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| Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE | |
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Rita Minithya Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011 Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
| Sujet: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Mar 13 Mar - 23:07 | |
| Rita regarda encore un petit moment, l’œil quelque peu vitreux, les deux crochets qui ne cessaient de gigoter. Elle avait en effet passé presque toute la nuit à les regarder œuvrer, les guidant de sa baguette. Le Tic Tac répétitif commençait à lui donner la migraine. Quoiqu'il en soit Rita était heureuse. Heureuse car pour une fois, elle sentait bien qu'elle s'était attachée à une personne. Tic Tac. Les pensées de Rita s'embrouillèrent quelque peu. Tic Tac. Le doux sourire de Nathanael. Tic Tac. Ce cadeau qu'elle lui préparait. Tic...
Quand Rita se réveilla, se fut presque en sursaut. Elle s'était endormie. Il faisait jour, on pouvait même deviner que le soleil brillait haut et fort. Les yeux rougies, elle prit un bon moment à se rendre compte que quelque chose clochait... Les crochets?! Ils n'étaient plus suspendus en l'air, mais affalés sur le lit. Rita se redressa pour lancer ensuite un petit rire de joie non contenu. Les crochets avaient finis son travail! Sans elle! Tout à fait contente d'elle, Rita prit le papier cadeau qu'elle avait mit dans ses valises et enveloppa sa préparation. Elle était pressée de voir la réaction de Nathanael. Car en effet, Rita ne regrettait pas ce qu'il s'était passé au bal, mais elle regrettait d'avoir découvert trop tard que Nathanael comptait vraiment pour elle. Elle n'arrêtait pas d'avoir son sourire dans la tête. - Spoiler:
Car lorsque Nathanael souriait, Rita sentait comme de petits frétillements traverser tout son corps. Même lorsqu'elle essayait de se concentrer, elle finissait souvent par se perdre dans ses pensées. Et en autre, à penser à Nathanael. Malgré cela, la possessivité du jeune homme la laissait souvent perplexe. Dans un sens, cela ne l'a dérangeait pas, si le garçon était jaloux, c'était qu'il l'appréciait beaucoup. Qu'il tenait à elle. En y réfléchissant bien, suite à leur dispute dans la salle commune puis à leur amour déclaré à la St Valentin, Nathanael et Rita semblaient belle et bien s'aimer sans vouloir se l'avouer. Sans vouloir l'assumer. Ils avaient probablement tous les deux peur de l'engagement que cela suscitait. Une, parce que Nathanael était particulièrement charmeur, ce qui constituait d'ailleurs son charme, et ce que Rita aimait chez lui d'une certaine manière, deux, Rita aimait beaucoup flirter également et n'aimait pas la dépendance. Peut être Nathanael et elle pourraient trouver un engagement pour vivre leur relation pleinement...
Rita se prépara pour filer à la fête foraine. C'était déjà l'après midi puisqu'elle s'était endormie dans la matinée après une nuit blanche. En passant devant un miroir, Rita ne pu s'empêcher de sourire à son reflet. Aujourd'hui elle s'était habillé comme elle aimait. Comme elle était. Un peu garçon manqué, mais tout de même féminine. Elle se sentait tellement bien comme ça, les cheveux un peu ébouriffés, les yeux légèrement cernés de noir. Cela la caractérisait plutôt bien, elle qui n'aimait pas les filles trop nunuches. Elle espérait que Nathanael allait apprécier car elle comptait bien continuer à s'habiller comme ceci à chaque fois qu'elle en aurait l'occasion.
- Spoiler:
Enfin, elle se décida à traverser le parc pour aller au pré au lard après avoir prit son petit paquet. Elle avait envoyé le matin même une lettre à Nathanael lui disant explicitement de la rejoindre près de la diseuse de bonne aventure. Rita préférait faire le chemin seule- elle aurait très bien pu le faire avec Nathanael-, elle préférait le rencontrer sur le lieux. Une fois arrivée devant la fête foraine, Rita eut un petit sourire de bonheur. Cela transpirait la bonne humeur! Cela lui rappelait son enfance, tous ses bons souvenirs. Elle en aurait presque eut les larmes aux yeux.
Rita aperçue alors la tente de la diseuse. Une minuscule petite tente, violette et jaune. C'était cosy. Depuis un moment Rita voulait, pour en rire, lui demander de lire son avenir, qui serait probablement dramatique ou plein de passion. Rita se posta devant la tente tout à fait mystérieuse si on en croyait le panneau "La diseuse de bonne aventurrrreeeeeeee". Ouuuh, quel mystère! D'ailleurs, en y regardant de plus près, quelqu'un avait l'air de s'être amusé à barrer "bonne" pour écrire "bobards". Rita lâcha un petit rire. Elle était pas mal celle-là. Et au moment même où elle redressait la tête, elle se retrouva face à Nathanael.
Une chose était sure. il n'avait pas l'air content du tout, lui.
Dernière édition par Rita Minithya le Sam 21 Avr - 15:47, édité 1 fois |
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Nathanaël Oryon Elève de 6ème année & Préfet
Nombre de messages : 1271 Localisation : Why so serious ? Avec mes chocolats sur Mars... Date d'inscription : 18/02/2011 Feuille de personnage Particularités: Je peux vous prouver par A+B que les aliens existent vraiment... C'est fou n'est-ce pas ? Ami(e)s: Les aliens.... Et les aliens... Quelque chose de réelle, dites-vous ? Mais les aliens sont bien réels, regardez X-files voyons !!! Âme soeur: L'amour c'est un rituel élaboré avec ses épreuves, ses hauts et ses bas, ses larmes et ses tornades...
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Jeu 15 Mar - 23:54 | |
| Encore une nuit passé à jouer des mauvais tours aux tableaux du château. Mais quand allait-il m’arrêter ? Surement jamais, il voulait me faire remarquer, il en avait marre de cette étiquette de bon garçon. Il voulait devenir quelqu’un d’autre, être ce que il avait toujours voulu être. Pas un cancre mais bon, s’il fallait qu’il en passe par là pour que mon père fasse attention à lui, il le ferait. Il regarda ma montre, 4h du matin. Bon il serait peut-être temps qu’il aille dans les dortoirs avant de se faire prendre, chose qui ne pouvait pas lui faire du mal.
Nathanaël parcourait les couloirs jusqu’à la salle commune de Poufsouffle, il n’y avait personne. Normal, qui s’amuserait à airé dans les couloirs à cette heure, à part lui bien entendu ? Personne… Ce n’était pas plus mal. Il entra dans la salle commune. Toujours personnes même pas les préfets, c’était parfait. Il monta dans les dortoirs, ses camarades de chambre étaient tous endormi, sauf son meilleur ami qui trainait encore dans les couloirs. Il ne pouvait pas lui faire la morale parce qu’il le fessait aussi. Il se coucha dans son lit, après s’être mit en pyjama. Oui, il fallait au moins faire semblant d’avoir passé la nuit dans son lit. Et puis qui sait il allait peut être m’endormir. Pas sûr, parce qu’il repensait à la journée de saint valentin. Il aurait pu, et aurait dû, faire beaucoup mieux comme déclaration. C’est surtout qu’il ne voulait pas paraitre plus niaise que d’habitude. Pourquoi il n’agissait pas naturellement avec Rita. Elle était jolie, avait tout pour plaire. Et lui comme un imbécile, il n’est pas naturel. Il devrait peut être me montrer plus simple avec elle, agir comme il agissait avec ChaeRin et les autres filles. Non, il ne peut pas faire ça, sinon elle va penser qu’il est pareil avec toutes les filles. Alors qu’en réalité, il n’y a qu’elle qui l’intéresse. D’ailleurs il va falloir qu’il commence à plus s’immiscer dans ses relations avec les autres garçons. Parce qu’il sentait qu’il allait la perdre à la laissait seule avec eux. Ils devraient peut être officialisé tout ça. Mais faire cela, ce serait dire adieux à la drague intempestive, ce serait bien qu’il arrête ça mais il n’en trouvait pas la force, enfin peut être que pour elle, il y arriverait. Il devrait en parler avec elle, cela serait mieux. Tout à coup, il sentit ses yeux se fermés. Il ouvrit les yeux tout doucement. Nathanaël attrapa sa montre, il était déjà 10h du matin. Bon avoir dormit six heure c’était bien, il aurait pu faire mieux. Le poufsouffle attrapa son mp3 et mis les écouteurs à ses oreilles. Il avait décidé de passer une heure au lit à écouter de la musique pour bien démarrer sa journée. Une heure passa et il se releva doucement et à sa surprise une lettre était posée sur lui, il ne l’avait pas senti tout le temps qu’il avait écouté de la musique. Alors soit une fille était entrée dans la chambre alors qu’il dormait, soit un hibou l’avait apporté. Au vu des traces sur la lettre, c’était l’œuvre d’un hibou. Mais qui avait bien pu lui écrire une lettre ? Il l’ouvrit et bizarrement c’était Rita. Il fallait qu’il pense à elle pour que cette dernière lui envoie une lettre, étrange… Elle m’invitait à la fête foraine. Génial, ils allaient pouvoir parler. Il fit un grand sourire et sauta littéralement de son lit. Il fallait qu’il se prépare. Il fonça à la salle de bain, prit une douche exprès, puis enfila des vêtements. Il était déjà midi. Il se dirigea vers la grande salle, il fallait bien qu’il déjeune avant d’aller à la fête foraine sinon il allait avoir faim, et cela n’était pas très agréable à entendre. Une fois son repas englouti, il alla chercher ses affaires dans la salle commune. C’est-à-dire sa veste, son écharpe et un sac où il y avait mis son mp3, une console de jeu, une pomme, de l’eau… Et il prit aussi la lettre de Rita. Puis il se mit en route. Ils auraient pu faire la route ensemble mais apparemment Rita n’avait pas voulu, vu qu’elle ne lui en avait pas fait part.
Une fois arrivé à la fête foraine, il ouvrit la lettre pour voir où nous avions rendez-vous. Il savait, il aurait pu regarder avant de partir mais il était tellement euphorique qu’il avait oublié. La diseuse de bonne aventure. Mais c’était quoi de ce plan. Elle pensait réellement qu’ils avaient besoin d’une pseudo voyante pour eux deux. Il était vraiment en colère et cela se voyait au premier coup d’œil. Sa belle journée ensoleillée était devenue aussi noir qu’une journée d’orage. Il avança d’un pas décidé. C’est vrai qu’il ne fallait pas qu’il casse toute l’ambiance avec sa mauvaise humeur mais il n’aimait vraiment pas que l’on mette son couple en question, enfin si on pouvait appeler cela ainsi car cela n’était pas très clair entre eux, et surtout pas devant une voyante.
Une fois près de la roulotte, il vit Rita qui l’attendait, elle était magnifique comme d’habitude, mais il ne fallait pas qu’il laisse l’amour l’aveugler une fois de plus. Enfin c’était dur de lui en vouloir, surtout quand il la voyait aussi heureuse. Il leva la tête vers la roulotte, sur la pancarte un petit malin avait barré le mot bonne pour y mettre bobards, cela lui arracha un sourire du visage. Celui qui avait marqué ça n’avait pas tort. Il avança vers Rita sans sourire cette fois. Une fois à sa hauteur, il l’embrassa sur la bouche. C’est vrai, il fallait qu’il lui dise qu’il était contre la diseuse de bonne aventure. Une fois le baisé terminer, il entama la conversation.
« Tu crois vraiment que l’on a besoin d’elle ? Mais je ne suis pas d’accord pour aller la voir. Au fait, c’est bien que l’on se voit, je voulais que l’on parle tous deux »
Il inspira et expira. Il avait peur, peur de tout foutre en l’air avec son mauvais caractère et surtout qu’il lui paraisse bizarre. En même temps il ne voyait pas comment cela pourrait être autrement, vu qu’il l’embrassait et ensuite il lui fessait un reproche. Il aurait peut-être du éviter le baisé, mais bon il était amoureux, enfin il pensait l’être. Tout compte fait, la bonne dame pourrait peut-être s’avérer utile.
« En y réfléchissant bien, c’est pas une si mauvaise idée la voyante. »
Il lui fit un clin d’œil, et l’entraina à l’intérieur. Ce qu’il pouvait avoir l’air stupide et indécis parfois. Enfin, il lui tenait la main et attendit que la vieille leur demande de s’installer. - Spoiler:
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Rita Minithya Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011 Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Dim 1 Avr - 22:05 | |
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Rita eut à peine le temps de faire quoique ce soit que Nathanael était déjà sur elle, à tous les sens du terme. Sur sa bouche précisément. Ce qui n'était pas pour la déranger au contraire, mais cela n'était pas vraiment habituel. A chaque fois que Nathanael l'embrassait c'était comme pour marquer sa présence, sa possession. Et là, elle le ressentait encore plus. « Tu m'appartiens » semblaient dire les lèvres. Et cela dérangeait la jeune femme pour elle ne savait quelle raison. Appartenir à quelqu'un. Dépendre de cette personne. L'amour n'était-il pas un sentiment inventé par les hommes pour donner un but à leur vie ? Son pessimisme à ce sujet faisait un grand contraste avec son optimisme habituel.
« Tu crois vraiment que l’on a besoin d’elle ? »
"Sincèrement... oui. On sait même pas où on en est tous les deux..."
« Mais je ne suis pas d’accord pour aller la voir. Au fait, c’est bien que l’on se voit, je voulais que l’on parle tous les deux »
Voilà, c'était ça. Oulala, Rita le sentait vraiment mal là... Et puis elle se souvint de Jules. Merde ! Si Nathanael était au courant, il allait lui faire une crise de jalousie. Quoique, elle n'avait rien fait de mal. Ouais, à part draguer un gars alors qu'elle était déjà à moitié engagé à un autre. Sa tête lui en tournait, avec toutes ces pensées contradictoires. « Oh, et puis, il peut parler, il drague toujours à droite à gauche ». Surtout Chaerin. Il pouvait bien dire qu'il n'y a rien d'autre que de l'amitié entre eux, elle n'y croyait pas. Genre, je t'embrasse sur la bouche, normal quoi. Rita sourit à l'idée de ses pensées et de sa véritable personnalité. Elle n'avait jamais été vue à jour, sauf par Jules. La jeune Poufsouffle n'était pas du tout attirée par le garçon, mais il dégageait quelque chose. C'était pour ça qu'elle s'était lâchée avec lui. Et contrairement à ce qu'elle avait pensé, le garçon ne semblait pas le prendre mal et semblait carrément intéressé.
« En y réfléchissant bien, c’est pas une si mauvaise idée la voyante. »
Nathanael lui fit alors un clin d’œil, et l’entraîna à l’intérieur en lui tenant la main. La vielle dame les regarda s'approcher. Rita faillit éclater de rire devant les crâne et les faux os disposés sur le sol. Encore plus devant les araignées... qui bougeaient ! Mais c'était des vrais ! Rita écarquilla les yeux devant leur gigantesque pattes. Elle n'avait pas peur des araignées. Enfin, des petites. Et celle ci était gigantesque. De quoi bleuir quoi. Rita accrocha littéralement le bras de Nathanael, pas du tout effrayé pour sa part. Soudain l’araignée sembla se cogner contre un mur invisible. Rita reprit sa respiration et lâcha la pression sur le bras de Nathanael. Voilà, mieux. Le reste de la roulotte était plutôt sombre. Carrément sombre. Seule une boule de cristal mal astiquée illuminait le désordre. Elle illuminait également le visage de la vieille au sourire édenté. Des foulards se superposaient sur sa tête. S'en était presque humoristique mais Rita se retint de rire par respect. Elle s'installa sur un vieux tabouret, ainsi que Nathanael que lui montrait la vieille voyante.
« Bonjour madame je... »
« Tais-toi ! Je sens quelque chose. NON !!! Je VOIS quelque chose. Oui. Hum hum. »
Elle se leva et entreprit une danse particulièrement curieuse. Elle ouvrit un bocal en gesticulant des hanches comme faisant du cerceau puis s’effondra tout à coup. Elle jura -visiblement, ça n'avait pas été prévu- puis se remit à danser, se tenant cette fois-ci la hanche avec la main libre. Elle prit un rat séché, lui coupa la queue, la mordilla -Rita en manqua presque de vomir tellement la voyante avait l'air d'aimer ça- puis cracha sur la boule. Rita en resta bouche bée et recula un peu. Voilà pourquoi la boule de cristal lui avait semblé aussi sale.
« Je VOIS -Dieu qu'elle arrête de hurler!- que vous êtes lié. Votre avenir est lié. Mais savez-vous au moins PAR QUOI ? Moi, je le sais, je le sens. Hum... Votre amour est difficile... Vous avez quelque chose sur le cœur. Allez-y parlez vous ! Dit, dit, dit, dit.
Alors que la pièce s'illuminait quelque peu, la voyante continuait à dire « dit » à Nathanael, ce qui devenait vachement agaçant. Et peut-être que pour la première fois de sa vie, en disant n'importe quoi, la voyante avait touché juste.
Dernière édition par Rita Minithya le Ven 6 Avr - 18:57, édité 1 fois |
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Nathanaël Oryon Elève de 6ème année & Préfet
Nombre de messages : 1271 Localisation : Why so serious ? Avec mes chocolats sur Mars... Date d'inscription : 18/02/2011 Feuille de personnage Particularités: Je peux vous prouver par A+B que les aliens existent vraiment... C'est fou n'est-ce pas ? Ami(e)s: Les aliens.... Et les aliens... Quelque chose de réelle, dites-vous ? Mais les aliens sont bien réels, regardez X-files voyons !!! Âme soeur: L'amour c'est un rituel élaboré avec ses épreuves, ses hauts et ses bas, ses larmes et ses tornades...
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Mar 3 Avr - 19:58 | |
| Je l’avais embrassé sans passion, sans la moindre once d’amour. Mon baisé était plutôt un message qui voulait dire qu’elle était à moi, que je ne voulais pas la partager. Mon égoïsme avait pris le dessus sur mon amour pour elle. Et dieu qu’est-ce que je pouvais l’aimer, même si cela ne se voyait pas toujours. Tous chez elle, étaient magnifique tout comme chez ChaeRin. Mais pourquoi je m’autorisais à penser à elle alors que j’étais avec la fille de je pensais aimer. Car oui bien que je lui avais clamé mon amour le jour de la Saint Valentin, je n’étais pas réellement sur de mes sentiments. J’étais un coureur de jupons et je ne savais pas si j’allais un jour me ranger pour me dévouer à une seule personne. Quand je lui demandai si nous avions réellement besoin d’une diseuse de bonne aventure, sa réponse me lassa perplexe. C’est vrai que nous ne savions pas vraiment où nous nous situions l’un l’autre, mais tout de même nous n’avions pas besoin d’une vieille folle pour nous dire quoi faire. Je lui exprimai mon désaccord. Puis je lui dis que je voulais parler avec elle. Cela sembla la mettre mal à l’aise. Avait-elle quelque chose à se reprocher ? Surement en vue de la mine blanchâtre qu’elle affichait. En temps normal, je m’aurais mis à faire une scène pensant qu’elle avait dragué quelqu’un d’autre, mais vu que je n’avais pas fait mieux de mon coter, je restai silencieux. Certes l’optique qu’elle aurait pu voir quelqu’un et même jouer de ses charmes avec lui, ne me fessait pas plaisir, d’ailleurs mon visage se ferma un peu plus. Mais comme je l’avais dit je n’étais pas un ange à ce niveau alors je ne pouvais rien lui reprocher. Je l’entrainais dans la roulotte plutôt miteuse. Cela ne m’aurait sans doute pas surprise que ce soit une charlatane ou que la vieille bicoque tombe en ruine dans très peu de temps. La vieille nous regarda intensément, qu’est-ce que j’aurais donné pour être télépathe. Enfin dans pour moi, elle voyait en nous une rentré d’argent imminente comme tous les arnaqueurs qui fessait croire qu’il avait des dons pour récolter de l’argent auprès de gens faibles. Mais comme nous étions dans un monde magique cela semblait plus logique qu’elle ait un don. La décoration laissait vraiment à désirer, cela me fessait penser au château de mon grand oncle transylvanien. Des crânes et des os étaient rependus sur le sol. Je me demandais si c’était des vrais ou des faux os. Dans les deux cas, cela était vraiment de mauvais goût. Elle était censée lire l’avenir et non pas de faire fuir les gens avec des choses sortis d’un mauvais film d’horreur. Je sentis Rita m’accrocher le bras, comme si elle voulait me le décrocher. Je la regardai, elle semblait terroriser, si c’était la vieille qui lui fessait peur je comprenais. Mais en suivant son regard je vis que c’était les magnifiques araignées géantes qui lui faisaient peur. Pour ma part, cela me fasciner. Je les trouvais tout bonnement grandiose. Oui j’adorais les araignées, depuis que j’étais petit j’étais attiré par cette chose dégoutante pour certains. Il en existait de toutes sortes et pour moi elles étaient toutes jolies. Je les aurais volontiers touchés mais à mon plus grand regret elles étaient protégées par un mur invisible, sans doute pour qu’elles ne puissent pas manger les gens qui entrer ici. On ne voyait rien du reste de la roulotte car elle était trop sombre. Une fois arrivé devant la voyante, nous nous installâmes sur des tabourets aussi pourri que la roulotte elle-même. La soit disant voyante nous regarda avec un sourire, il lui manquait des dents, et honnêtement elle me fessait peur. Mais les foulards superposaient sur sa tête me décrocha un sourire moqueur. Sérieusement, elle allait vraiment nous lire l’avenir ou juste ce moquer de nous ? Dans les deux cas, je ne sais pas si j’allais le supporter et surtout si j’allais réussir à ne pas rire de toute la séance. - Citation :
- « Bonjour madame je... »
« Tais-toi ! Je sens quelque chose. NON !!! Je VOIS quelque chose. Oui. Hum hum. » Je ne pus m’empêcher de rire. Moi aussi je voyais quelque chose, une vieille folle sorti d’un asile qui dansait comme un pantin désarticuler. Je ne savais pas si c’était sa danse sorti des enfers ou sa tête de vieille sorcière qui me fessait autant rire. Mon rire était nerveux car il fallait que je l’avoue, elle me fessait peur. Elle s’approcha d’un bocal tout en sautant enfin tout en dansant -si on pouvait appeler ça une danse-. Puis elle s’effondra. C’était un esprit qui venait de sortir de son corps ou sa hanche qui avait céder sous le poids de ses turbans, pensai-je. Dans les deux cas, la scène me fit encore plus rire. Je savais que ce n’était pas poli mais c’était plus fort que moi. Elle mâchonna une queue de rat, sérieux c’était vraiment dégueulasse à regarder, et cela se voyait à ma tête. Si je n’avais pas le cœur aussi bien accroché, mon déjeuner aurait été rependu sur sa table. Rita recula quand elle la vit cracher sur la boule, moi je restai à ma place et attrapa la main de Rita. Mon assurance allait peut être lui donner du courage pour ne pas fuir les lieux suite à ce rite écœurant. - Citation :
- « Je VOIS que vous êtes lié. Votre avenir est lié. Mais savez-vous au moins PAR QUOI ? Moi, je le sais, je le sens. Hum... Votre amour est difficile... Vous avez quelque chose sur le cœur. Allez-y parlez-vous ! Dit, dit, dit, dit… »
Mais elle ne pouvait pas arrêter d’hurler à la mort une minute. Elle allait finir par me rendre sourd à la longue. J’étais agacé par la situation, et les « dit » à répétition me mettaient les nerfs en pelote. Elle voulait que je dise quoi ? Que j’aimais Rita ? Que je ne voulais pas qu’elle aille draguer d’autres garçons ? Que je voulais que l’on officialise enfin notre relation ? « Pour le moment j’ai mon déjeuner sur le cœur à cause de vous… »
Je laissais volontairement un long silence. Si c’était vraiment une voyante, elle n’avait pas besoin de moi pour savoir ce que je voulais dire à Rita, l’univers allait surement lui murmurais mes pensées à l’oreille. « Moi je suis venu ici pour voir la demoiselle, ensuite j’ai mis les pieds dans votre roulotte délabré pour savoir si j’avais quelque chose qui me liait à elle, mais vous y avez répondu et si vous n’auriez pas des choses à me révéler… Alors dit moi ce que j’ai à dire. »Et voilà que mon mauvais caractère refaisait surface. Mais bon je ne marchais pas vraiment dans le jeu de ses gens. Si on leur disait des détails, ils nous disaient ce qu’on voulait entendre. Et j’avais décidé de rester muet comme une cape. J’espérais que Rita ne le prendrait pas trop mal le fait que je ne veuille pas répondre à la folle. |
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Rita Minithya Élève de 6ème année
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| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Ven 6 Avr - 20:56 | |
| Quand la vieille femme avait craché sur la boule de cristal poisseuse, Rita avait instinctivement reculé. Elle avait également entendu le dégoût de Nathanael qui lui avait néanmoins attrapé la main. Comme pour la rassurer. Rita, qui n'avait pas pour habitude d'être protégée, mais plutôt de toujours se débrouiller toute seule ressentit quelque chose d'étrange. Comme une petite chaleur au fond de son cœur. C'était agréable. De pouvoir compter sur quelqu'un.
« Pour le moment j’ai mon déjeuner sur le cœur à cause de vous… »
Un silence long s’ensuivit et Rita, au bout de quelques secondes ne put s'empêcher de rire devant la confrontation que semblaient mener Nathanael et la vieille voyante. Bien sur, Rita avait pensé la même chose. Cette femme était dégoûtante. Et très peu crédible. Tout à coup, elle s'en voulu un peu d'avoir entraîné Nathanael dans ce délire. Elle s'était dit que c'était une occasion de bien se marrer, mais en fin de compte, l'ambiance pesait. Aussi, parce que dans un sens, elle se sentait coupable envers Nathanael. Et en vérité, elle ne savait pas trop pourquoi. Oui, elle avait flirté avec Jules, mais rien n'avait été sérieux. Ou peut-être était-elle anxieuse. Anxieuse car elle avait peur que Nathanael n'aime pas la vraie Rita. D'ailleurs, elle s'était montrée plus naturelle avec lui. Ça s'améliorait. Mais elle ne lui avait pas encore montré la grande malice qui sommeillait en elle. Son besoin d'aventure, d'amusement, de danger. C'était sa face cachée à elle. Mais elle aimerait la lui montrer.
« Moi je suis venu ici pour voir la demoiselle, ensuite j’ai mis les pieds dans votre roulotte délabré pour savoir si j’avais quelque chose qui me liait à elle, mais vous y avez répondu et si vous n’auriez pas des choses à me révéler… Alors dit moi ce que j’ai à dire. »
Nathanael semblait un peu à cran. Bon, il avait quelque chose sur le cœur, il voulait lui parler. Et Rita pensa un instant qu'il n'allait pas tenir encore très longtemps. Néanmoins, il fallait l'avouer, elle aimait son côté un peu... nerveux. Nathanael n'était pas comme le père de Rita. En faite, celui ci était d'une nervosité dangereuse. Destructrice. Nathanael quant à lui était plutôt du genre, j'ai du caractère. Elle se sentait bien avec lui. Il disait ce qu'il pensait. Néanmoins, elle préférait quand il lui souriait. Ahhhh, ce sourire. Magnifique. Rita se surpris à penser qu'elle pourrait rester allonger à côté de Nathanael, à le regarder. Pour une fois depuis leur rencontre, cela faisait déjà 1 an, elle se dit qu'il était le plus bel homme qu'elle ait rencontré jusqu'à maintenant. Bien entendu, Nathanael était un homme « beau ». Mais pour Rita, elle le savait c'était plus de cela. Et pour une fois de nouveau, elle se dit qu'elle ne le voulait qu'à elle aussi. Cette révélation lui sauta au visage et son cœur se serra quand elle pensa à quel point elle s'était attachée à lui. A quel point elle avait peur qu'il la rejette comme elle l'avait fait pour le bal. Une autre chance. Ce qui tira Rita de ses pensées, ce fut les paroles de la vieille femme. Qui était soudainement devenu très sérieuse. Tout à fait énervée.
« Jeune homme, votre caractère vous perdra... Pour ce qui est de vous deux, bande d'idiot, je crois que vous n'êtes même pas capable d'assumer ce que vous ressentez. C'est malheureux quand on est si jeune. TOI -dit elle en me désignant- tu as trop peur, alors tu fuis. Tu aimes le risque, l'amour est un risque. Bien des épreuves t'attendent. Un conseil : ne fuit plus. Ne t'arrêtes pas à chaque obstacles. Tu risque de tout perdre."
Rita fut carrément stupéfaite. La femme était devenu extrêmement sérieuse et s'était assise, les yeux fixés sur elle. Cette femme était une vraie voyante finalement, car ce qu'elle disait était vraie. D'autant plus vrai, pour le moment présent que Rita sentit son cœur se serrer à voir quelqu'un lire aussi facilement dans son cœur. C'était effrayant. Pour ce qui était de la description de son avenir, Rita resta perplexe. Risquer de tout perdre. Et la vieille femme avait jeté un œil vers Nathanael comme pour le désigner. Le perdre lui ? Si elle fuyait de nouveau ses sentiments. Mais Rita n'avait plus envie de fuir, elle voulait changer. Et comme avait dit la vieille femme, si elle aimait le risque, elle se devait au moins de tenter sa chance, toujours, quoi qu'il en soit.
« Quand à TOI -continua t elle désignant Nathanael- un grand drame se passe dans ta famille. Je le sais. Tu le caches, mais tu as peur de t'engager avec quelqu'un, de peur que cette personne te quittes, mais t'es tu déjà demandé si, à cause de ton comportement, tu faisais exactement tout pour que personne ne s'accroche pas à toi ? »
« Pour finir, vous allez régler cela dans deux minutes exactement -elle redressa son poignet pour regarder sa montre avec « bon timing »- Une dernière chose, la séance est gratuite pour vous. Ça faisait longtemps que je n'avais pas eut de visiteurs avec un avenir pareil. Tout à fait spéciale... Enfin « Quand la lune éclairera les trois arbres, vous mettrez vos vies en danger pour obtenir cette chose que vous cherchez tant tous les deux ».
On aurait dit une quête. C'était à la fois extrêmement intriguant et excitant. C'était quoi cette prophétie, était-ce vraiment sérieux. Ça ne ressemblait pas à du bidon. Rita était naïve, mais elle sentait que la vieille femme avait autre chose à faire que de se moquer d'eux. Rita était contente d'être venue finalement, et contente aussi du caractère de Nathanael. C'était grâce à lui.
« Bon, ma journée est finie, trop de travail là, restez dans la roulotte les gamins, j'vais faire un ptit tour. Je vous en prit, discutez... »
La vielle femme partie. Rita resta un instant gênée.
« Tu... voulais me dire quelque chose ? » |
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Nathanaël Oryon Elève de 6ème année & Préfet
Nombre de messages : 1271 Localisation : Why so serious ? Avec mes chocolats sur Mars... Date d'inscription : 18/02/2011 Feuille de personnage Particularités: Je peux vous prouver par A+B que les aliens existent vraiment... C'est fou n'est-ce pas ? Ami(e)s: Les aliens.... Et les aliens... Quelque chose de réelle, dites-vous ? Mais les aliens sont bien réels, regardez X-files voyons !!! Âme soeur: L'amour c'est un rituel élaboré avec ses épreuves, ses hauts et ses bas, ses larmes et ses tornades...
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Lun 9 Avr - 12:10 | |
| Je menais une confrontation contre cette vieille voyante à moitié folle. J’avais déjà vu des voyantes mais des comme elle jamais. Généralement la pièce où elles nous réservaient, ma mère et moi, était rangée et surtout elles n’avaient pas un comportement aussi dégoutant. Donc au fond de moi je me permettais de douter de ses compétences, et si elle m’annonçait quelque chose de véridique, là je me poserais des questions sur les autres. Enfin dans tous les cas, je lui dis ce que j’ai à dire. J’étais un peu à cran avec la nuit que je venais de passer et surtout parce que je n’aimais pas me retrouver devant des gens comme elle. Mais vu que j’étais du genre à faire plaisir à tout le monde et surtout à Rita, je m’étais laisser entrainer dans cette endroit sordide qui me donner des suets froides et qui allait surement me faire faire des cauchemars durant un mois, si ce n’est plus vu le temps que je passais à dormir depuis peu. En fin de compte, j’aurais peut-être du refuser de venir dans ce lieu, mais il fallait dire que je me posais beaucoup de question et que généralement les voyantes étaient là pour y répondre. Mais apparemment cette plutôt une blague de mauvais goût et je soupçonnais Rita d’en être l’auteur. Car étrangement la vieille bigote en avait après moi mais pas après elle. Je venais surement de tomber dans un piège, serait-il possible que Rita est un fond machiavélique comme ChaeRin ? Je n’en doutais pas le moins du monde, toute personne a un coter obscure et moi le premier d’ailleurs. En même temps cela ne me déranger pas trop qu’elle soit comme cela, car j’étais très attaché à elle et cela m’importais peu car j’avais l’impression de tout aimer en elle, même ses défauts. Tout à coup, la vieille se mit à être sérieuse, mes remarques l’auraient-elles blessé au plus profond de son être ? - Citation :
- « Jeune homme, votre caractère vous perdra... Pour ce qui est de vous deux, bande d'idiot, je crois que vous n'êtes même pas capable d'assumer ce que vous ressentez. C'est malheureux quand on est si jeune. TOI, tu as trop peur, alors tu fuis. Tu aimes le risque, l'amour est un risque. Bien des épreuves t'attendent. Un conseil : ne fuit plus. Ne t’arrête pas à chaque obstacle. Tu risques de tout perdre. »
Je savais depuis un moment que mon caractère allait me perdre ce n’était pas une nouvelle très fraiche ça. C’était d’ailleurs pour cela que j’essayais avec beaucoup de mal d’en changer. Elle n’avait pas faux la folle. Je n’étais même pas capable d’assumer mes sentiments pour Rita, je savais que je l’aimais mais je n’arrivais pas à lui dire et surtout je n’arrivais pas à lui demander d’être avec moi. Intérieurement je me traitais d’imbécile et me dis que je ne méritais pas d’avoir Rita comme à amie. Alors Rita aimait le risque, mais pourquoi ne me l’avait-elle jamais dit ? J’aurais été heureux de l’emmener avec moi mettre la zizanie dans toute l’école durant la nuit. Je fus sorti de mes penser par la voyante qui s’adressa à moi avec un peu plus de fermeté. - Citation :
- « Quand à TOI, un grand drame se passe dans ta famille. Je le sais. Tu le caches, mais tu as peur de t'engager avec quelqu'un, de peur que cette personne te quitte, mais t'es-tu déjà demandé si, à cause de ton comportement, tu faisais exactement tout pour que personne ne s'accroche pas à toi ? »
Mais comment savait-elle cela ? Je n’en avais parlé à personne et aucuns sorciers n’étaient au courant de ce qui arriver à ma famille. J’étais un peu désorienter, ce pourrait-il qu’elle une vraie voyante ? Car tous ce qu’elle venait de dire était vrai. J’avais peur de m’engager, car j’ai peur de me faire quitter et que j’ai peur de faire souffrir la personne, car ma famille n’était pas la meilleur du monde et surtout parce que je n’avais pas de grand projet comme mon père le voulait. C’était s’en doute cette peur qui faisait que je n’étais pas naturel avec Rita, car la fois où j’ai été naturel avec ChaeRin elle a failli partir et ne plus me parler. Alors je ne voulais pas que cela se passe ainsi avec la jeune poufsouffle. Mais pourtant je sentais que je pourrais la perdre si je ne changeais pas vite de comportement. - Citation :
- « Pour finir, vous allez régler cela dans deux minutes exactement. Une dernière chose, la séance est gratuite pour vous. Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu de visiteurs avec un avenir pareil. Tout à fait spéciale... Enfin « Quand la lune éclairera les trois arbres, vous mettrez vos vies en danger pour obtenir cette chose que vous cherchez tant tous les deux » »
Est-ce que j’avais une tête de mendiant pour ne pas payer une séance qui en avait valu la peine au final ? Bon je n’allais pas cracher dessus tout de même, c’était des sous qui ne sortiraient pas de ma poche. Et puis, c’était quoi cette prophétie, elle était nul, j’y comprenais rien moi. Je me mis à réfléchir, si je suivais le truc à la lettre, cela se passerait la nuit, dans un bois ou tout du moins un endroit où il y aurait minimum trois arbres. Ensuite nous métrions nos vies en danger, je ne comptais pas mettre la vie de Rita en danger enfin même si c’était le cas, je ferais tout pour la protéger en tout cas. Et nous trouverions ce que nous cherchions. Eh bien notre avenir avait l’air prometteur, mais est ce que nous n’allions pas perdre quelque chose en fessant cela ? Seul l’avenir pourrait nous le dire. J’espère juste qu’elle ne se moquait pas de nous. - Citation :
- « Bon, ma journée est finie, trop de travail là, restez dans la roulotte les gamins, j'vais faire un ptit tour. Je vous en prie, discutez... »
Comme c’était gentil de sa part de nous laisser dans ce truc en ruine avec ces amis les os et les araignées, il ne fallait vraiment pas qu’elle se donne autant de peine pour nous. Nous pouvions rester dehors avec le froid de février, cela ne m’aurait pas déranger. J’affichais une mine songeuse, ne sachant que dire à Rita. Plein de question se bousculait dans ma tête mais je ne savais pas laquelle dire en premier. Et puis pourquoi ne pas lui laisser l’occasion de poser les questions pour une fois. Je sentais que le changement était en marche. Rita semblait gêné en même temps le silence ne l’aider pas à être à l’aise me dis-je. Moi aussi j’étais gêné pas la situation, je ne m’aurais jamais imaginé que la vieille déballerai une chose pareil devant elle. - Citation :
- « Tu... voulais me dire quelque chose ? »
Effectivement j’avais des choses à lui dire, mais je ne savais pas où commencer. J’étais désemparer, je fuyais son regard. Puis je pris mon courage à deux mains et lui dit ce que je voulais lui dire depuis pas mal de temps. Mon ton était aussi nerveux que mon attitude. « Je suis désolé que ma déclaration d’amour fut aussi nul à la saint valentin, j’aurais dû faire mieux. Et je m’excuse de draguer toutes les filles, il n’y a que toi qui compte pour moi je le sais mais pourtant je ne comprends pas pourquoi je continue à sortir avec d’autres filles plutôt qu’avec toi. J'ai peur de te faire souffrir et de te perdre. Tout à l’heure quand je t’ai dit que nous devions parler, pourquoi étais-tu si surprise ? As-tu quelque chose à te reprocher ? Tu voudrais me dire quelque chose ? »Oui je voulais savoir ce que Rita avait à dire. A quoi elle avait pensé tout à l’heure ? Je me demandais si nous ne devrions pas passer un accord pour que l’on reste fidèle l’un à l’autre. Car je voulais que tout soit clair entre nous, pour que nous puisons réfléchir sereinement à l’avenir. |
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Rita Minithya Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011 Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Jeu 12 Avr - 8:55 | |
| Nathanael fuyait mon regard, comme perdu dans un débat intérieur. Enfin, il planta ses yeux droit dans les miens et me dit sur un ton nerveux :
« Je suis désolé que ma déclaration d’amour fut aussi nul à la saint valentin, j’aurais dû faire mieux. »
Rita en resta bouche bée. Cela avait donc tracassé le jeune homme. Il fallait dire qu'il n'y avait rien eu de vraiment concret le jour de la st Valentin. Ça avait juste été un jour extraordinaire, où ils s'étaient embrassé ( non, mais, des « amis » qui s'embrassent...), où elle l'avait écouté faire de la musique, et où finalement, ils s'étaient avoués qu'ils s'aimaient. Mais ce n'était pas vraiment une déclaration. En réalité, c'était plutôt pour dire : j'éprouve quelque chose de spéciale pour toi, j'assume, mais je ne m'engage pas. Au début, ça allait à Rita. Puis, elle avait commencé par éprouvé une sorte de manque. Le puzzle n'était pas complet. Elle avait besoin d'une vraie relation. Elle voulait y croire malgré le déboires de sa famille.
« Le problème, ce n'était pas la déclaration... je pense que c'est plus complexe que ça... et ne te dévalorise pas, t'es vraiment un gars génial Nath. »
Puis, sous le doux éclairement des bougies (un sort avait été lancé dessus, évidemment) Rita vit qu'il y avait quelque chose de changé en Nathanael. Quelque chose de différent. Physiquement parlant, et aussi un peu dans son regard. Une tristesse. Rita décida de l'observer encore pendant quelques jours avant de rentrer un peu dans sa vie pour, peut être, qui sait, lui apporter un soutien. Mais il y avait autre chose... Au niveau de sa tête. Sérieusement, Rita commençait à se trouver complètement stupide à le fixer ainsi, même si elle jurait que ce n'était pas désagréable, juste gênant. Et puis, tout à coup, cela lui sauta aux yeux ! Hallelujah!
« Tes cheveux ! »
Y a pas plus glamour, non ? Rita plaqua une main sur sa bouche, surprise puis vit distinctement que Nathanael était devenu... blond. Elle resta un moment à regarder les dis-cheveux. Il y avait forcément un rapport avec la tristesse qu'elle avait vu dans le regard du Poufsouffle. Rita avança alors sa main, sourit tendrement à Nathanael puis la mit dans les cheveux du garçon. Avant de ramener sa main à elle, elle caressa la joue de Nathanael. Elle n'aurait jamais pensé à s'attacher autant à quelqu'un. Et malgré les défauts du garçon, et il en avait pas mal, tout comme elle, elle les appréciait. Chose curieuse d'ailleurs. Elle lui sourit une autre fois, comme pour le rassurer. Dieu, mais dire qu'un gars aussi beau la trouvait belle. L'amour était vraiment étrange. Et puis comment savoir qui aimait le plus qui ? Ahhh, les mystères de se sentiments étaient un peu perturbants.
« Et je m’excuse de draguer toutes les filles, il n’y a que toi qui compte pour moi je le sais mais pourtant je ne comprends pas pourquoi je continue à sortir avec d’autres filles plutôt qu’avec toi. J'ai peur de te faire souffrir et de te perdre. »
Rita lui lanca un regard triste. Oui, il fallait bien l'avouer, elle n'était pas aussi jalouse que Nathanael mais à chaque fois qu'elle le voyait avec une fille, avec qui il était en train de flirter, cela lui faisait l'effet de couteaux dans le cœur. C'était vraiment dur à encaisser.
« Il y a peut être quelque chose chez moi qui ne va pas alors, si tu éprouves ce besoin... à moins que sortir avec d'autres filles, ça t'empêches toujours de t'engager et donc, tu n'as rien à perdre. Je dois avouer que je suis un peu comme toi... »
« Tout à l’heure quand je t’ai dit que nous devions parler, pourquoi étais-tu si surprise ? As-tu quelque chose à te reprocher ? Tu voudrais me dire quelque chose ? »
Moment crucial, il fallait l'admettre. Rita inspira longuement.
« C'était au moment où tu ne me parlais plus, tu sais, pour le bal... Puis, j'ai rencontré quelqu'un. On est devenu ami, mais c'est vrai que j'ai sur la conscience d'être différente avec lui qu'avec toi... Je ne suis pas tout à fait sure que tu aimerais qui je suis en partie. »
Rita baissa un peu la tête, coupable. Oui, elle craignait que Nathanael en souffre et ce serait la pire des chose. Elle espérait juste qu'il comprendrait. Et pour tenter de détourner un peu l'attention :
« Et toi ? Rien à te reprocher ? Tu sais, j'en ai marre de fuir.»
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Nathanaël Oryon Elève de 6ème année & Préfet
Nombre de messages : 1271 Localisation : Why so serious ? Avec mes chocolats sur Mars... Date d'inscription : 18/02/2011 Feuille de personnage Particularités: Je peux vous prouver par A+B que les aliens existent vraiment... C'est fou n'est-ce pas ? Ami(e)s: Les aliens.... Et les aliens... Quelque chose de réelle, dites-vous ? Mais les aliens sont bien réels, regardez X-files voyons !!! Âme soeur: L'amour c'est un rituel élaboré avec ses épreuves, ses hauts et ses bas, ses larmes et ses tornades...
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Jeu 12 Avr - 22:02 | |
| Rita resta bouche bée. Je pense l’avoir dessus une fois de plus. J’avais aimé la journée de la Saint Valentin, enfin plutôt le moment que j’avais passé avec elle, mais je n’aurais pas dû partir comme ça. J’étais parti pas parce que j’avais faim, mais parce que j’avais peur. Peur qu’elle veuille que nous soyons officiellement ensemble. J’ai peur de m’engager c’est vrai mais c’est parce que j’ai peur de souffrir et d’être abandonné, je suis vraiment qu’une poule mouillée. Je commence à croire que la vision de la vieille est vrai, sérieux comment elle fait pour savoir tous ces trucs, c’est un alien ? - Citation :
- « Le problème, ce n'était pas la déclaration... je pense que c'est plus complexe que ça... et ne te dévalorise pas, t'es vraiment un gars génial Nath. »
Si j’étais si génial, je lui aurais déjà dit que je voulais être avec elle, plutôt qu’une autre. Même si elle est pas toujours naturelle avec moi, quelque chose me dit qu’elle pourrait bien être la fille avec qui je pourrais passer ma vie, mais vu que je suis trop borné pour faire le premier pas, je vais la perdre il n’y a pas de doute, d’ailleurs je la vois déjà partir. J’étais un peu triste de la tournure que prenait la journée, cela se voyait et je n’avais aucunes envies de le cacher, je voulais qu’elle comprenne mes sentiments, pour une fois montré que je ne suis pas un gars insensible. Pourquoi elle me regarde comme ça ? J’ai quelque chose sur le visage ? Je fronçais les sourcils pas parce que j’étais fâché mais plutôt parce que je cherchais pourquoi elle agissait comme ça. - Citation :
- « Tes cheveux ! »
Mes cheveux, mais qu’est-ce qu’ils ont ? Ne me dites pas qu’elle vient seulement de voir que je m’étais teins les cheveux en blond quand même ? Elle plaqua ses mains, Rita devait être surprise du changement. Je laissais échapper un petit rire. Franchement même elle était surprise, quand mes parents m’avaient vu avec mes cheveux blonds, ils avaient tout simplement péter un plomb, j’avais même cru que mon père allait me tuer pour avoir fait ça. J’éclatais littéralement de rire avant de lui explique mon geste. Je savais que cela n’avait pas d’importance que je l’explique mais je voulais que l’on partage beaucoup de chose alors pourquoi pas ça, peut-être qu’elle comprendrait. « Je les ai teins en signe de rébellion contre mes parents, mais je préfère attendre un peu avant de retourner dans ma teinte naturelle, histoire de choquer les gens et surtout pour pas abimer. »Rita avança ses mains vers moi tout en me souriant tendrement, je fis de même. Elle passa ses mains dans mes cheveux avec une grande délicatesse puis me caressa la joue. Je me sentais bien avec elle. Mes soucis partaient comme par magie. J’aurais voulu rester dans cette roulotte avec elle toute la journée, mais je savais bien que c’était impossible. Je m’excusais avec grande nervosité du fait d’avoir draguer toutes ses filles. J’ai toujours pensé que l’amour fessait plus de mal que de bien. Quand je sors avec les autres filles, je sais que cela ne va pas durer parce que je fais ça pour le faire plaisir et pas pour moi, mais avec Rita ce n’est pas pareil. J’essayais maladroitement de lui dire que je voulais être avec elle, officiellement. Mais vu la mine triste qu’elle affichait je ne l’avais pas bien dit, pourquoi je ne lui disais pas franchement. - Citation :
- « Il y a peut-être quelque chose chez moi qui ne va pas alors, si tu éprouves ce besoin... à moins que sortir avec d'autres filles, ça t'empêches toujours de t'engager et donc, tu n'as rien à perdre. Je dois avouer que je suis un peu comme toi... »
Justement tout aller trop bien avec elle. Mais qu’est-ce que je pouvais être idiot des fois. Elle aussi avait peur de s’engager ou juste qu’elle trouvait que quelque chose clocher chez moi ? Enfin pour ma part, je pensais que tout chez moi n’allait pas du mental au physique enfin. Je baissais les yeux et j’enchainais sur un autre sujet. Je reviendrais lui dire ce que je voulais lui dire plus tard. J’attendais avec beaucoup d’appréhension sa réponse, j’étais beaucoup plus nerveux que d’habitude mais cela ce comprenez. - Citation :
- « C'était au moment où tu ne me parlais plus, tu sais, pour le bal... Puis, j'ai rencontré quelqu'un. On est devenu ami, mais c'est vrai que j'ai sur la conscience d'être différente avec lui qu'avec toi... Je ne suis pas tout à fait sure que tu aimerais qui je suis en partie. »
Apparemment on avait fait tous les deux quelque chose après le bal. Moi j’ai flirté avec ChaeRin et elle est devenue ami avec quelqu’un. Elle baissa la tête apparemment honteuse de ce qu’elle venait de me dire, il n’y avait pas de raison. - Citation :
- « Et toi ? Rien à te reprocher ? »
Je relevais la tête de Rita et la regarda dans les yeux sans une sourire. « Je ne vois pas pourquoi j’aimerais pas qui tu es vraiment. Si tu as flirté avec lui j’espère qu’il a craqué sinon j’irais lui botter le derrière moi-même. Si tu le préfère a moi je comprends, je ne suis pas le mec le plus génial de la terre. Et si tu veux être avec lui, pas de soucis… Je l’accepterais parce que quand en aime, même si on veut garder la personne pour sois, on n’a pas le droit de la rendre malheureuse. Alors je préfère te voir heureuse avec un autre plutôt que malheureuse avec moi. »Je marquais un temps de pause. Je n’en revenais pas d’avoir dit ça. Moi qui étais aussi possessif, j’acceptais de la laisser partir pour un autre. Je commençais à changer et cela me fessait bizarre. Je repris enfin après une longue inspiration « Un peu après ma rentré de seconde année, j’ai rencontré ChaeRin au champ de citrouille. Il pleuvait j’ai dit quelque chose qu’elle a mal prit et je la comprends. Enfin j’ai voulu la retenir et j’ai glissé sur une marche et je l’ai entrainé dans ma chute et je l’ai embrassé par accident. C’était mon premier baiser, elle ne l’a pas cru parce que je draguais pas mal de filles. C’était le sien aussi. Enfin bref, le baiser ne m’a rien fait du tout, mais je me suis senti mal d’avoir voler son premier baiser. On est rentré au château et on a parlé. Et on a choisi d’oublier ce que venait de se passer, enfin moi personnellement j’y arrivais pas et je sais même pas si j’y arrive. Enfin j’ai pleuré toute la journée et le lendemain je t’ai rencontré dans la bibliothèque, je ne sais pas pourquoi je t’ai apprécié du début. Comme notre rencontre avait été courte et que je voulais mieux te connaitre, je t’ai invité au bal. Quand je t’ai embrassé là-bas c’était vraiment spécial, comme un feu d’artifice, quand tu m’as laissé je suis allé pleurer au bord du lac, et après je suis retourné au dortoir quand il avait moins de monde. Après le bal, j’ai fait une soirée en tête à tête avec ChaeRin, pour me faire pardonner auprès de ses amies de ne pas l’avoir amené au bal. Et durant la soirée, j’ai flirté avec elle et je l’ai même invité à rencontrer mes parents, mais flirter avec ChaeRin et la taquiner c’est qu’un jeu pour moi c’est notre jeu. Tu dois penser que je suis un sombre crétin pour te raconter ça, mais il faut que je te le dise, je ne veux pas qu’il ait de mensonge enter nous. J’éprouve que de l’amitié pour ChaeRin alors que pour toi c’est autre chose, quelque chose que je n’arrive pas à définir. On a tous des choses à se reprocher crois-moi »Je m’arrêtai enfin de parler. Ma mère aurait dû mettre un mode on/off sur moi pour que j'arrête de parler autant en peu de temps. Je savais que la moitié des choses que je venais de dire ne se disait pas mais il fallait que je lui dise. « Tu sais, j'en ai marre de fuir.» « Alors pourquoi tu fuis maintenant ? Dit moi ce que tu as sur le cœur. »Je la regardai dans les yeux puis je déposais un baisé sur ses lèvres, il était temps que je lui dise ce que j’avais à lui dire. « Je ne veux pas aimer d’autres filles que toi, sors avec moi, s’il te plait. Je ne te laisserais jamais tomber, je te le promets, alors n’ait pas peur et ne fuis pas… »Comment je pouvais promettre une telle chose. J’aurais peut-être dû réfléchir avant de dire cela. Et puis non, c’est ce que je voulais dire parce que c’était la vérité. Quoi qu’il pourrait se passer je ne la laisserais pas tomber, jamais. |
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Rita Minithya Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011 Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Sam 14 Avr - 0:11 | |
| « Je les ai teins en signe de rébellion contre mes parents, mais je préfère attendre un peu avant de retourner dans ma teinte naturelle, histoire de choquer les gens et surtout pour pas abîmer. »
« Oh, mais je ne t'ai jamais dit que j'avais une préférence pour les blonds ? »
Rita lui lança un sourire à pleine dents. Non pas qu'il ne lui avait pas plu lorsqu'il était brun, au contraire, mais il fallait se l'avouer, elle craquait pour les blonds. Et ça tombait super bien. Puis, en y réfléchissant bien, Nathanael pourrait faire ce qu'il voulait, elle était sure d'être sincère avec lui. Rita lui caressa alors les cheveux et la joue, pour lui montrer qu'elle le soutenait. Nathanael répondit à son sourire. C'était la première fois que Rita voyait une telle tendresse dans ses yeux et cela la surprit un peu. Avait-elle touché Nathanael ? Au fond de lui-même ? Il y avait aussi comme un soulagement dans son regard, ce qui confirma ce que Rita pensait. Oui, elle pouvait soutenir Nathanael. Il l'accepterait, même si elle pariait qu'il ferait tout pour ne pas l'inquiéter, elle. Pour le lui montrer, Rita eut un regard franc et lui lanca :
« Allez ! Fighting ! »
En gros : « Bon courage , expression coréenne. Au moins, ils partageaient cela. Puis, Nathanael baissa un moment le yeux, pensant clairement à quelque chose. Depuis quelques minutes, Rita trouvait qu'il était très agité, comme dans un combat intérieur. C'était curieux. Néanmoins, Rita choisie ce moment de réflexion pour dire à Nathanael ce qu'elle avait sur le cœur. Sa rencontre avec Jules. Nathanael parut contenir un peu sa jalousie –c'était admirable de sa part- et lui jeta un regard compréhensif. Rita lui demanda alors s'il n'avait pas lui-même quelque chose à se reprocher. Technique de base pour détourner la conversation. Prendre le joueur à son propre jeu. Rita se dit un moment qu'elle devrait parler d'une petite virée nocturne à Nathanael. Pour qu'il découvre comme elle était avec certaines personnes, comme Jules. Une vraie rebelle. Et Rita pariait que Nath était comme elle. Soudainement, entendant ma question, Nathanael releva la tête et planta son regard dans le mien. Tout à fait décidé.
« Je ne vois pas pourquoi j’aimerais pas qui tu es vraiment. »
« Parce que j'ai l'air vraiment sage pour tout le monde, mais qu'en vérité, j'adore les petites aventures. J'adore vivre. Je dois t'avouer que j'aime le danger, répondit Rita en lui souriant d'un air à la fois sincère comme une confidence et d'un air malicieux, provocateur. »
Nathanael continua sur sa lancée.
« Si tu as flirté avec lui j’espère qu’il a craqué sinon j’irais lui botter le derrière moi-même. »
Décidément, pensa Rita « j'adore son humour », c'est juste adorable !
« Si tu le préfère a moi je comprends, je ne suis pas le mec le plus génial de la terre. Et si tu veux être avec lui, pas de soucis… Je l’accepterais parce que quand en aime, même si on veut garder la personne pour sois, on n’a pas le droit de la rendre malheureuse. Alors je préfère te voir heureuse avec un autre plutôt que malheureuse avec moi. »
Rita en resta bouche bée. Nathanael qui avait pour défaut d'être infidèle, et pourtant tout à fait jaloux, lui montrait une autre face de lui-même. Ce Nathanael là était encore plus beau que le précédent. Il était compréhensif, commençait à regretter d'être aussi infidèle. Rita ne demandait pas la lune, Nathanael ne pouvait pas et ne devait surtout pas tout changer en lui. Mais ces changement là étaient aussi surprenants qu'inattendus. Rita était très fière de lui. Et elle se rendit juste compte que on cœur battait la chamade. Une petite larme coula se logea sur le coin de son œil. Dieu, qu'elle était fière de lui. Elle ne savait pas trop pourquoi, mais Nathanael, bien que plus triste récemment transformait ses défauts en qualité. Et rien que pour cela, Rita lui répondit :
« Comment je pourrais partir pour quelqu'un d'autre alors que j'ai déjà une personne aussi extraordinaire sous les yeux ? Enfin, c'est vrai, tu es loin d'être le mec le plus géniale de la terre. Et c'est justement pour ça que je t'ai choisi, toi.»
Bien que Rita détestait au plus haut point les scène « kitch » où les filles pleurent forcément tant elles sont heureuse, et où le hommes deviennent exceptionnels au contact de l'amour, elle devait s'avouer que : Ça faisait du bien ! De pouvoir enfin être sure que l'amour, ça avait quand même une chance d'exister. Que c'était loin d'être parfait, mais que ça se construisait.
« Un peu après ma rentré de seconde année, j’ai rencontré ChaeRin au champ de citrouille. Il pleuvait j’ai dit quelque chose qu’elle a mal prit et je la comprends. Enfin j’ai voulu la retenir et j’ai glissé sur une marche et je l’ai entraînée dans ma chute et je l’ai embrassé par accident. C’était mon premier baiser, elle ne l’a pas cru parce que je draguais pas mal de filles. C’était le sien aussi. Enfin bref, le baiser ne m’a rien fait du tout, mais je me suis senti mal d’avoir voler son premier baiser. On est rentré au château et on a parlé. Et on a choisi d’oublier ce que venait de se passer, enfin moi personnellement j’y arrivais pas et je sais même pas si j’y arrive. Enfin j’ai pleuré toute la journée et le lendemain je t’ai rencontré dans la bibliothèque, je ne sais pas pourquoi je t’ai apprécié du début. »
C'est sur qu'avec Nathanael, le blancs c'était rare ! Il y avait toujours à dire. Et Rita appréciait beaucoup cela. Elle ne supportais pas les gens toujours silencieux. Quitte à parler un peu trop, sans être lourd, elle appréciait. Car Nathanael parlait beaucoup, mais il savait écouter les autres, ce qui constituait LA qualité essentiel face à ce caractère là. Rita était habituée à ces... discours, mais cela ne la dérangeait pas le moins du monde, car, comme dit précédemment, Nathanael se confiait assez facilement, mais il fallait qu'il ait confiance. Si il lui disait tout cela, c'était qu'il croyait en elle, et cela était très important pour Rita. La confiance, la clé de tout. Enfin, Rita se rendit compte du contenu des paroles de Nath. Ainsi donc, il avait embrassé accidentellement Chaerin. Ca faisait... bizarre. Rita connaissait Chaerin depuis leur rencontre à la lisière de la forêt interdite. Ce dire que quelqu'un avait déjà embrassé Nathanael, et que lui de même, bien qu'elle n'en fut pas choquée, car Nath était beau, il aurait été normal qu'il ait déjà embrassé quelqu'un avant elle. Mais avec Chaerin. Rita ressentit comme un petit pic au cœur mais ne dit rien. Elle connaissait la relation entre Chaerin et Nathanael. Ils étaient amis, elle ne pouvait pas, et cela ne tenait pas à elle de toute manière, les empêcher de se cotoyer parce qu'ils s'étaient embrassés. C'était ridicule.
« Comme notre rencontre avait été courte et que je voulais mieux te connaitre, je t’ai invité au bal. Quand je t’ai embrassé là-bas c’était vraiment spécial, comme un feu d’artifice, quand tu m’as laissé je suis allé pleurer au bord du lac, et après je suis retourné au dortoir quand il avait moins de monde. »
Pour le bal, Rita comprenait, elle avait ressentit exactement la même chose, mais peut-être en moins intense que Nathanael qui avait visiblement très souffert de son rejet. Donc, cette nuit là, il était partit au lac... Décidément, il pleurait beaucoup quand même. Une face de Nathanael que Rita avait été un peu surprise de découvrir. Non pas qu'elle pensait qu'un homme ne pleurait pas. Non, Nath était sensible, malgré son fort caractère. C'était un mélange étrange. En même temps, en lui disant cela, il lui exposait sa faiblesse. Il avait vraiment confiance en Ritan s'en était incroyable et elle se sentait extrêmement bien.
« Après le bal, j’ai fait une soirée en tête à tête avec ChaeRin, pour me faire pardonner auprès de ses amies de ne pas l’avoir amené au bal. Et durant la soirée, j’ai flirté avec elle et je l’ai même invité à rencontrer mes parents, mais flirter avec ChaeRin et la taquiner c’est qu’un jeu pour moi c’est notre jeu. Tu dois penser que je suis un sombre crétin pour te raconter ça, mais il faut que je te le dise, je ne veux pas qu’il ait de mensonge enter nous. J’éprouve que de l’amitié pour ChaeRin alors que pour toi c’est autre chose, quelque chose que je n’arrive pas à définir. On a tous des choses à se reprocher crois-moi »
Ça c'était sur, ça lui plaisait tout de suite moins. Qu'il est fleurter avec Chaerin. Bon, Rita comprenait, elle le faisait avec Jules. C'était kif kif entre elle et Nathanael. Juste un jeu. Comme pour penser à autre chose. Elle comprenait très bien, amis c'était tou de même difficile à accepter. Néanmoins, elle se devait de réagir comme Nath. Elle voulait qu'il soit heureux avant tout. Nathanael sembla avoir le cœur plus léger. Il avait dit tout ce qui lui pesait et qui pouvait constituer un malentendu avec elle. Rita en était très contente. Elle lui déclara ensuite qu'elle en avait marre de fuir, en le fixant dans les yeux.
« Alors pourquoi tu fuis maintenant ? Dit moi ce que tu as sur le cœur. »
« Avec ma famille, j'ai toujours eu peur de m'engager, j'ai toujours cru que l'amour, c'était une utopie. Que ça n'existait pas. Mais cet amour là, je veux y croire »
Nathanael la regarda alors dans les yeux puis lui déposa un baiser sur les lèvres. C'était un véritable baiser. Le genre doux qui communiquait des frissonnement. Qui communiquait de l'amour ; Et pour la première fois, Rita vit à qu'elle point Nathanael l'aimait, et combien elle voulait lui montrer qu'elle l'aimait. Elle voulait tout savoir de lui, l'aider, le chérir, l'accompagner (sans être pot de colle, évidemment)... Elle voulait être quelqu'un de spéciale pour lui.
« Je ne veux pas aimer d’autres filles que toi, sors avec moi, s’il te plaît. Je ne te laisserais jamais tomber, je te le promets, alors n’ait pas peur et ne fuis pas… »
Rita vit un peu cela comme une supplication. Nathanael avait besoin d'elle à ce point ? Ou craignait-il autant de souffrir d'un nouveau rejet ? Le premier avait du lui faire tellement mal... Il lui promettait donc de n'aimer qu'elle. C'était le premier frein qu'avait eut Rita. Cette condition était essentielle pour un couple. Flirter oui. Jouer oui. Mais pas tromper. Nathanael soutint son regard, et semblait totalement bouleversé par l'attente de la réflexion de Rita.
« Si je ne l'étais pas, je crois que je suis vraiment devenue folle de toi aujourd'hui. Tu as changé Nath, en bien, je veux dire. Je ne sais pas si tu l'a fait pour moi, mais j'admire ça, vraiment. Je suis prête. Je ne le fais pas par obligation, ou regret. Je suis sincèrement prête a m'engager avec toi »
Elle le regarda un instant, un petit sourire malicieux aux lèvres, puis, comme ce n'était pas un jeu mais que c'était tout à fait sérieux, elle le remplaça par un sourire tendre. Elle prit les joues de Nathanel dans la paume de ses mains et vint déposer un baiser doux, les yeux fermés. Le pacte était cellé. Et une chose était sure ; elle était tout à fait consentante et heureuse. Cette fois. |
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Nathanaël Oryon Elève de 6ème année & Préfet
Nombre de messages : 1271 Localisation : Why so serious ? Avec mes chocolats sur Mars... Date d'inscription : 18/02/2011 Feuille de personnage Particularités: Je peux vous prouver par A+B que les aliens existent vraiment... C'est fou n'est-ce pas ? Ami(e)s: Les aliens.... Et les aliens... Quelque chose de réelle, dites-vous ? Mais les aliens sont bien réels, regardez X-files voyons !!! Âme soeur: L'amour c'est un rituel élaboré avec ses épreuves, ses hauts et ses bas, ses larmes et ses tornades...
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Jeu 19 Avr - 22:31 | |
| - Citation :
- « Oh, mais je ne t'ai jamais dit que j'avais une préférence pour les blonds ? »
Comme ça Rita aimait les blonds, cela était d’une importance capitale. Enfin vu que je ne comptais pas rester blond très longtemps je me verrais forcer de lui déplaire un tout petit peu. Enfin si elle m’avait aimé en brun, elle m’aimera quand je reprendrais cette couleur. Il fallait positiver dans la vie, et puis la couleur des cheveux c’est la couleur ce n’est pas ce qui fait la personne elle-même c’est plutôt ce qui l’aide à se démarquer et à montrer son caractère. Tiens c’est d’ailleurs ce que ma mère me répète souvent quand elle me choisit mes vêtements, il va falloir que je lui demande d’arrêter de me vampiriser comme ça. Rita me sourit et je fis de même. J’étais heureux avec elle, et il fallait dire que ces compliments me flattaient beaucoup, alors comment je pouvais faire pour ne ma craquer devant elle. - Citation :
- « Allez ! Fighting ! »
C’est origine coréenne, enfin si elle en avait bien entendu, venait de refaire surface. Je connaissais très bien cette expression car il passait la plupart de ses étés en Corée et je fus ravie de voir son enthousiasme. Je levais timidement mon poing et lui dit fighting également. Du courage, il allait m’en falloir énormément surtout face à mes parents. Ce n’était pas les personnes les plus faciles à faire plier, enfin en ce moment cela pouvait être plus simple qu’en temps normale, me dis-je. Et puis avec deux trois bonnes notes ça pourrait le faire aussi, enfin il fallait encore que je les décroche et ça ce n’était pas gagné d’avance. Je lui demandais pourquoi je ne l’aimerais pas pour ce qu’elle était réellement. Je savais depuis un moment qu’elle me cachait quelque chose et je voulais savoir quoi. Bon moi aussi je cachais des choses mais j’ai mes raisons de les cacher. Et pour aborder le sujet, il fallait être bien accroché et surtout n’avoir peur de rien, et comme il n’avait jamais trouvé l’occasion d’en parler et qu’il ne voyait pas encore l’âme aventurière de Rita, il gardait ses secrets sous clés. - Citation :
- « Parce que j'ai l'air vraiment sage pour tout le monde, mais qu'en vérité, j'adore les petites aventures. J'adore vivre. Je dois t'avouer que j'aime le danger. »
Moi aussi j’adore vivre et dangereusement en plus. Mais je savais qu’à force de jouer avec le feu on pouvait se bruler. C’est ce qui est arrivé à mes parents. Je me fis abstraction de toutes remarques, car je ne savais pas trop quoi répondre à cet aveu. Alors je préférais continue sur ma lancé. A la fin de mes paroles Rita me regarda. Je vu de suite qu’elle était surprise par mes propos. C’est vrai qu’il avait de quoi surprendre vu que j’étais quelqu’un de jaloux et que je veuille la laisser à quelqu’un d’autre semblait tout bonnement impossible mais c’est vrai. « Comment je pourrais partir pour quelqu'un d'autre alors que j'ai déjà une personne aussi extraordinaire sous les yeux ? Enfin, c'est vrai, tu es loin d'être le mec le plus géniale de la terre. Et c'est justement pour ça que je t'ai choisi, toi.»«Merci beaucoup de rester avec moi malgré que je ne sois pas le meilleur. »Mais c’était quoi cette phrase !? Elle était nul et non avenu, non mais oh il fallait peut être que je me mette à réfléchir avant d’ouvrir la bouche une fois de temps en temps. Pour rattraper cette phrase des plus horribles qu’il me fut donner de sortir, j’entamais mon long, long, long, même très long discourt. Mais si je ne laissais aucun blanc, c’était pour une raison simple : je ne voulais pas que Rita commente mes agissements stupides d’ado en manque d’amour. Je me sentais assez proche d’elle pour me confier ainsi, car je ne le fessais quasiment jamais, les personnes à tout savoir sur ma vie étaient ChaeRin (et encore je lui cachais pas mal de chose à elle aussi), mon rat (enfin lui s’était logique vu qu’il me suivait partout), mon meilleur ami d’enfance et enfin ma peluche. Oui j’ai bien dit peluche, je sais que cela fait gamin mais bon je n’arrive pas à me séparer d’elle depuis que je suis petit, à défaut de ne pas avoir de journal intime, j’ai ma peluche c’est bien aussi ? J’étais un garçon sensible en dessous de mon épaisse couche de glace, c’est l’une des principales raisons qui me pousse à rester seul, pour ne pas souffrir et donc par conséquent ne pas pleurer. Enfin je continuais à déballer ma vie à Rita, n’oubliant de préciser que le rejet que j’avais subit durant le bal m’avait fait souffrir plus qu’elle n’aurait pu le penser. Je vis que l’après bal n’avait pas plu à Rita en même temps à qui cela aurait-il pu bien plaire ? Savoir que le garçon que l’on pense aimer va dans les bras d’une autre fille pour combler un certain manque, je pense que personne ne voudrait l’entendre et surtout pas moi, mais je lui avais quand même dit, pour marquer son esprit. Puis je lui demandai ce qu’elle avait sur le cœur, car je voulais qu’elle me parle sans détour. « Avec ma famille, j'ai toujours eu peur de m'engager, j'ai toujours cru que l'amour, c'était une utopie. Que ça n'existait pas. Mais cet amour-là, je veux y croire »« Je pense que l’amour est une utopie. "L’amour fait songer, vivre et croire. L'amour est un genre de suicide. Et ce qu’il y a d’ennuyeux dans l’amour, c’est que c’est un crime où l’on ne peut pas se passer d’un complice." Mais bizarrement avec toi je veux essayer d’y croire. »Oui je n’avais jamais pensé être amoureux un jour. Et pourtant c’est ce qu’il m’arrivait. Moi qui me moquer souvent des autres, ceux qui étaient amoureux. Je les traitais de fou, et me voilà maintenant aussi fou qu’eux. Mais voilà j’étais follement amoureux d’elle. Mon cœur battait la chamade, j’avais l’impression qu’il allait pouvoir sortir de ma poitrine à tout moment. Plus que des mots je joins le geste à la parole. J’embrassai passionnément Rita. C’était le genre de baissé à faire tomber les têtes des gens. A faire des envieux tellement on pouvait sentir que mon amour pour elle était sincère, je voulais qu’elle m’aime et je voulais l’aimer autant que je le pouvais. Une fois notre baisé terminer, je lui exprimais mon désir d’être avec elle. Je l’avais dit avec une voix pleine de sincérité qu’elle aurait été folle ou plutôt très sensé de refuser ma proposition. Car à dire vrai je n’avais pas la lumière à tous les étages comme garçon. Je croyais au extraterrestre, je soupçonnais ma poupée Chucky d’être vivante, ma peluche de me trahir, je voyais un culte secret aux glaces en tout genre, et le pire de tous je pensais que mon rat était la petite souris déguiser. Non mais ma mère devait vraiment être contagieuse, je ne savais pas que la folie était héréditaire. - Citation :
- « Si je ne l'étais pas, je crois que je suis vraiment devenue folle de toi aujourd'hui. Tu as changé Nath, en bien, je veux dire. Je ne sais pas si tu l’as fait pour moi, mais j'admire ça, vraiment. Je suis prête. Je ne le fais pas par obligation, ou regret. Je suis sincèrement prête à m'engager avec toi »
Effectivement elle aussi avait un problème. Et un de taille, moi… La pauvre petite, elle n'avait pas l'air de savoir dans quelle histoire elle s'embarquait avec moi et mes idées plus idiote les unes des autres. Je savais que j’avais changé, mais je le fessais pour moi, je n’avais plus peur d’être qui je suis. Elle m’embrassa doucement les yeux fermées, moi aussi je fermis les miens. Il était heureux de cette journée, rien n’aurait pu être aussi bien, sauf si j’aurais pu toucher les araignées aussi, enfin bref. « Je crois que c’est fait, on est officiellement ensemble maintenant. Mais je ne veux pas que tout le monde ne le sache, enfin pas pour le moment. Sinon on sort d’ici, l’endroit me fait peur j’ai l’impression qu’on nous regarde. »
C’était définitif, j’étais fou et parano de surcroit. - Spoiler:
[Crédit des phrases utilisées : "L’amour fait songer, vivre et croire."De Victor Hugo " L'amour est un genre de suicide."Jacques Lacan "Ce qu’il y a d’ennuyeux dans l’amour, c’est que c’est un crime où l’on ne peut pas se passer d’un complice." De Charles Baudelaire]
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Rita Minithya Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011 Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
| Sujet: Re: Even with a mirror I refuse to share you [PV] TERMINE Sam 21 Avr - 15:43 | |
| Quand Rita lui avait avoué qu'elle aimait vivre et adorait l'aventure, il avait parut un peu surpris. Néanmoins, il sembla se résigner, et près à accepter ce coté de sa personnalité. Rita connaissait bien le caractère du garçon. Pas tout, bien sur, mais elle savait quel genre de choses il faisait. Entre autre, il s'amusait bien la nuit. Non, ce n'est pas ce que vous pensez, il s'enfuyait simplement de la salle commune. Et chez les Poufsouffles, ces petites virées étaient bien connus. Surtout que Nath était un des élèves les plus intelligents de cette maison. Ces deux côtés extrêmes causaient bien des commérages et jalousies. Rita n'en avait jamais parlé avec lui, mais c'est comme ça qu'elle entendu parlé de lui en premier temps. Le dragueur, le moqueur et le vagabond Nathanael Oryon. Y avait de quoi le fuir. Et puis, il lui avait parlé, elle avait eut des doutes sur sa sincérité. Pour une fois, le garçon semblait être sérieux, mais elle avait cru qu'on se moquait d'elle, qu'il la laisserait tomber, alors elle avait fuit en le blessant. Tout s'était accumulés et désormais, ils sortaient ensembles. Rita n'aurait jamais pensé qu'ils se ressembleraient autant tous les deux, vu leurs réputations de départs.
«Merci beaucoup de rester avec moi malgré que je ne sois pas le meilleur. »
Rita rit doucement. Ces paroles allaient très bien avec ses pensées. Nathanael avait changé, depuis sa première année à elle. Devant elle, il était vrai, le masque était tombé. Avant il aurait surement dit « faisons ceci, faisons cela », il aurait été tout à fait confiant. Là, il ne savait plus quoi dire, ou du moins comment le dire, et Rita trouvait cela tout à fait adorable. Elle aimait le vrai Nathanael, celui qui lui avait manqué au bal. Nathanael avait ensuite débité un de ses looonngs discours, auxquelles elle était habituée désormais. Rita ne trouvait pas cela pesant, elle aimait les personnes qui s'exprimaient et ne cachaient presque rien sur le fond de leur pensée. Et quand Nathanael avait énoncé la tristesse qu'elle lui avait causé lors du bal, elle avait sentit un petit picotement au cœur. Elle n'aimait pas causer de peine, mais en quelque sorte, elle ne regrettait pas. Et puis Nath était allé voir Chaerin, pour compenser. Rita avait du mal à comprendre. Certes, elle avait été tout de même odieuse sur ce coup ci... mais combler ce rejet en donnant rendez-vous à Chaerin... tout de même. Qui sait ce qu'ils avaient fait ? Ce qu'il y avait entre eux ? Peut être avait-il fait cela pour la rendre jalouse, vérifier que des sentiments existaient entre eux ?
« Je pense que l’amour est une utopie. "L’amour fait songer, vivre et croire. L'amour est un genre de suicide. Et ce qu’il y a d’ennuyeux dans l’amour, c’est que c’est un crime où l’on ne peut pas se passer d’un complice." Mais bizarrement avec toi je veux essayer d’y croire. »
On était finalement pareil lui et moi, avec toutes nos différences. On n'avait jamais cru en l'amour jusqu'au moment où on l'avait vécu ensemble. Rita aimait bien les citations du Poufsouffle. Elle pensait exactement la même chose. Un simple utopie. Certes, ils étaient amoureux, mais rationnels. Rita pensaient toujours qu'ils s'aimeraient d'une façon différente des autres. Alors voilà, à voir le regard de Nathanael, ils vivaient de passions, de disputes, de moments paisibles, de libertés et aussi d'autonomie. Ils se respectaient ( du moins, pour le moment) et Rita espérait que cela n'allait pas se compliquer...
Nathanael se mit à la fixer. Rita se mit instinctivement à rougir devant ce regard plus que sérieux. Il la regardait avec amour. C'était la première fois qu'un garçon la regardait de cette façon. Comme si, comme elle, son cœur battait la chamade dés qu'elle le voyait, qu'elle était angoissée à l'idée de ne pas lui plaire... Le corps de Rita se raidit quelque peu. Elle se mit à le fixer, elle aussi, le cœur battant. Le monde s'arrêta de tourner. Il n'y avait qu'eux. Un fil invisible sembla les attirer l'un vers l'autre. Ni tenant plus, Nathanael l'attrapa à la taille et derrière la tête et l'embrassa passionnément. Rita, les yeux fermée était complètement perdue dans cette océan de plaisir. Sa tête lui tournait. Sans s'en rendre vraiment compte, elle avait placé ses mains derrière son cou -pour Rita, le corps de Nathanael était tout simplement parfait!-. Rita avait chaux et le temps n'était pas compté. Ce genre de baiser, on en connaissait souvent peu dans une vie. Un baiser aussi sincère et passionné qui décrivait tous sentiments, tous les mots qu'ils avaient en eux. C'était magnifique. Une fois que leur bouches se séparèrent, ils reprirent leur souffle et Rita lui envoya un regarc à la fois surpris, étonnée, et ravie. Ce garçon était étonnant, et encore plus l'amour qu'il lui témoignait. Rita ne savait pas qu'il l'aimait à ce point. Il lui exprima son souhait de sortir avec elle, en toute sincérité. Ce mec était délirant. Elle n'allait pas s'ennuyer, et d'ailleurs, lui non plus ! Elle était moins douce qu'elle ne le laissait paraître !
« Je crois que c’est fait, on est officiellement ensemble maintenant. Mais je ne veux pas que tout le monde ne le sache, enfin pas pour le moment. Sinon on sort d’ici, l’endroit me fait peur j’ai l’impression qu’on nous regarde. »
Rita le regarda, un peu surprise, puis se rappela la famille de son désormais petit ami. Pas facile pour un sang pur de sortir avec une sang mêlée. Encore plus si ce sang pur avait une famille très aisée. Leur relation promettait... d'être carrément une aventure ! Il voulait se cacher, cela allait à Rita, mais tôt ou tard, quelqu'un saurait pour eux. Vu les regards qu'ils se lançait d'ailleurs, quelque personnes devaient avoir des doutes avant même qu'ils ne sortent ensemble. Rita remplaça son regard surpris par un regard malicieux, se leva pour sortir et ajouta :
« Je ne sais pas combien de temps je tiendrais comme ça... cachée... mon cher Nathanael » dit-elle en lui envoyant un clin d'oeil.
« Oh, un bon bout de temps, ne t'en fait pas pour ça, jeune fille »
Rita poussa un cri et se retourna le cœur battant. Elle n'avait même pas entendu la voyante revenir !
« J'espère juste que vous serez assez malin pour éviter les pièges qu'on va vous tendre. M'enfin, c'est ça aussi l'aventure, les jeunes. Bon allez, ouste ! Sortez d'ici, je fais pas de la charité »
Et à cette instant, Rita se dit que depuis le début, en réalité, cette vieille dame savait que les deux amoureux ne voulaient pas être vu par les autres. Que le seul moyen q'ils parlent de leurs sentiments, c'était d'être seuls, cachés de tout. Cette vieille femme était une vraie voyante, à n'en plus douter. Rita ne pensait qu'à une chose :
« Merci pour tout », lui sourit-elle en sortant, Nathanael à ses côtés.
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