avec sa mère et piquait une crise parce que celle-ci ne voulait pas l'inscrire dans un cours de karaté. A ce moment-là, le vase préféré de son père, qu'il avait ramené de Chine, éclata en mille morceaux alors qu'il se trouvait à deux ou trois mètres d'elles. Sa mère lui fit promettre de ne rien dire, sinon papa serait très en colère. Par la suite elle raconta à son mari qu'elle l'avait fait tomber sans faire exprès en faisant la poussière des meubles. En retour elle inscrivit Helena à son cours de karaté. Il en fut ainsi pour d'autres évènements que sa mère dissimula un par un à son époux. Cependant, depuis ce jour-là, sa mère fit régulièrement des crises d'angoisses dont Helena ne comprenait pas l'origine.

Tout s'expliqua le fameux jour où la pré-adolescente reçut sa lettre d'admission dans une école de sorcellerie. «Poudlard», il y avait écrit. Elle découvrit alors le pourquoi du comment. Sa mère, sorcière elle-même, avait caché cette part d'identité particuliarité à Ethan. Pourquoi ? A cause C'est d'une triste histoire. Celui-ci (précise qu'il s'agit du père d'Helena)avait eu un frère, James, ce fameux oncle qu'Helena n'avait jamais eu l'honneur de rencontrer. Il avait été un sorcier. Un sorcier dans une famille entièrement moldue (j'aurais mis "originaire d'une famille moldue"). Il avait été accueilli répartit dans la prestigieuse maison de Gryffondor. La nouvelle avait été accueillie avec enthousiasme au début, mais, au fil des années, il devint néfaste et infréquentable. Il changea du tout au tout. Le père d'Helena, qui avait été très proche son frère qui était de deux ans son aîné, devint fort égoïste, manipulateur et méchant. (Ouh ta phrase est très maladroite *)Lui qui avant été gentil, généreux et plein de joie joyeux. Son père avait immédiatement cru que c'était parce qu'il était sorcier qu'il était devenu comme ça (peut être mieux tourné *). Pour lui tous les sorciers étaient des mauvais. Bref, pour finir, L'oncle avait usé de sa magie pour escroquer une entreprise moldue. On lui avait retiré ses pouvoirs, il était devenu alcoolique et à présent il habitait dans un endroit reculé de la Grande Bretagne on ne savait où exactement.
Il avait raconté cette histoire à Juliet, au bout d'une année de relation, qui avait elle-même elle même avait connu James à Poudlard. Très amoureuse d'Ethan, elle avait eu peur sur le coup de lui dire qui qu'elle était sorcière et avait gardé le secret. Puis Au fur et à mesure le mensonge s'était consolidé...

Après avoir appris que sa fille et sa femme étaient toutes les deux des sorcières, mais surtout aussi qu'il avait bâti sa vie sur un tissu de mensonges, il quitta le domicile conjugal. Depuis, sans aucune nouvelle de lui, la mère d'Helena est complètement déprimée et essaye de retrouver un travail dans le monde des sorciers, mais c'est très difficile (peut être mieux tourné *).

Helena, très affectée par le départ de son père pense que pour qu'il revienne, qu'il faut qu'elle réussisse ses études à Poudlard pour qu'il revienne et lui prouver qu'être sorcier n'est pas une fatalité, mais un destin différent qui peut (utilise le participe présent "pouvant")être passionnant.

J'aimerais que tu essayes de reformuler les phrases marquées d'une *, numérote les que je m'y retrouve ! Holly Dilay & Helena Dashwood 39359

Je suis plutôt satisfaite, il y avait relativement peu d'erreur de conjugaison et d'orthographe, penses à bien te relire avant de poster pour éviter ces petites fautes d'innatentions. Ton problème est surtout lié aux accord des sujets et des verbes.

Tu utilises en permanence "elle" et "Helena", essayes de trouver d'autres moyens de parler d'elle. Sert toi de la couleur de ses cheveux, de ses yeux, de son caractère, sa maison ...
Evites les phrases trop compliquées, pense à ne pas faire de phrase trop longue, mais surtout qu'elles soient compréhensives. N'hésite pas à rappeler le sujet de ta phrase si cette dernière est longue.
N'oublie pas "mais" et "car" sont toujours précédés d'une virgule.

Deuxième exercice :
Je veux un texte d'un minimum de 600 mots sur ce contexte :
Un groupe de trois petites pestes de la maison Serpentard commencent à énerver Helena qui était tranquillement installée près du potager aux citrouilles. La dispute vire très vite au duel entre Helena et la meneuse des chipies. N'hésites pas à décrire les lieux, les gestes et les émotions de la Gryffondor, ce qu'elle faisait avant l'arrivée du petit groupe., la raison de la dispute. Holly Dilay & Helena Dashwood 47351
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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeDim 3 Juil - 16:48

Correction de l'exercice I


Physique

1° « Entre ses deux parents, c'est de son père qu'elle tient le plus »
→ On a toujours vanté sa ressemblance avec son père, ce dont elle a toujours été très fière.

2° « Elle a une taille dans la moyenne pour son âge et plutôt svelte »
→ Ni grande, ni petite, elle a une taille qui se situe dans la moyenne pour les filles de son âge et qui est plutôt fine.

3° « Elle fait partie de ces personnes dont les traits physiques sont en transparence complète avec ses sentiments »
→ Loin d'avoir une expression impassible sur son visage, il suffit de la regarder pour savoir ce qu'elle ressent.

4° « elle les dissimule dans ses poches »
→ Elle les fourre souvent dans ses poches

Caractère

1° « ce qui fait qu'elle est plutôt organisée et assez vive »
→ Elle déteste perdre son temps. Pour éviter cela, elle accorde une grande importance à l'organisation et à la rapidité par laquelle elle exécute quelque chose.

2° « assez fort »
→ un égo surdimensionné

3° «  ce qu'elle a à faire »
→ et déteste qu'on lui dise ce qu'elle doit faire.

4° « à cause du fait qu'elle aime se mesurer aux autres »
→ Elle aime se mesurer aux autres ce qui a développé en elle un fort esprit de compétition.

5° « La chose qu'elle préfère est d'explorer des lieux »
→ La chose qu'elle préfère est de découvrir des lieux encore inexplorés

6° « comme n'importe quelle faculté »
→ comme n'importe quelle aptitude

Habitudes ou manies


«Sa sale manie est de faire claquer ses ongles contre le bureau sans s'en rendre compte lorsqu'elle est stressée, ce qui a le don d'énerver les autres qui se trouvent dans la même pièce qu'elle » 
→ ce qui agace souvent les personnes se trouvant dans la même pièce qu'elle.

Animaux

1° «Elle apprécie les poissons rouges par exemple parce qu'ils ne parlent »
→ parce que muets, ils ne la dérangent pas.

2° « Cela ne veut pas dire qu'elle ne les aime pas »
→ Cela ne signifie pas qu'elle n'aime pas les bêtes
Famille

1° « autant du côté physique que par son caractère »
→ aussi bien physiquement que moralement parlant.

2° « qu'ils eussent parfois quelques prises de têtes inévitables entre ces deux fortes personnalités »
→ bien que quelques prises de têtes furent inévitables quand ces deux fortes personnalités n'étaient pas d'accord sur un point.

3° «  fait que leurs liens ont tendance à se solidifier »
→ leur liens ont tendance à se renforcer

4° «  Elle ne connait qu'un cousin qui a cinq ans, le fils de la sœur de son père »
→ Elle ne connait que le fils de sa tante paternelle qui a cinq ans.

5° « Son père a aussi un frère, mais dont il ne parle que pour évoquer des souvenirs d'enfance ou qu'il a mal fini »
→ Son père a aussi un frère dont il ne parle que rarement. Il ne mentionne son nom que pour évoquer des souvenirs d'enfance ou sa malheureuse déchéance.

6° « Sa mère a rompu tout lien avec sa famille, dont les causes demeurent inconnues pendant longtemps auprès de la Gryffondor. »
→ De son côté sa mère a rompu tout lien avec sa famille. La Gryffondor n'en découvrira les raisons que petit à petit après son entrée à Poudlard.

Histoire :

1° « Sa mère, Juliet, quitta alors son poste d'infirmière qu'elle occupait dans un endroit qu'elle n'avait jamais précisément mentionné et devint femme au foyer. »
→ Sa mère Juliet quitta alors son poste d'infirmière pour devenir femme au foyer. Elle n'avait jamais mentionnée précisément l'endroit où elle travaillait mais son mari n'insista pas sur ce point. Il aimait passionnément sa femme et avait une confiance aveugle en elle.

2° « Celle-ci ne désirait pas avoir d'enfants, prétextant diverses raisons plus ou moins convaincantes »
→ Celle-ci ne désirait pas avoir d'enfants. Elle invoquait plus la persuasion que des arguments solides pour se justifier auprès de son époux.

3° « Sa mère, sorcière elle-même, avait caché cette part d'identité particuliarité à Ethan.
→ Sa mère, sorcière elle-même, avait tout mis en œuvre pour que Ethan ne découvre jamais cette particularité.

4° «  Celui-ci (précise qu'il s'agit du père d'Helena)avait eu un frère, James »
→ Son père avait eu un frère, James

5° «  Un sorcier dans une famille entièrement moldue »
→ Le tout premier sorcier dans l'histoire de la famille Dashwood.

6° «Le père d'Helena, qui avait été très proche son frère qui était de deux ans son aîné, devint fort égoïste, manipulateur et méchant. Le père d'Helena, qui avait été très proche son frère qui était de deux ans son aîné, devint fort égoïste, manipulateur et méchant.  » 
→ Ce frère était de deux ans son aîné. Pour son caractère doux et généreux, il avait été non seulement le modèle d'Ethan mais aussi une personne très proche de lui avec lequel il partageait de nombreux secrets. Mais James changea du tout au tout pendant ses études à Poudlard. D'après son père il devînt « égoïste et manipulateur ». Cette histoire l'a convaincu que la sorcellerie ne fait que transformer les meilleurs gens en les pires malfrats de l'espèce humaine.

7° «  L'oncle avait usé de sa magie pour escroquer une entreprise moldue. On lui avait retiré ses pouvoirs, il était devenu alcoolique »
→ L'oncle utilisa sa magie pour escroquer une entreprise moldu. On lui confisqua ses pouvoirs. Démuni de sa magie, il sombra dans l'alcool. On pense qu'il habite à présent dans un endroit reculé de la Grande Bretagne, mais personne ne sait exactement où.

8° «  il quitta le domicile conjugal »
→ le domicile familiale.

9° «  la mère d'Helena est complètement déprimée et essaye de retrouver un travail dans le monde des sorciers, mais c'est très difficile »
→ La mère d'Helena est complètement déprimée. Elle essaye pourtant de retrouver du travail dans le monde des sorciers. Mais après des années d'absence dans la vie active, il est assez difficile pour elle d'en trouver un.

10° « lui prouver qu'être sorcier n'est pas une fatalité, mais un destin différent qui peut être passionnant.»
→ lui montrer qu'être sorcier n'est pas une fatalité, mais un destin différent pouvant servir à des fins honnêtes.
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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeLun 4 Juil - 18:32

Exercice II



Après une matinée de cours bien rempli, arriva l'heure du déjeuner. Ne prenant jamais de repas à cette heure-ci, Helena retourna dans son dortoir pour y déposer son sac. Elle fit un tour rapide dans la salle de bain où elle se passa un coup de peigne et s'aspergea un peu de son parfum aux fraises dans le cou. Puis la jeune fille quitta le territoire des Gryffondor, dévala les escaliers et piqua une pomme rouge qui trainait dans une corbeille de fruits avant de s'en aller se promener dans le parc, son MP3 dans les oreilles.

Elle aimait ce moment de la journée qu'elle considérait comme parfaitement mérité. Se retrouver un peu seule pour se détendre après avoir travaillé sans relâche pendant plusieurs heures. Elle avait trouvé les cours très instructifs. Elle n'avait pas lâché sa plume plus de quelques secondes pour écouter ses professeurs. Après avoir gratté son parchemin pendant plusieurs heures, elle avait maintenant le poignet complètement en compote.

Il ne faisait pas spécialement beau aujourd'hui et pour la première fois depuis longtemps, la Gryffondor avait du prendre un gilet avec elle pour ne pas avoir froid. Elle arriva au potager des citrouilles et décida de s'y arrêter. Elle s'installa par-terre, adossée à une citrouille. Elle écoutait sa musique tandis qu'elle observait un peu les alentours. Elle commençait à manger sa pomme lorsqu'elle aperçut une pie non loin d'elle avec un objet brillant dans le bec. Cependant la jeune blonde, hormis le reflet aveuglant que le soleil faisait sur lui, ne pu apercevoir l'objet. L'oiseau disparut ensuite dans un arbre. Helena ferma les yeux quelques instants et quand elle les rouvrit une rouquine se tenait devant-elle.


- Euh oui ? Dit-elle en ôtant un de ses écouteurs.

La jeune fille lui souriait. Vous savez ce sourire d'hôtesse de l'air faussement chaleureux... A première vue elle semblait plus âgée qu'Helena. Cela se voyait à son corps de jeune femme avec ce qu'il faut là où il faut. Elle portait l'insigne des vert et argent.


- Vanessa Elinor McConor. Dit-elle, et toi ?

Une fille qui s'appelle Vanessa, qui est rousse et qui est à Serpentard. Ça sentait le roussi. La Gryffondor aurait du déguerpir avant que la nouvelle arrivante lui fasse passer un mauvais quart d'heure. Enfin les nouvelles arrivantes. Derrière elle, deux filles, aussi âgées que la première, attendaient les bras croisés. Elles scrutaient Helena d'un œil mauvais.

- Hum... Helena Dashwood. Dit-elle en se raclant la gorge.

Elle essayait de dissimuler son malaise. Elle ne s'était jamais retrouvé face à des Serpentard, et franchement cela ne lui plaisait pas du tout. Qui sait ce qu'elles lui voulaient... parce que jamais une personne inconnue ne l'avait abordé avec un ton aussi mielleux. Cela cachait quelque chose. La jeune fille n'allait pas tarder à savoir quoi.


- Bien Helena, où est ma bague ?


La question fut brusque et interloqua l'interrogée. Par réflexe elle croisa ses bras pour cacher ses doigts ce que Julia remarqua. La jeune blonde ne portait jamais de bagues. Elle détestait ses mains parce qu'elle trouvait ses doigts hideux. Jamais elles ne les ornaient de bagues, cela n'aurait fait qu'attirer l'attention sur elles, ce qu'elle ne voulait absolument pas.

- Je ne l'ai pas vu ta bague. Elle est comment ?


Une des filles restée en arrière plan s'avança. C'était une petite brune à lunettes du genre tête à claque.


- Elle est en or et a une grande valeur. Déclara-t-elle d'un ton hautain.

Helena n'aimait pas ces personnages et sentait que la situation risquait de mal tourner. Elle qui était venue juste dans le but de trouver un peu de calme et de repos avant les prochains cours, la voilà mal servie. Elle sentit ses poils s'hérisser sur son échine La rouge et or allait répliquer qu'elle n'avait jamais la moindre bague lorsque le souvenir de la pie lui revint à l'esprit. Ce qu'elle tenait dans son bec tout à l'heure était peut-être cette fameuse bague...

- C'est la pie qui l'a prise ! S'exclama-t-elle.

Julia ne semblait pas satisfaite de cette réponse et sans que la jeune blonde eu le temps de réagir, la Serpentard lui arracha son MP3.


- Non mais je rêve ou t'accuses un oiseau ? Je le garde tant que tu ne me l'auras pas rendu,
dit-elle en désignant du menton l'objet d'Helena.

Il était posé sur le creux de sa main droite. Elle la narguait la chipie. Elle voulait énerver Helena. Eh bien c'était réussi, elle était totalement furax. La Gryffondor se redressa d'un coup et menaça la rouquine de sa baguette. Non parce que non seulement elle tombait sur une Serpentard, mais en plus elle était complètement débile. La jeune blonde se disait que cela ne servait à rien de s'expliquer, que quoi qu'il arrive l'autre nierait toujours. Son visage devint tout rouge, elle avait chaud, très chaud. Tellement chaud qu'elle enleva sa veste.


- Non mais tu te prends pour qui ?! Rends-moi ça ou je te jette un sort.


Helena brandissait sa baguette comme un pistolet. Elle savait bien qu'elle était plus jeune, et donc plus novice que cette grande perche, mais elle ne supportait pas qu'on la considère comme inoffensive. C'était quelque chose d'insupportable. La Gryffondor serrait les dents pour ne pas l'insulter tous les noms, ce qui lui aurait semblé bien puérile.


- Tu es bien sûr de toi. Je te signale que j'ai beaucoup plus d'expérience. Tu comptes me lancer quoi au juste, un Wingardium Leviosa ?

Les trois ricanèrent suite à cette remarque. Pfff. Que des beaux parleurs ces vert et argent, mais après ce qu'ils savent vraiment faire, c'est autre chose. Ils restent de marbre derrière leurs grands airs et leur manières de petits sangs pur. C'était hyper agaçant.

- Accio MP3 !

Et son baladeur arriva jusqu'à elle mais Julia semblait s'en foutre complètement. Il y avait toujours ce rictus au coin de ses lèvres très irritant.


- Expelliarmus !
S'exclama alors la verte et argent.

Privée de sa baguette qui roula jusqu'aux pieds de la chef du trio, Helena se jeta sur elle et commença à lui tirer les cheveux. Vieux réflexe défensif qui date de l'école primaire Elles tombèrent toutes les deux à terre, mais Julia avait toujours sa baguette.


- Serpensortia


Un serpent apparut. Même si Helena n'avait pas la phobbie des serpents, elle ne les appréciait pas non plus. Elle se releva, ses habits couverts de terre. Les autres s'esclaffaient tandis que la Gryffondor s'accrochait à une branche pour que le serpent ne l'atteigne pas. Sous son poids, la branche se balança et un nid tomba juste devant leur nez. Plusieurs objets qui se trouvaient à l'intérieur s'éparpillèrent sur le sol. Julia fit disparaître le serpent et Helena se précipita sur la bague qui avait rebondit sur le sol.

- Julia, c'est ta bague !
Cria la troisième fille qui jusque-là n'avait pipé mot.

Ce fut la première année qui s'en empara. Un sourire mesquin s'esquissa sur ses lèvres lorsqu'elle l'examina. Elle n'était pas en or. La jeune blonde le savait parce que sa tante bijoutière lui apprenaient à discerner ces choses-là quand elle passait les vacances chez elles. Fière comme une Gryffondor, les cheveux emmêlés et le visage barbouillé de poussière, elle la tendit à Julia.


- T'inquiètes pas, chuchota-t-elle, je leur dirai pas que c'est du plastique.

Julia ne répliqua rien, et, toute contente, elle repartie en direction du château.




[1238 mots]
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Âme soeur: Je pense que l'on peut supprimer cette case en ce qui me concerne.

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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeJeu 7 Juil - 18:56

Je suis vraiment satisfaite pour la correction de l'exercice I, tu en as même fais plus que demandé et certaines phrases n'avaient pas besoin de changement, mais ce n'est pas grave. Holly Dilay & Helena Dashwood 39359

Voilà la correction de l'exercice, comme je te l'ai dit par MP en rouge ce sont les fautes et en bleu les phrases que tu auras à reformuler.

Citation :
Après une matinée de cours bien rempli, arriva l'heure du déjeuner. Ne prenant jamais de repas à cette heure-ci, Helena retourna dans son dortoir pour y déposer son sac. Elle fit un tour rapide dans la salle de bain où elle se passa un coup de peigne et s'aspergea un peu de son parfum aux fraises dans le cou. Puis la jeune fille quitta le territoire des Gryffondor, dévala les escaliers et piqua une pomme rouge qui trainait dans une corbeille de fruits (où était-elle cette corbeille ?) avant de s'en aller se promener dans le parc, son MP3 dans les oreilles.

Elle aimait ce moment de la journée qu'elle considérait comme parfaitement mérité. Se retrouver un peu seule pour se détendre après avoir travaillé sans relâche pendant plusieurs heures. Elle avait trouvé les cours très instructifs. Elle n'avait pas lâché sa plume plus de quelques secondes pour écouter ses professeurs. Après avoir gratté son parchemin pendant plusieurs heures, elle avait maintenant le poignet complètement en compote.

Il ne faisait pas spécialement beau aujourd'hui et pour la première fois depuis longtemps, la Gryffondor avait prendre un gilet avec elle pour ne pas avoir froid. Elle arriva au potager des citrouilles et décida de s'y arrêter. Elle s'installa par terre, adossée à une citrouille. Elle écoutait sa musique tandis qu'elle observait un peu les alentours. Elle commençait à manger sa pomme lorsqu'elle aperçut une pie non loin d'elle avec un objet brillant dans le bec. Cependant la jeune blonde ne put apercevoir l'objet, hormis le reflet aveuglant que le soleil faisait sur lui. L'oiseau disparut ensuite dans un arbre. Helena ferma les yeux quelques instants et quand elle les rouvrit une rouquine se tenait devant-elle.

- Euh oui ? dit-elle en ôtant un de ses écouteurs.

La jeune fille lui souriait. Vous savez ce sourire d'hôtesse de l'air faussement chaleureux... A première vue elle semblait plus âgée qu'Helena. Cela se voyait à son corps de jeune femme avec ce qu'il faut là où il faut. Elle portait l'insigne des vert et argent.

- Vanessa Elinor (ce n’est pas vraiment utile…) McConor. dit-elle, et toi ?

Une fille qui s'appelle Vanessa, qui est rousse et qui est à Serpentard. Ça sentait le roussi. La Gryffondor aurait déguerpir avant que la nouvelle arrivante lui fasse passer un mauvais quart d'heure. Enfin les nouvelles arrivantes, derrière elle, deux filles, aussi âgées que la première, attendaient les bras croisés. Elles scrutaient Helena d'un œil mauvais (pourquoi ?).

- Hum... Helena Dashwood, dit-elle en se raclant la gorge.

Elle essayait de dissimuler son malaise. Elle ne s'était jamais retrouvée face à des Serpentard et franchement cela ne lui plaisait pas du tout. Qui sait ce qu'elles lui voulaient... parce que jamais une personne inconnue ne l'avait abordé avec un ton aussi mielleux. Cela cachait quelque chose. La jeune fille n'allait pas tarder à savoir quoi.

- Bien Helena, où est ma bague ?

La question fut brusque et interloqua l'interrogée. Par réflexe elle croisa ses bras pour cacher ses doigts ce que Julia remarqua. La jeune blonde ne portait jamais de bagues. Elle détestait ses mains parce qu'elle trouvait ses doigts hideux. Jamais elles ne les ornaient de bagues, cela n'aurait fait qu'attirer l'attention sur elles, ce qu'elle Helena ne voulait absolument pas.

- Je ne l'ai pas vu ta bague. Elle est comment ?

Une des filles restée en arrière-plan s'avança. C'était une petite brune à lunettes du genre tête à claque.

- Elle est en or et a une grande valeur, déclara-t-elle d'un ton hautain.

Helena n'aimait pas ces personnages et sentait que la situation risquait de mal tourner. Elle qui était venue juste dans le but de trouver un peu de calme et de repos avant les prochains cours, la voilà mal servie. Elle sentit ses poils s'hérisser sur son échine. La rouge et or allait répliquer qu'elle n'avait jamais vu la moindre bague lorsque le souvenir de la pie lui revint à l'esprit. Ce qu'elle tenait dans son bec tout à l'heure était peut-être cette fameuse bague...

- C'est la pie qui l'a prise ! s'exclama-t-elle.

Julia ne semblait pas satisfaite de cette réponse et sans que la jeune blonde eu le temps de réagir, la Serpentard lui arracha son MP3.

- Non mais je rêve ou t'accuses un oiseau ? Je le garde tant que tu ne me l'auras pas rendu, dit-elle en désignant du menton l'objet d'Helena.

Il était posé sur dans le creux de sa main droite. Elle la narguait la chipie. Elle voulait énerver Helena. Eh bien c'était réussi, elle était totalement furax. La Gryffondor se redressa d'un coup et menaça la rouquine de sa baguette. Non Parce que non seulement elle tombait sur une Serpentard, mais en plus elle était complètement débile. La jeune blonde se disait que cela ne servait à rien de s'expliquer, que quoi qu'il arrive l'autre nierait toujours. Son visage devint tout rouge, elle avait chaud, très chaud. Tellement chaud qu'elle enleva sa veste.

- Non mais tu te prends pour qui ?! Rends-moi ça ou je te jette un sort.

Helena brandissait sa baguette comme un pistolet. Elle savait bien qu'elle était plus jeune et donc plus novice que cette grande perche, mais elle ne supportait pas qu'on la considère comme inoffensive. C'était quelque chose d'insupportable. La Gryffondor serrait les dents pour ne pas l'insulter tous les noms, ce qui lui aurait semblé bien puérile.

- Tu es bien sûr de toi. Je te signale que j'ai beaucoup plus d'expérience. Tu comptes me lancer quoi au juste, un Wingardium Leviosa ?

Les trois ricanèrent suite à cette remarque. Pff, que des beaux parleurs ces vert et argent, mais après ce qu'ils savent vraiment faire, c'est autre chose. Ils restent de marbre derrière leurs grands airs et leurs manières de petits sangs pur. C'était hyper agaçant.

- Accio MP3 !

Et son baladeur arriva jusqu'à elle, mais Julia semblait s'en foutre complètement. Il y avait toujours ce rictus très irritant au coin de ses lèvres.

- Expelliarmus ! s'exclama alors la vert et argent.

Privée de sa baguette qui roula jusqu'aux pieds de la chef du trio, Helena se jeta sur elle Julia et commença à lui tirer les cheveux. Vieux réflexe défensif qui date de l'école primaire. Elles tombèrent toutes les deux à terre, mais Julia avait toujours sa baguette.

- Serpensortia

Un serpent apparut. Même si Helena n'avait pas la phobie des serpents, elle ne les appréciait pas non plus. Elle se releva, ses habits couverts de terre. Les autres s'esclaffaient tandis que la Gryffondor s'accrochait à une branche pour que le serpent ne l'atteigne pas. Sous son poids, la branche se balança et un nid tomba juste devant leur nez. Plusieurs objets qui se trouvaient à l'intérieur s'éparpillèrent sur le sol. Julia fit disparaître le serpent et Helena se précipita sur la bague qui avait rebondit sur le sol.

- Julia, c'est ta bague ! cria la troisième fille qui jusque-là n'avait pipé mot.

Ce fut la première année qui s'en empara. Un sourire mesquin s'esquissa sur ses lèvres lorsqu'elle l'examina. Elle n'était pas en or. La jeune blonde le savait parce que sa tante bijoutière lui apprenait à discerner ces choses-là quand elle passait les vacances chez elles. Fière comme une Gryffondor, les cheveux emmêlés et le visage barbouillé de poussière, elle la tendit à Julia.

- T'inquiètes pas, chuchota-t-elle, je ne leur dirais pas que c'est du plastique.

Julia ne répliqua rien et toute contente, elle Helena repartie en direction du château.

J'ai remarqué que tu t'embrouilles un peu avec les différents sujets... Essayes de faire plus attention et relis-toi bien afin d'éviter quelques incompréhensions, j'ai dû relire certain passage deux fois avant de comprendre...

Tu vas donc reformuler les phrases et passer à l'exercice III ! Holly Dilay & Helena Dashwood 39359

Tu vas choisir un de tes RPs celui que tu préfères et tu vas l'analyser. Je veux une liste des qualités et des défauts, corrige les fautes en rouges si tu en trouves et si tu vois que tu aurais pu formuler certaines phrases autrement met les en bleu. En gros tu vas auto-corriger un de tes propres post.

Bon courage et n'hésites pas pour tes éventuelles questions. Holly Dilay & Helena Dashwood 47351
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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeSam 9 Juil - 1:41

Correction de l'exercice II

piqua une pomme rouge qui trainait dans une corbeille de fruits (où était-elle cette corbeille ?)

« piqua une pomme rouge dans une corbeille de fruits qui trainait sur la table. »

Elles scrutaient Helena d'un œil mauvais (pourquoi ?)

« Elles scrutaient Helena d'un œil mauvais mais la Gryffondor en ignorait encore la raison »

Elle sentit ses poils s'hérisser sur son échine
« Elle frissonna »

mais après ce qu'ils savent vraiment faire, c'est autre chose.
« mais quand il s'agit d'agir c'est une autre affaire »

la branche se balança
« la branche oscilla »


Exercice III

J'ai pas vraiment de RP préféré, donc j'en ai pris un tiré de "On gagnera", qui est assez frais, mais pas trop ce qui me permet d'avoir assez de recul. Voilà donc ce que j'ai fais :



Plongée dans ses pensées, Helena ne sentit pas la présence de la vipère. La vert et argent était pourtant là, à quelques mètres derrière-elle, l'observant tranquillement avec cette expression si singulière à cette espèce : celle d'avoir toujours de vilaines arrières pensées. La jeune fille n'avait encore jamais parlé à l'un d'entre-eux, se contentant d'en croiser un ou deux du regard dans les couloirs. Elle ne s'attendait pas à que son premier face à face se passe ici.

Suggestions:
→ toujours privilégier les phrases courtes
«La vert et argent était pourtant là, à quelques mètres derrière-elle. Elle l'observait tranquillement. Comme tous les autres de sa maison, l'expression de son visage trahissait de mauvaises arrières pensées. »
→ Utiliser des termes plus précis : quand j'utilise l'expression « la jeune fille » on peut avoir un doute sur la personne que je désigne, ici Helena. Je peux donc la remplacer par exemple par « La Gryffondor » puisque les deux personnages présents ne sont pas dans la même maison. Il n'y aura alors pas d'ambiguïté.
« La Gryffondor n'avait encore jamais abordé un Serpentard, se contentant d'en croiser quelques uns du regard dans les couloirs.

Elle l'avait imaginé plus héroïque et tournant à son avantage. Pas devant les sabliers qui classaient les plus courageux en dernier. Elle s'était dit qu'elle en aurait croisé un dans la salle de duel et qu'elle lui aurait flanquée la raclée de sa vie... mais la jeune blonde savait que la réalité était toujours différente des scène utopiques qu'on concevait le soir avant de s'endormir.


Suggestions :
→ N'ayant pas encore employer le terme « sabliers » dans ce poste, peut-être qu'il faudrait privilégier le terme indéfini « des sabliers »
→ Un problème avec l'emploi du temps, après relecture j'aurai mis la deuxième phrase plutôt au présent « Pas devant des sabliers qui classent les plus courageux en dernier »
→ On entre dans les pensées de Helena, peut-être que j'aurai pu détailler un peu plus la scène qu'elle avait imaginé puisque je sous-entends qu'elle l'a de nombreuses fois répétée dans sa tête.

L'élève de première année se demandait comment les Gryffondor allaient faire pour rattraper cet énorme décalage. Elle se demandait aussi comment les Serpentard avaient fait pour en avoir autant. En fait, elle ne pensait pas que sa maison en gagnait moins, mais qu'ils en perdaient plus. Réputés pour leur courage, les rouge et or aimaient s'aventurer dans des entreprises risqués. Il était aisé pour certains d'abuser des plus passionnés, d'user de leur raison et finalement de leur planter un coup de poignard dans le dos...

Suggestions:

« l'élève de première année » = Claire et Helena sont toutes les deux en première année, il faut choisir autre chose pour les distinguer
« décalage » = je mettrai plutôt le mot « retard »
« en avoir autant » = je ne précise pas quoi « pour avoir autant de points »
« elle ne pensait pas que» Helena ne pensait pas que
→ La dernière phrase est trop bizarre, mais elle m'avait déjà gêné lors de son écriture, je la remplacerai par ça par exemple : « Elle savait que certains de ses camarades s'emportaient facilement. Certains en profitaient pour titiller leur égo et facilement les Gryffondor commettaient les pires bêtises. »

Helena n'entendit pas les pas du serpent approcher. Il y avait bien trop d'élèves qui passaient pour qu'elle distingue à l'oreille les pas qui s'approchaient d'elle. Ce fut lorsqu'on lui tapa doucement sur le dos qu'elle sortit de ses pensées.

Suggestions:
→ « qu'elle distingue à l'oreille » : le mot oreille n'était peut-être pas très utile.
→ maintenant que j'y pense, ce n'était pas vraiment audacieux de choisir « le serpent » pour qualifier Claire. En plus « les pas du serpent » ça sonne bizarre, un serpent ça marche pas ça rampe x)
→ «  Ce fut seulement lorsqu'on lui » pour insister sur l'instant où Helena se rend compte qu'il y a quelqu'un près d'elle.

- Claire Oerba, enchantée. Tu es vraiment prête a tout pour faire gagner Gryffondor ?

La jeune blonde s'écarta immédiatement de son sablier peu rempli. Ce ton faussement gentil ne pouvait appartenir qu'aux roublards. La jeune blonde se retourna et bingo ! Le blason des Serpentards rayonnait sur la poitrine de son interlocutrice. Son intervention laissait supposer qu'elle était là depuis quelques minutes et qu'elle avait suffisamment tendu l'oreille pour écouter les propos que la jeune fille avait tenu.


Suggestions:

→ Alors déjà j'ai utilisé deux fois « la jeune blonde » en trois phrases ce qui n'est pas bon.
→ « rayonnait » : rayonnait, rayon, quand je me relis ça me fait penser plus à la couleur du soleil, le jaune, le dorée, pas une couleur très serpentard. Je mettrai plutôt « luisait » qui a la même signification mais qu'on utilise inversement pour dire « les astres luisent » ce qui renvoi à une couleur plus froide, voire l'argenté, comme les serpentard.
→ « Ces dernières paroles supposaient que Claire était là depuis quelques minutes puisqu'elle semblait avoir entendu les propos de la Gryffondor »

- Salut. Helena Dashwood. Et je suis prête à faire tout ce qu'il faut pour qu'on remporte cette coupe. Pourquoi cette question ? Lui demanda-t-elle, immédiatement sur la défensive.

La pré-adolescente savait que leurs maisons étaient réputés historiquement pour ne pas s'entendre depuis des siècles. La Gryffondor ne pensait pas que c'était parce que les Serpentard les détestaient plus que les autres. Ces disputes étaient juste une habitude que génération après génération les élèves répétaient sans s'en lasser. Un peu comme si maintenant ces relations étaient inscrites dans leurs gênes.


Suggestions:
→ Il faut choisir entre « historiquement » et « depuis des siècles » sinon ça fait too much.
→ « une habitude que génération après génération les élèves perpétuaient »


Helena se demandait bien ce qu'elle lui voulait. A moins que la prénommée Claire ne tienne à l'embêter qu'en gaspillant sa salive. Ce fut à ce moment-là que le regard de la rouge et or tomba sur le livre que l'autre tenait dans ses bras. « Pâtisserie magique » était le titre du manuel. Elle haussa les sourcils s'interrogeant sur le contenu de ce manuel.

Suggestions:
→ « ce qu'elle lui voulait » : « ce qu'elle lui voulait celle-là » = donne une tonalité plus méprisante à l'égard de Claire
→ deuxième phrase = ça ne donne pas vraiment le sens que je voulais lui attribuer, je mettrai plutôt « Sauf si la prénommée Claire gaspillait sa salive juste pour lui dire ça ce qui l'aurait fort étonnée de la part d'un Serpentard. », je pourrai aussi développer plus le « pourquoi ça? »
→ « Il y était inscrit en gros caractères sur la couverture Pâtisserie magique »
→ « sur le contenu » = « Elle haussa les sourcils. Qu'est-ce que c'était que ça exactement les pâtisseries magiques ? »

- Attends. Laisse-moi deviner, vous faîtes des gâteaux aux profs avec des sales trucs dedans pour augmenter vos points c'est ça ?

Elle plaisantait à moitié, mais d'un autre côté elle se disait qu'avec eux, il ne fallait s'étonner de rien. Ces Serpentards avaient le don de les étonner jour après jour avec leurs supercheries toujours plus mesquines que les premières.

Suggestions :

→ reformulation du dernier paragraphe
« Elle ne plaisantait qu'à moitié. D'un côté il fallait vraiment être bête pour concocter ce genre de plan insensé, de l'autre les Serpentard avait toujours de quoi les étonner. Ils avaient le chic pour les supercheries les plus mesquines.

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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeJeu 11 Aoû - 15:17

Citation :
« piqua une pomme rouge dans une corbeille de fruits qui trainait sur la table. »

Tu as loupé une occasion de faire plus de mots sur ce coup-là.

Exemple :
« Puis la jeune fille quitta le territoire des Gryffondor, dévala les escaliers et rentra dans la Grande Salle. Se dirigeant vers la table des lions, Helena parla un instant avec une autre jeune fille brune portant fièrement le blason des rouges et ors. Les deux demoiselles avaient déjà travaillé ensemble sur un devoir de potion et elles s’étaient plutôt bien entendu. La brune avait su se plier au caractère d’Helena sans pour autant se laisser faire, ce qui avait plu à la blondinette. Helena salua sa camarade, piqua une pomme rouge dans une corbeille de fruits qui trainait sur la table avant de s'en aller se promener dans le parc, son MP3 dans les oreilles. »

Résultat :
Tu as écrit 43 mots.
J’ai réussis à écrire 115 mots.

Tu n’as pas exploité toutes les possibilités, c’est dommage.

Bon passons à la correction de l’exercice III, car oui j’ai des petites choses à dire.

Tu as bien pris le temps de te relire, tu as réfléchis à comment modifier ce qui était gênant dans ta relecture. Je suis satisfaite de ton travail. J’ai quand même de petits commentaires à faire.

Citation :
« une habitude que génération après génération les élèves perpétuaient »

Il faut modifier l’emplacement de certains mots…

Exemple : « une coutume (je trouve que ce mot correspond mieux) que les élèves perpétuaient génération après génération. »

Il suffit parfois de modifier un petit rien pour que ta phrase soit transformée. De temps en temps cherche des synonymes que ce soit pour les noms ou pour les verbes, je trouve que cela rend le texte plus riche et fait attention à ce genre de phrase. Pense à bien les relire plusieurs fois, pour voir si la structure n’est pas étrange.

Citation :
« Sauf si la prénommée Claire gaspillait sa salive juste pour lui dire ça ce qui l'aurait fort étonnée de la part d'un Serpentard. »

Remplacer le mot « juste » par « uniquement » aurait été mieux. Le « de la part » me gêne un peu, j’aurais mis « surtout pour un Serpentard ».

Hormis ces détails, tu as plutôt bien réussis ton exercice. Holly Dilay & Helena Dashwood 36166

Passons au quatrième exercice. Je vais une nouvelle fois te demander un post de RP comme pour l’exercice II, mais il va être un peu spécial. Tu écris à la troisième personne dans tous tes RPs, c’est pour ça que pour cet exercice ta rédaction se fera à la première personne. Ensuite comme tu vas le voir je vais rester très vague pour le contexte.

Le contexte et les conditions :

- Tu devras donc écrire à la première personne.
- Minimum de 700 mots.
- Lieu principal au choix, mais Helena doit obligatoirement passer par les toilettes.
- Dans ce RP Helena ne doit en aucun cas s’adresser à plus de deux personnes. Elle peut évidemment ne s’adresser qu’à une ou aucune personne si tu le souhaites.
- Je ne veux pas trop de discussion directe.
- Le lieu principal devra être décrit avec précision.


Voilà, je te conseille d’écouter de la musique quand tu écris, beaucoup de monde fait ça et parfois c’est vrai que ça inspire. En cas d'éventuelles questions sur la correction ou l'exercice, tu sais où me trouver. Bonne chance Helena. Holly Dilay & Helena Dashwood 47351
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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeMer 17 Aoû - 18:19

J'aurai aimé que cette nuit prenne fin, de fermer les yeux pour les rouvrir à la lueur du jour. D'habitude, c'est ce qui se passait. Je n'avais aucun mal à trouver le sommeil et je trouvais dans mes draps un profond réconfort. Mais ce soir-là, je trouvais mon oreiller trop moue, mon matelas trop dur, la respiration de mes camarades trop bruyante, la lumière de la lune trop forte... Mes pensées se bousculaient dans ma tête et perturbait mon esprit qui ne cherchait qu'un peu de repos. Je me tournai et me retournai dans mon lit, cherchant en vain la position idéale, mais rien à faire, mes paupières ne s'alourdissaient pas.

Les minutes s'écoulaient dans le silence et je commençai à croire que j'allais faire une nuit blanche. J'imaginai déjà les cernes qui borderaient mes yeux bleus le lendemain et les bâillements répétitif pendant les cours du matin. J'essayai tout pour m'endormir, jusqu'aux vieilles méthodes de grand-mères. C'est ainsi que j'en étais à mon soixante-deuxième mouton lorsque j'entendis le parquet craquer. Je tournai doucement la tête et j'aperçus une des filles de mon dortoir se diriger vers la porte.

Elle s'appelait Nina, en troisième année, je la connaissais peu mais elle m'avait aidé quelques fois à faire mes devoirs. J'avais à son égard un profond respect car c'était une jeune fille brillante qui était particulièrement douée pour concocter des potions que même des cinquième années peinaient à réaliser. Je la trouvais très belle avec ses beaux yeux verts et ses cheveux bruns qu'elle avait laissé poussé jusqu'à sa poitrine.

Je la regardais partir, croyant qu'elle allait juste faire un petit tour dans la salle de bain. Je m'assis alors si mon lit et regardait autour de moi. Devant moi, il y avait une fenêtre. Le rideau avait été cassé plus tôt dans la soirée par un des chats d'une des filles de la chambre. Je voyais donc au travers toutes les étoiles parsemées sur la grande étendue bleu et la lune qui continuait de briller avec ardeur. Je m'adossais contre le mur et enlevait la couverture qui me donnait chaud. Je la poussais avec les pieds jusqu'au fond du lit et regardais mon réveil. Minuit et demi. Ce n'était pas très tard, mais cela faisait déjà deux heures que je cherchais à dormir.


- Helena ?

C'était Nina qui venait de m'appeler. Elle avait du voir que je ne dormais pas et à présent, elle me faisait signe de la rejoindre. Moi qui ne demandait pas mieux que de me distraire un peu, je sortis immédiatement de mon lit sans trop me poser de question. Je portais une chemise de nuit à bretelles qui m'arrivait juste au niveau des genoux. Elle était légère mais je n'étais guère frileuse, alors j'enfilais mes chaussons et m'avançais vers la sortie. Je lançais un dernier regard vers les filles de mon dortoir mais la faible luminosité qui régnait dans la pièce ne me permettait pas de distinguer grand chose hormis mon lit vide.

Une fois la porte refermée, je demandais ce qu'elle me voulait et en guise de réponse elle posa son indexe sur ses lèvres. Je compris. Si on faisait du bruit on risquait de réveiller notre directrice, madame Kelsey et elle nous passerait un savon. Nina me prit la main et nous nous dirigeâmes vers la sortie. Nous allions brûler le couvre-feu ? Je ne trouvais pas cela raisonnable mais je ne trouvais pas la force de protester. La curiosité l'emportait sur le reste. Que me voulait-elle ?

Nous quittions le territoire des Gryffondor. Dans le couloir déjà il faisait plus frais et je ressentis un léger frisson me chatouiller dans le cou. J'aurai mieux fait de prendre une veste et enfiler un pantalon. D'ailleurs Nina, elle, avait pris ses précautions. Elle était vêtue d'un sweat noir et d'un jean et c'est au moment où nous dévalions les escaliers silencieusement que je remarquai une petite sacoche en cuir qui se heurter contre sa hanche à chacun de ses nouveaux pas.

Quelques minutes plus tard, nous déboulions dans les toilettes. Je laissais échapper un bâillement et me frottais les yeux. Je m'apprêtais à demander à la troisième année le but de cette escapade nocturne lorsqu'elle me fit de nouveau signe de me taire. Ce petit jeu commençait à me lasser et je sentais que j'allais m'énerver dans les minutes à venir si elle ne me disait pas ce qu'on fabriquait dans les water en plein milieu de la nuit. C'est alors que je la vis sortir une petite marmite d'un des cabinets. Je ne m'étais même pas rendu compte qu'elle m'avait lâché la main.

Nina s'assit parterre et je fis de même, choisissant de me mettre en tailleur. Le coude appuyé sur mon genou, mon menton posé sur ma paume de main je la regardais sortir différentes herbes. Je papillonnais plus rapidement des yeux, tentant de rester attentive à tous ses faits et gestes. Tant de questions se pressaient dans ma tête mais pourtant mes lèvres demeuraient closes.

Enfin elle finit par me tendre un verre dans lequel elle versa de son breuvage. Je lui demandai ce que c'était. Elle me dit que je n'avais qu'à le boire et que je verrais bien. Je lui dis non mais bu tout de même. Je sentis le liquide chaud couler dans mon œsophage. Soudain tout devant-moi devint flou. Les couleurs se confondaient comme si les murs et les toilettes fondaient. Je me levais, titubante, ne comprenant pas ce qui m'arrivait. Mes yeux se posèrent vers l'endroit où Nina s'était assise mais elle n'était plus là.


- Nina ?!

Je continuais de crier son nom en courant maladroitement dans tous les sens. Quelqu'un ou quelque chose m'attrapa brutalement par les épaules. C'était ma camarade de dortoir. Je lui demandais ce qu'elle m'avait fait boire et elle s'esclaffa. Elle s'approcha de moi et me dit
:


- Lena, c'est un philtre pour que ton père t'aimes à nouveau.


Je me rendis compte que je pleurais. Sur le coup, rien ne me surpris. Ni le surnom qu'elle avait utilisé pour m'appeler alors que seul mes parents m'appelaient de cette façon ni le fait qu'elle avait l'air de savoir pour mon père. Je ne lui en avais jamais parlé. Je lui disais de se taire et elle répétait que mon père ne m'aimait plus, qu'il était parti pour toujours, que je ne le reverrai jamais. Tout ça m'étais insupportable et je me bouchais les oreilles. Je me mis à courir sur l'herbe – l'herbe ne me surpris pas non plus sur le coup- en direction d'une petite maison mais Nina me retint par le bras et me poussa violemment parterre.

- Ah !!

Je me relevai brusquement. Ma respiration était saccadée et j'étais aveuglée par le soleil qui fouettais mon visage. Tout en regardant autour de moi, je reprenais mon souffle et me calmais. J'étais dans le dortoir, j'avais fait un cauchemar. Mais à quel moment m'étais-je endormie ? Impossible de le savoir.

Devant-moi, je retrouvais le rideau de velours qui gisait sur le sol. Sur ma table de nuit, les aiguilles de mon réveil étaient bloqués sur onze heures et quart et le petit encadré du milieu indiquait « PM ». J'avais dormi toute la nuit.



***


J'ai écris ce RP avec un total de 1208 mots. J'ai essayé mais je n'arrive pas à décrire l'endroit avec beaucoup de précisions...
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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeMer 24 Aoû - 19:50

Citation :
J'aurais (imparfait) aimé que cette nuit prenne fin, de fermer les yeux pour les rouvrir à la lueur du jour. D'habitude, c'est ce qui se passait. Je n'avais aucun mal à trouver le sommeil et je trouvais dans mes draps un profond réconfort. Mais ce soir-là, je trouvais mon oreiller trop mou, mon matelas trop dur, la respiration de mes camarades trop bruyante, la lumière lueur (ça sonne mieux) de la lune trop forte... Mes pensées se bousculaient dans ma tête et perturbait mon esprit qui ne cherchait qu'un peu de repos. Je me tournais (imparfait) et me retournais (imparfait) dans mon lit, cherchant en vain la position idéale, mais rien à faire, mes paupières ne s'alourdissaient pas.

Les minutes s'écoulaient dans le silence et je commençais (imparfait) à croire que j'allais faire une nuit blanche. J'imaginais (imparfait) déjà les cernes qui borderaient mes yeux bleus le lendemain et les bâillements répétitifs pendant les cours du matin. J'essayais (imparfait) tout pour m'endormir, jusqu'aux vieilles méthodes de grand-mères. C'est ainsi que j'en étais à mon soixante-deuxième mouton lorsque j'entendis le parquet craquer. Je tournais (imparfait) doucement la tête et j'aperçus une des filles de mon dortoir se diriger vers la porte.

Elle s'appelait Nina, en troisième année, je la connaissais peu, mais elle m'avait aidée quelques fois à faire mes devoirs. J'avais à son égard un profond respect, car c'était une jeune fille brillante qui était particulièrement douée pour concocter des potions que même des cinquièmes années peinaient à réaliser. Je la trouvais très belle avec ses beaux yeux verts et ses cheveux bruns, qu'elle avait laissé pousser (ce verbe est à l'infinitif) jusqu'à sa poitrine.

Je la regardais partir, croyant qu'elle allait juste faire un petit tour dans la salle de bain. Je m'assis alors sur mon lit et regardait autour de moi. Devant moi, il y avait une fenêtre. Le rideau avait été cassé (si tu parles du tissu, le mot ne convient pas) plus tôt dans la soirée par un des le chats d'une des filles de la chambre. Je voyais donc au travers toutes les étoiles parsemées sur la grande étendue bleue et ainsi que la lune qui continuait de briller avec ardeur. Je m'adossais contre le mur et enlevait la couverture qui me donnait chaud. Je la poussais avec les grâce à mes pieds jusqu'au fond du lit et regardais mon réveil. Minuit et demi. Ce n'était pas très tard, mais cela faisait déjà deux heures que je cherchais à dormir.

- Helena ?

C'était Nina qui venait de m'appeler. Elle avait dû voir que je ne dormais pas et à présent, elle me faisait signe de la rejoindre. Moi qui ne demandais pas mieux que de me distraire un peu, je sortis immédiatement de mon lit sans trop me poser de question. Je portais une chemise de nuit à bretelles qui m'arrivait juste au niveau des genoux. Elle était légère, mais je n'étais guère frileuse, alors j'enfilais mes chaussons et m'avançais vers la sortie. Je lançais un dernier regard vers les filles de mon dortoir, mais la faible luminosité qui régnait dans la pièce ne me permettait pas de distinguer grand-chose hormis mon lit vide. (tu n’es pas cohérente, car plus haut tu mentionnes que la lune brillait ardemment)

Une fois la porte refermée, je demandais ce qu'elle me voulait et en guise de réponse elle posa son indexe sur ses lèvres. Je compris (cette fois tu pouvais faire une phrase plus longue), si on faisait du bruit on risquait de réveiller notre directrice, madame Kelsey et elle nous passerait un savon (les professeurs ont leurs propres chambres dans le couloir de Gwendoline la Fantasque, mais ce n’est qu’un détail, car là je chipote pour pas grand-chose xD). Nina me prit la main et nous nous dirigeâmes vers la sortie. Nous allions brûler le couvre-feu ? Je ne trouvais pas cela raisonnable, mais je ne trouvais pas la force de protester. La curiosité l'emportait sur le reste. Que me voulait-elle ?

Nous quittions le territoire des Gryffondors (tu utilises souvent cette expression, tu pourrais simplement dire « la salle commune »). Dans le couloir déjà il faisait plus frais et je ressentis un léger frisson me chatouiller dans le cou. J'aurai mieux fait de prendre une veste et enfiler un pantalon. D'ailleurs Nina, elle, avait pris ses précautions. Elle était vêtue d'un sweat noir et d'un jean et c'est au moment où nous dévalions les escaliers silencieusement que je remarquais (imparfait) une petite sacoche en cuir qui se heurtait (attention à la conjugaison, pense à te relire) contre sa hanche à chacun de ses nouveaux pas.

Quelques minutes plus tard, nous déboulions dans les toilettes. Je laissais échapper un bâillement et me frottais les yeux. Je m'apprêtais à demander à la troisième année le but de cette escapade nocturne lorsqu'elle me fit de nouveau signe de me taire. Ce petit jeu commençait à me lasser et je sentais que j'allais m'énerver dans les minutes à venir si elle ne me disait pas ce qu'on fabriquait dans les waters en plein milieu de la nuit. C'est alors que je la vis sortir une petite marmite d'un des cabinets. Je ne m'étais même pas rendu compte qu'elle m'avait lâché la main.

Nina s'assit par terre (tu voulais sûrement dire « sur le sol » dans ce cas-là c’est « par terre », le mot « parterre » convient plus pour un parterre de fleur par exemple) et je fis de même, choisissant de me mettre en tailleur. Le coude appuyé sur mon genou, mon menton posé sur ma paume de main je la regardais sortir différentes herbes. Je papillonnais plus rapidement des yeux, tentant de rester attentive à tous ses faits et gestes. Tant de questions se pressaient dans ma tête, mais pourtant mes lèvres demeuraient closes.

Enfin elle finit par me tendre un verre dans lequel elle versa de son breuvage. Je lui demandais (imparfait) ce que c'était. Elle me dit que je n'avais qu'à le boire et que je verrais bien. Je lui dis non mais bu tout de même. Je sentis le liquide chaud couler dans mon œsophage. Soudain tout devant-moi devint flou. Les couleurs se confondaient comme si les murs et les toilettes fondaient. Je me levais, titubante, ne comprenant pas ce qui m'arrivait. Mes yeux se posèrent vers l'endroit où Nina s'était assise, mais elle n'était plus là.

- Nina ?!

Je continuais de crier son nom en courant maladroitement dans tous les sens. Quelqu'un ou quelque chose m'attrapa brutalement par les épaules. C'était ma camarade de dortoir. Je lui demandais ce qu'elle m'avait fait boire et elle s'esclaffa. Elle s'approcha de moi et me dit :

- Lena, c'est un philtre pour que ton père t’aime à nouveau.

Je me rendis compte que je pleurais. Sur le coup, rien ne me surpris. Ni le surnom qu'elle avait utilisé pour m'appeler alors que seuls mes parents m'appelaient de cette façon ni le fait qu'elle avait l'air de savoir pour mon père. Je ne lui en avais jamais parlé. Je lui disais de se taire et elle répétait que mon père ne m'aimait plus, qu'il était parti pour toujours, que je ne le reverrais (imparfait) jamais. Tout ça m’était insupportable et je me bouchais les oreilles. Je me mis à courir sur l'herbe – l'herbe ne me surpris pas non plus (utilise un synonyme, tu as déjà utilisé ce verbe juste avant) sur le coup- en direction d'une petite maison, mais Nina me retint par le bras et me poussa violemment parterre.

- Ah !!

Je me relevais (imparfait) brusquement. Ma respiration était saccadée et j'étais aveuglée par le soleil qui fouettait mon visage. Tout en regardant autour de moi, je reprenais mon souffle et me calmais. J'étais dans le dortoir, j'avais fait un cauchemar. Mais à quel moment m'étais-je endormie ? Impossible de le savoir.

Devant-moi, je retrouvais le rideau de velours qui gisait sur le sol. Sur ma table de nuit, les aiguilles de mon réveil étaient bloquées sur onze heures et quart et le petit encadré du milieu indiquait « PM ». J'avais dormi toute la nuit.

Pour la description du lieu c’est vraiment dommage, tu aurais pu décrire le parc de Poudlard, alors qu’Helena courait. Comment elle est arrivée sur l’herbe, sa texture, sa température, les arbres qui l’entouraient, les buissons, l’aspect de la cabane d’Hagrid, le potager aux citrouilles juste à côté, s’il y avait des corbeaux ou d’autres choses qui te permettaient d’accentuer le côté cauchemar du récit. Je trouve que tu te débrouilles bien avec la première personne, mais fais attention ! Tu écris à l’imparfait et tu t’es souvent trompé aux terminaisons, à la première personne c’est –ais et non –ai qui correspond au futur. Enfin je suis certaine que tu le sais, mais c’est une faute d’inattention qui ne doit plus se reproduire si tu continus d’écrire de ce point de vue. Ensuite au niveau de la ponctuation : il y a TOUJOURS une virgule qui précède le mot « mais », tu les as toutes oubliées dans ce post. N’oublies pas d’utiliser des synonymes au cas où un mot ne corresponde pas au contexte ou pour les éventuelles répétitions. Essayes aussi de trouver d’autres formules que « et », « avec », « donc » afin d’enrichir ton texte. Relis toi afin d’éviter les petites fautes d’inattentions comme les accords que tu peux oublier parfois.

Tu vas comme d’habitude reformuler les phrases bleues et n’hésite pas à me donner ton point de vue sur ton travail. Après tu passeras à l’exercice suivant que je vais te donner.

Exercice V :

Je vais te demander deux descriptions comme tu as un peu de mal avec ça, mais toujours dans un contexte précis. Tu ne dois pas dépasser les 800 mots cette fois et pour les deux descriptions. Pas besoin de partir trop en hors-sujet pour ce type d’exercice. Tu peux choisir le point de vue qui te convient le mieux, c’est-à-dire un récit à la première ou à la troisième personne.

Première description :

« Helena souhaite trouver à tout prix cette fameuse Salle sur Demande dont parle tous les premières années. Helena passe trois fois devant le grand mur du septième étage en pensant très fort à ce qu’elle souhaite. »

Voilà le lieu (évidemment Katie Perry n’est pas à décrire xD)

Spoiler:

Deuxième description :

« Alors qu’elle se détendait tranquillement au bord du lac avec son chat (à ce que j’ai compris Helena en possède un), Helena aperçoit au loin un très beau garçon manifestement plus âgé qu’elle qui s’amusait avec ce qui devait être un de ses amis pas loin d’elle et du petit animal. »

Et voici le beau garçon Holly Dilay & Helena Dashwood 424618 Holly Dilay & Helena Dashwood 424618

Spoiler:

Voilà je veus DES DETAILS. Bonne chance et n’hésite pas à MP en cas de besoin, enfin comme d’habitude quoi ! Holly Dilay & Helena Dashwood 36166
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MessageSujet: Re: Holly Dilay & Helena Dashwood   Holly Dilay & Helena Dashwood Icon_minitimeSam 10 Sep - 19:16

Exercice IV (correction)

« Le rideau avait été cassé »
→ Le rideau avait été arraché

« la faible luminosité qui régnait dans la pièce ne me permettait pas de distinguer grand-chose hormis mon lit vide. »
→ Mais hormis mon lit qui était éclairé, le reste de la pièce demeurait dans une faible luminosité.

« à chacun de ses nouveaux pas. »
→ dès qu'elle avançait

« Elle me dit que je n'avais qu'à le boire et que je verrais bien. Je lui dis non mais bu tout de même. »
→ Elle me répondit que si je le buvais, je saurai. Je refusai, mais finit par porter le verre à mes lèvres.

« ne me surpris pas non plus »
→ ne m'étonna pas non plus

Exercice V (j'ai encore galéré, et j'y arrive pas ù_ù)

Première description (788 mots)

J'avais entendu parler de la salle sur demande quelques fois. Au début, je n'y croyais pas vraiment. Je la considérais comme une des nombreuses rumeurs qui alimentaient les bavardages des élèves. Puis, au fur et à mesure, cette fameuse pièce commença à m'obséder. Je me demandais sans cesse si elle existait vraiment, et un jour, je décidai de m'y rendre. Ainsi pour la trouver, je me renseignai auprès d'une fille plus âgée que moi. Elle m'expliqua que cette salle se trouvait au septième étage, et que la porte ne m'apparaîtrait pas forcément tout de suite. Je devrai d'abord, devant un gros mur, penser très fort à ce que je voulais. Penser à ce que je voulais? Cette indication me paraissait un peu vague, mais ma camarade ne me donna pas plus d'information.

C'est ainsi qu'une après-midi de pluie, alors que j'étais libérée de mes devoirs, je descendis de ma salle commune pour explorer un peu ce mystérieux étage. J'entendais par « mystérieux », le fait que je ne l'avais encore jamais visité, pour la bonne raison qu'il n'y avait pas grand-chose à y faire. C'était là où se trouvait le bureau de la directrice, Sara Wayland, ainsi que les chambres des professeurs. Rien de très intéressant pour moi. Je passai donc, devant plusieurs portes avant de me retrouver devant un gros mur, mais sans entrée. Zut.

Je commençais à faire des allers et retours devant le mur, en pensait très fort à ce que je souhaitais. Je fermais les yeux et me concentrais très fort. Je voulais... je voulais rentrer, oui, je voulais rentrer. J'ouvris un œil, mais aucune porte n'était apparue. Raahh, c'était plus compliqué que je le pensais, mais il était hors de question que je batte en retraite. J'allais rentrer. Peut-être qu'il fallait que je désire encore plus fort? Ou bien qu'il fallait que je sois plus précise? J'avais envie de quoi, au juste? Un lieu commença à se dessiner dans ma tête. Je voulais un endroit doux, calme. Quelque part où personne ne pourrait me trouver. J'avais envie d'être seule, de pouvoir me cacher, de me couper du monde...

Soudain, alors que cela faisait déjà trois fois que je passais devant le mur, une porte apparut. Yihaa! Eh oui, j'étais juste trop forte! La classe, quoi, juste trop la classe. Enfin bon, même si j'avais envie de faire des bonds de joie partout, je me précipitai vers l'entrée qui se présentait à moi. J'aurai eu l'air bête si elle disparaissait. Sans me poser plus de questions, j'enclenchais la poignée et rentrait.

Wahou!

C'est tout ce que j'étais capable de dire. Devant moi, se dressait le paysage le plus extraordinaire que je n'avais jamais vu de toute ma courte vie. Elle ne s'était pas moquée de moi, cette salle. Du moins, c'est ce que je crus à mon premier coup d'œil.

Tout le sol était blanc, comme s'il était recouvert d'un espèce de sucre. Je ramassai dans ma paume de main un peu de cette étrange texture. C'était léger et tout doux. Ça donnait vraiment envie d'y goûter, alors sans pouvoir résister plus longtemps, j'en pris un peu sur un doigt que je portai à ma bouche... et recrachai aussitôt. Berk, berk, berk! C'était pas du tout comestible ce truc! Je me frottai les mains pour me débarrasser de cette chose qui me laissait un goût désagréable dans la bouche, ce qui créa un nuage de poussière autour de moi.

Je continuais d'avancer, et bientôt une grande allée, bordée par des arbres, se présenta devant moi. Enfin quand je dis « arbres », n'imaginez pas un tronc d'arbre marron avec des feuillages verts. Ils étaient tous blancs. Blancs, avec des gros bonbons rectangulaire qui pendaient sur les branches. C'était magnifique, leurs papiers d'emballages étaient soit jaune, rose, ou argentés. Tous brillaient à la lueur d'une lumière qui venait de je ne sais où.

Je dépassais les premiers arbres et découvris d'autres surprises. Il y avait des grosses sucettes rondes bleues et vertes plantés dans le sable blanc, des gros bonbons rouge parsemés sur le sol, des nounours assis sur le bord du chemin Ils étaient énormes. Peu à peu je découvrais des tonnes de confiserie différente sur mon chemin. Par contre, à chaque fois que j'en croquais un bout, je découvrais que c'était du carton, du papier, ou je ne sais encore quel matière dégoûtante. J'avais compris le message. Pas de nourriture ici. Dommage, ils avaient l'air tous tellement délicieux. Enfin, au moins, toutes ses couleurs étaient un vrai régal pour les yeux, et j'en savourai la moindre miette. Je m'allongeai sur le sable, entre un arbre et une fausse canne à sucre pour contempler la beauté du spectacle. Qu'est-ce que j'étais bien ici...


Deuxième description (352 mots)

Cette après-midi là, Tache n'arrêtait pas de faire le zouave. Tandis que je peinais à faire mes devoirs, celui-ci n'avait rien trouvé de mieux à faire que d'éparpiller mes feuilles partout, de salir ma dissertation sur les licornes avec ses pattes toutes tâchées de terre, et enfin, de poser son gros derrière sur mon livre. J'avais beau le chasser, il revenait toujours à la charge cet imbécile de chat. Désespérée, je décidais de m'accorder une pause et d'emmener la bête infernal avec moi.

J'avais de la chance, il faisait beau ce dimanche. Je pu me trouver une place agréable près du lac, sous un arbre qui m'abritait du soleil de la tête aux cuisses. Je regardais Tache qui avait déjà trouvé une nouvelle victime, un brin d'herbe qu'il mordillait avec voracité. Je réalisais que je n'avais rien pris pour m'occuper, alors je regardais les alentours, essayant de vider mon esprit.

Ce fut à ce moment-là que j'aperçus deux garçons. Enfin, ils avaient plutôt l'allure de jeunes hommes. L'un d'entre eux, le plus grand, attira particulièrement mon attention. Il devait mesurer dans les un mètre quatre-vingt et était vêtu d'une chemise blanche soigneusement repassée. Je n'avais aucune moyen visuel de savoir à quelle maison il appartenait, car il avait retiré sa veste qu'il portait négligemment sur ses épaules. Les mèches de ses cheveux étaient assez longue pour laisser entrevoir la naissance de quelques bouclettes, que le jeune homme repoussait sur le côté de temps en temps .

Au fur et à mesure qu'il avançait vers moi, j'apercevais son visage plus en détail. Ses yeux étaient marron, en forme d'amande et ses sourcils épais lui donnaient un air sévère. En fait, ça ajoutait quelque chose de froid à son regard, à m'en faire frissonner. Pourtant il était loin d'être moche, mais il ne m'inspirait pas confiance. Une chose d'obscure se dégageait dans son expression, et la manière qu'il avait d'observer les alentours me donnait plus envie de partir qu'autre chose.

Je me relevai discrètement, en longeant le tronc d'arbre de tout mon corps. Je pris le chat dans mes bras, et déguerpis en vitesse...
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