Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011
Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
Sujet: Rita Minithya -Why so serious? Mer 2 Mai - 21:48
...Rita Minithya...
Née: Le 19 Mai à LimeHouse, East End. Habite: Londres. Maison: Poufsouffle. Baguette: Aulne, 26.75 cm, cœur en plume de phoenix, légèrement élastique. Patronus: Une fouine. Epouventard: James. Amortensia: Etonnemment flou. Matière la plus appréciée: Sortilèges (défense contre les forces du mal) Matière la moins appréciée: Les runes (si une écriture est morte, c'est pas pour rien, merci).
"Souvent, le plus dur, c'est de s'assumer".
Arriver à Poudlard n’a pas été une chose facile. Voyez, j'étais une moldue, tout ce qu'il y a de plus normal, jusqu'à ce qu'un vieux hibou dépose une lettre à mes pieds (oui oui, un hibou...). Tout comme mes frères, j'ai cru à une bonne blague, et j'avais adoré le hibou apprivoisé! J'avais soupçonné Trad, le voisin du bas, qui était magicien. Le problème, c'est que j'ai continué à recevoir des lettres. Et entre nous, c'était vraiment flippant, tous ces hiboux sur notre balcon. Ma mère les a chassé avec une colère que nous ne lui connaissions pas, et tout s'est enfin arrêté. Jusque la rentrée. C'était un jour assez chaud, si je me souviens bien, et ma mère avait débarqué dans ma chambre en me tendant une valise et en me demandant de l'accompagner. J'espérais vraiment que c'était une mauvaise blague. Quand nous sommes arrivés à la Gare, j'ai cru m'étrangler alors qu'elle me demandait de foncer droit dans le mur, en plein milieu de la voie 9 et de la voie 10 de King's Cross. J'adore ma mère, sérieusement, mais c'était pas une raison pour pousser le suicide. A force de négociation -que dis-je, de cris-, j'ai finis par faire ce qu'elle voulait. Je me suis retrouvée en face d'un train alors que bon... Bah je m'attendais plutôt à finir à l’hôpital avec une mère bonne pour la psychiatrie. Et je me suis souvenue de la lettre. Poudlard. le Poudlard Express. Et puis elle m'a tout expliqué.
Première année dit forcément acclimatation. J'ai tenté, j'ai réussit. une fois passer l'énorme choc de "jesuisunesorcièreaumondieu", j'ai réalisé à quel point c'était cool de faire des tonnes de trucs avec un bâton en bois. Genre, soulever des objets, transformer des rats en verre, faire taire les gens... Et puis j'ai rencontré Nathanael. Un deuxième année, dans ma Maison, Poufsouffle ("Vous êtes juste et loyal, ils aiment travailler et leur patience est proverbial..." -> Chanté par un chapeau... Un chapeau!). Coup de foudre. Une romance qui se déroula tout à fait normalement et parfaitement durant ma deuxième année! Année durant laquelle j'eus le plaisir de rencontrer: Ana Falkowsky. Vous savez, le stéréotype de la Serpentard vilaine, hautaine, moche ( bon ok, pas du tout)... Un vrai frigidaire! Inutile de préciser que notre première rencontre n'a pas finit avec des rires mais plutôt en pleurs? J'ai également pris Cameron sous mon aile, et intégrée l'équipe de Quiddtich des Golden Flyers. Douée en sortilèges, j'ai vouée une passion acharnée à l'étude des sorts et aux expériences.
Mais comme tout un chacun sait, partout où se trouve un bon côté, il y en a forcément un mauvais. Je n'aurais pas imaginer apprendre l'existence de la magie noire à mes dépends, et de ma famille sorcière de surcroit. Ma mère étant une cracmol et ayant coupé tous les ponts avec sa famille, elle m'avait caché l'existence de la magie. Cameron était menacé par son père, j'ai voulu l'aider, Nathanael aussi. J'ai fini par recevoir des lettres de menaces. J'ai fini par embrasser Cameron. J'ai fini par tomber malade, terrorisée par le harcèlement du père de Cameron, James. Je me suis séparée de Nathanael pour pouvoir l'éloigner de moi et le protéger. J'ai trouver le réconfort auprès de Ruby Standiford. Persuadée d'être perdue, j'ai attendu que James agisse. Qu'il me fasse ce qu'il voulait, du moment qu'il laissait mes amis tranquille. Mais c'est une soir que Cameron, sous l'emprise de l'Imperium, me conduit dans la forêt. Nathanael nous suit. Cameron, dont l'esprit est controlé, téléporte ses deux amis grâce à un portoloin, dans le manoir familial des Mc Allister. James m'applique un endoloris et tente de me tuer quand un combat éclate. Ma grand mère sorcière, une Auror, me protège. Je découvre que James est mon oncle, et qu'il souhaitait simplement me tuer pour toucher l'héritage qui me revenais de droit ( ma mère étant une cracmol). James est alors enfermé à Azkaban. Nathanael et moi nous séparons pour de bon, et rien ne semble pouvoir resouder les liens qui nous avait unis deux années plus tôt. L'obstacle qu'à représenter James était bien trop grand à franchir.
Cependant, ma quatrième année se basa sur un renouveau! Après avoir déprimé pendant tout l'été, j'ai décidé de ne plus pleurer sur mon sort! Grand bien m'en fasse, je me suis lié d'une grande amitié avec Caleb Matthews, le farceur de Poudlard! Mes relations se sont largement améliorées avec le reste des élèves! Ana et moi avons pu boire au trois balais sans nous balancer les chaises au visage ( et elle n'aurait pas pu, vu qu'elle voulait faire bonne impression au Barman)! Et puis après tout, j'étais une adolescente non? Alors, j'avais toute la vie devant moi, toutes les opportunités à mes pieds! oublions les devoirs, Vivons! Fêtes, explosifs, Quidditch, sortilèges, farces et attrapes et enthousiasme sont de la partie! Hors de question de rester complètement découragée par ma déception amoureuse! Après tout, il y a Ulrich Lichtenstein, le beau Mister Serpentard, Archibald Salisbury, le mystérieux séducteur, Logan Jefferson, le coureur de jupons, Keith Taylor, mon coéquipier de Serdaigle, et aussi Alan Greyson, le nouvel employé de Gaichiffon qui a tout pour me plaire! (oh oui, ça fait quatrième couverture de roman à l'eau de rose, je sais, ne riez pas).
Et puis, c'est sans compter tous les nouveaux amis que je me suis fait! Chuck Carlton (si je m'y attendais!), Mister Gryffondor, Theo Gray (le barman super sexy dont Ana est folle amoureuse, haha) et Ewan Campbell, le copain de mon amie Ruby Standiford! Sans oublier, encore et toujours, mon meilleur pote, mon frère de malice, mon bestah: Caleb! (et officiellement notre nouvelle coéquipière et alliée de farces: Ana!). Et qui dit ami, dit forcément ennemis. Je suis plutôt appréciée dans l'école, j'ai même été élue Miss, mais les vieilles histoires resurgissent toujours quand tout se passe bien. Pas sur qu'Annalisa apprécie que son petit ami, Archibald (ex petit ami au moment où ça s'est produit, je le jure) ait flirté avec moi au détour des cahots. Oups. Et une belle fin d'année en perspective, une!
Dernière édition par Rita Minithya le Mar 20 Aoû - 21:25, édité 17 fois
Rita Minithya
Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011
Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
Sujet: Re: Rita Minithya -Why so serious? Dim 20 Jan - 22:51
La family ! *si, si, j'ai quatre frères, vous voyez bien!*
Shin Hye Minithya Maman
Ça, c'est ma mère donc. Au cas où vous ne seriez pas au courant, c'est une cracmol qui le vit très mal. Elle m'a élevée comme une moldue en sachant que j'étais une sorcière, et je dois admettre que je n'ai pas le souvenir qu'elle ait été tendre avec moi... à un moment donné je veux dire. C'est drôle parce qu'elle aurait pu m'encourager et me soutenir. Elle dit qu'elle déteste la magie et que j'ai rien à faire avec ces histoires. Elle n'a pas eu le choix quand j'ai reçu ma lettre de Poudlard. Mais je sais que quelque part, elle est contente pour moi. C'est ma mère quand même.
HyunGul Minithya Papa
Mon père est ce que l'on peut appeler communément quelqu'un de "responsable". De trop chargé. Au point de n'être pratiquement jamais à la maison. En même temps, dans notre petit appartement -dans lequel on s'entasse à 7-, c'est légitime qu'il se ruine la santé pour subvenir à nos besoins. Parfois j'aimerais qu'il me regarde autrement que comme un de ses fils. Comme une fille, des fois ça changerait. Mais je m'égare.
Junpyo Minithya Grand frère
C'est le genre de gars qui vous regarde de haut et vous balance: "T'as quoi?!", la classe hein! Je l'adore! C'est lui qui m'a appris à me battre quand j'étais petite, à cracher par terre ( même si j'ai jamais réussit. Ouais ben essayez!) et a balancer des galets dans la marre de nos grands parents.
Minam Minithya Grand frère
Vous voyez cette tendance naturelle à se la raconter? C'est tout lui ça. Depuis qu'il est mannequin, il peut plus se sentir. J'crois même qu'il est plus féminin que moi. Il est un peu hautain, un peu prétentieux, mais il a un cœur en or.
Kimjun Minithya Grand frère
C'est surement mon frère préféré. Je l'aime parce qu'il est aussi malicieux que moi et qu'on finit toujours par se faire taper sur les doigts. En y repensant, c'est vraiment drôle! C'est lui et moi qui avons trouvé Pacco et Puppi, nos chiens. Y a pas à dire, c'est un gars vraiment cool. J'aurais bien aimé qu'il soit un sorcier, comme moi.
Hyun Minithya Petit frère
Le p'tit dernier de notre grande famille -en espérant qu'il n'y en ai pas un en route...-! Bon, ça va, pour un petit frère, il est pas aussi chiant que ce qu'à pu me dire Candy, mais quand même. Il m'évite surtout d'être la petite dernière qu'on surprotège. Et ça c'est bien.
Candy Minithya Voisine & cousine
Candy est la meuf la plus génial de l'univers! Sans déconner, si elle était pas là, je serais un homme, à l'heure qu'il est! Elle tente de faire ce qu'elle peut avec mes cheveux et avec mes fringues ( parce que, je suis pas du genre à aller chez Zara, moi). Autant dire que son lisseur à rendu l'âme après avoir affronté vaillamment mes cheveux. Ah, j'vous ai pas dit! Elle m'a obligé à danser -oui... danser- Gnam Gnam style dans une flashmob! Non mais le délire! D'où le fameux "Héééé, sexy lady"...
Cameron Mc Allister Cousin sorcier
On s'est rencontrés à Poudlard par hasard. Je l'ai aidé, je l'ai aimé, on s'est embrassé, son père m'a torturé et à essayé de me tuer. C'est que les relations entre les sorciers prennent une tout autre tournure que les relations entre moldus!
Dernière édition par Rita Minithya le Ven 3 Mai - 22:42, édité 1 fois
Rita Minithya
Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011
Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
Sujet: Re: Rita Minithya -Why so serious? Ven 3 Mai - 22:36
« J'inspirais longuement, toujours sans bouger, me demandant si je lui arrachais les yeux, ou si je commençais par les tripes. Ok Ana, se calmer avant tout. Pas facile avec les rires gras de tous ces abrutis d'alcooliques qui fusaient de partout autour de moi. Le ridicule ne me faisait pas peur, et le rire des autres à mon propos m'importait peu. Mais j'avais sous-estimé cette fille. Et là, elle venait de me déclarer la guerre. » « Insupportable, agaçante, désagréable, épouvantable, imbuvable, inacceptable, infernale, intenable, invivable, odieuse, et j'en passe, et des meilleurs. Ce n'était pas les qualificatifs qui manquaient pour la décrire. » « Et j'avais rencontré une adversaire de taille. »
-Eh bien, tu es nettement plus intéressante quand tu laisses tomber ton masque.
« J'attendais sa réponse avec un mélange d'impatience et de peur. La peur. Il ne me paraissait pas incongru de la ressentir maintenant, pas après avoir été témoin, ou plutôt victime des talents de mon adversaire. Je savais qu'elle pouvait me terrasser, d'un seul sortilège peut-être. Alors avoir peur était normal. Mais qu'est ce qui faisait une telle différence entre nous? J'étais à peu près certaine qu'on avait le même âge, à un an de différence peut-être. L'expérience? Ce n'était pas ce qui me manquait. Peut-être à elle non plus, mais j'étais à peu près certaine que dans ce domaine, je la surpassais. Alors quoi? Elle avait des dispositions naturelles aux sortilèges, des dons pour le combat? C'était une hypothèse. Mais ça ne ferait pas une aussi grande différence. »
-Moi c'est Ana, mais je crois que tu le sais déjà.
« Que faisait Mme la mentor à genoux devant des abrutis de première classe, les bras enroulés autour d'elle même, le regard dans le vague? Pourquoi ne les envoyait-elle pas valser à plusieurs mètres comme elle l'avait fait avec moi pour beaucoup moins que ça? A l'évidence, elle n'allait pas bien. Maintenant que j'y repensais, ça faisait un bon moment que je ne l'avais pas croisé à Poudlard, et j'avais entendu une fille en salle commune dire qu'une Poufsouffle avait été admise à Ste-Mangouste. Mais pas un instant je n'avais pensé à mon mentor -l'appeler comme ça me faisait ricaner en mon for intérieur- tellement elle me paraissait forte et... intouchable. Pourtant, maintenant, ça me semblait évident. Et mieux que ça, encore: j'allais pouvoir lui montrer mes progrès fulgurants. » « Les deux fois où je l'avais vue, elle m'avait parue être quelqu'un de très fière, qui ne se laisserait marcher sur les pieds pour rien au monde. le genre de personne qui veut, certes, toujours avoir le dernier mot, mais qui n'abandonne pas ses principes et ne se laisse pas abattre. Jusqu'à maintenant. Voir qu'elle donnait raison aux rumeurs me foutais les nerfs, parce que cette fille valait bien mieux que d'être traitée de folle. Enfin merde, elle pouvait d'un seul sort balayer tous les crétins qui disaient ça avant qu'ils aient le temps de dégainer leur baguette, alors qu'est ce qu'elle fichais par terre à se laisser frapper par des lâches! Je n'avais pas la moitié de sa puissance, et pourtant je n'avais eu aucun mal à chasser les trois abrutis, à vrai dire le seul fait de m'apercevoir les avait fait partir. Alors qu'elle ne me fasse pas croire qu'ils étaient trop forts pour elle. » « Cette fille si humaine, au visage intelligent et aux yeux rieurs, qui, quelques secondes plutôt, me tenait en respect par la magie, me fixant de ses yeux glacés et tristement inexpressifs. » « Elle avait trouvé mon point faible »
-Je me fiche qu'elle soit morte, criais-je, hors de moi. Je m'en fiche, tu m'entends ! Elle n'a eu que ce qu'elle méritait ! Et maintenant, dégage!
« Ce qui nous liait, Rita et moi, c'était assez subtil, plutôt difficile à qualifier et encore plus à exprimer. Pour ma part, j'aurais pu appeler ça une forte animosité mutuelle qui avait mué en une sorte de respect mutuel et inavouable, du moins jusqu'à notre dernière rencontre. » « Le pire c’est qu’au fond, on devait toutes les deux s’en foutre royalement de ce foutu manège, et donc notre motivation se trouvait dans le seul et unique but de faire chier l’autre. C’est fou ce que la vengeance nous pousserait à faire ! Qui aurait pu croire qu’un jour je me retrouverai dans une situation aussi pathétique, dans une petite guéguerre digne d’enfants de quatre ans avec celle qui m’avait entraînée à me battre ? » « Bon, cela dit, c’était tout à fait hypocrite parce qu’au fond, ça ne m’arrangerait pas du tout qu’elle parte. Poudlard sans une folle à lier serait franchement ennuyeux ! C’est vrai ça, qui est-ce que je trouverais pour m’étrangler après que je l’ai défendu, si Rita n’était plus là ? Il n’y avait pas à dire, ce serait une sacrée perte… J’ironisais, j’ironisais, mais ça m’embêterait franchement de n’avoir plus personne avec qui me battre, plus personne à défier, plus personne comme objectif, plus personne à vanner, plus personne à craindre autant qu’à menacer. Je ne savais pas ce que je ferais de mes journées. Mais si je savais une chose, c’était que Rita était maligne, et s’en sortait toujours. Pas forcément indemne, mais elle s’en sortait. »
-Eh bien tu sais quoi ? Tu as TOUT FAUX ! J’ai embrassé Chuck Carlton, un pur Gryffondor, alors, ça t’en bouche un coin, hein, qui c’est qui a de la fier…
« Certes, ce n’était pas tout à fait ce que l’on appelle « engager une conversation amicale », d’habitude. Mais ce qui nous unissait, Rita et moi, n’était pas habituel ! »
-Alors, qu’est ce que ça fait de voir Nathanël danser avec une autre ?
«Avec le recul, je songeais que Rita et moi, on avait bien grandi, depuis qu'on s'était rencontrées, il y a maintenant bientôt quatre ans. De deux gamines insupportables -j'étais peut-être la pire, mais elle l'était aussi !-, on était passées à deux filles sans histoires -ou presque. De deux malades qui se bagarrent dans un bar, faisant voler couteaux et tables, on était passées à deux "amies" qui se rendent ensemble à Pré-Au-Lard, comme beaucoup d'autres élèves. De deux filles qui ne pouvaient pas se parler deux minutes sans sortir la baguette, on était passées à... deux personnes civilisées qui tenaient une conversation des plus normales. On m'aurait dit que notre relation évoluerait comme ça, quatre ans plus tôt, j'aurais sans doute éclaté de mon rire, de cette façon froide et dénouée de joie que j'avais de rire, à l'époque. J'imagine que je nous voyais continuer à nous battre pour encore des années, que je me voyais continuer à haïr le monde entier pour toute ma vie.» « Et Rita là-dedans ? Je n'en sais rien. C'est un peu triste à dire, d'une personne que l'on connait depuis quatre longues années, mais se dire des confidences de nature "amoureuse" était quelque chose de très récent et de très bizarre pour nous, tout comme se parler comme une personne normale au lieu de prendre la position de combat, alors les états d'âmes et discussions profondes, je crois qu'il faudrait attendre une vingtaine d'années. »
-Ah bon ? Je croyais que ton genre, à toi, c'était les bruns un peu bêtes qui ne répondent pas à tes lettres.
« Ok, d’accord, je l’aimais déjà ! En même temps, ce n’était pas tous les jours qui se trouvaient dans de bonnes dispositions pour faire un mauvais coup avec vous, au lieu de tirer la gueule comme si la malheureuse avait un dragon se tenait devant elle et que si je n’arrêtais pas tout e suite ce que j’étais en train de faire, elle allait prévenir Meryl Kelsey de ce pas ! » « Au moins là-dessus, on avait les mêmes valeurs"
-Alors je te laisse imaginer la surprise de la prochaine personne qui utilisera ce tuba,je tapotai l’instrument, et sorti de ma poche quelques pétards mouillés du Docteur Flibuste. Plus question de se défiler ! Chiche ?
« On dit toujours que les grands esprits se rencontrent. Et bien ce n’était peut-être pas totalement faux, je demandais à voir la suite, afin de jauger l’adversaire (le partenaire ?) pour me faire une idée. Mais je traînais un peu plus souvent avec Rita qu’auparavant depuis cette histoire dans la salle de musique où elle avait débarqué comme qui dirait à point nommé pendant que j’étais en train de faire mes petites affaires ; on embête jamais quelqu’un lorsqu’il est en train de faire ses petites affaires.» « En fait, ce qu’il y avait de bien avec Rita, c’était qu’elle n’avait rien d’une fille. Enfin, si, c’en était une, pas de doutes sur la marchandise, mais elle se comportait pas comme toutes les autres qui avaient des paillettes dans les yeux et qui pensaient mourir de suffocation si elles n’avaient pas de cavalier pour le bal. Rita, elle portait une robe, mais elle allait fouiner dans la réserve pendant que les autres dansaient. »
- Tu vas m’accorder une danse pour t’avoir couvert !Avoue que tu en rêves !
« Et ben oui, dans tous les domaines Rita était la meilleure donc, c’était normal que ce soit ma meilleure pote aussi ! Même si c’était la première fois que je le disais à haute voix et que du coup je le réalisais, c’était tellement évident en même temps, que c’était normal qu’on en ait pas parlé avant. Et surtout sa réponse déterminerait tout : si c’était réciproque ou pas. »
- Ou alors… Est-ce que t’es prête à faire le serment inviolable ? T’as pas peur toi, les meilleurs potes ont pas peur de faire ce genre de choses !
« J’eus un frisson sur toute la peau. Rita n’avait pas de chance, ça non. Son enfance n’avait probablement pas dû être simple. Sa mère l’avait-elle bien traitée ou au contraire haïs pour porter en elle la magie que elle ne pouvait pas posséder ? Quand bien même ses parents s’étaient bien occupés elle, il restait encore les autres. Ici, ne pas venir qu’une famille de sang pur n’était pas toujours bien vu par certains crétins. » « Délicatement, je posais sa tête sur mes genoux, et remontai une couverture qui se trouvait sur le bord du canapé. Je passais ma main dans ses cheveux durant plusieurs minutes, comme on berce un enfant.[…] Mais à présent, je me sentais dans le même bâteau que Rita et il n’y avait pas moyen que je la laisse couler toute seule. »
-Ne dis pas que tu veux mourir. Il y a toujours une solution.
« Je me souvenais des petits détails qui faisaient qu’au fond, j’adorais cette fille. Parce que sous la couche de douleur, de peur, sous la fragilité que les récentes menaces lui avaient procurée, je voyais un petit papillon meurtri. Je savais qu’elle pouvait encore rire et elle le devait, oui elle le devait parce que je refusais qu’elle se laisse aller. » « Je me sentais sourire presque bêtement, ému de sa douceur, de son sens de l’amitié. J’admirais les Poufsouffles pour cela, pour cette loyauté à toute épreuve. Même dans les moments les plus noirs, Rita trouvait le temps de penser à moi et de m’assurer qu’elle serait là. Je ne répondis rien parce que je ne savais pas comment réagir à une déclaration qui me touchait bien plus que je ne voulais l’admettre. Au fond, la jeune fille était une véritable amie et j’étais consciente que je pourrais me tourner vers elle si cela était nécessaire. »
- Je vais mieux. Tu vois, on peut se relever Rita. Même du pire…Tu devrais dormir. Je serais là à ton réveil, je reste jusqu’à ce soir.
« Un bruit me fit sursauter et je constatai qu’une jeune fille au visage familier venait de pénétrer dans la pièce. Vu l’état où j’étais, je crois que j’aurais préféré mille fois une inconnue. Pour ne pas paraitre faible… Et surtout pas devant elle. »
- Je… J’ai déjà été sale une fois. Mais pas comme ça, pas physiquement. Vraiment sale. Et c’est pas juste que ça soit le bordel, je voulais pas ça moi, je voulais juste que ça aille… Que pour une fois ça aille vraiment…
... Décidément. Ça faisait beaucoup en peu de temps, mais d'accord, je partageais son entrain irrésistible - il fallait bien reconnaître que sa gaieté était communicative, quoi qu'il arrive. Reconnaissant, je souris à Rita, d'un sourire enfin des plus naturels, parce que sans le dire je la remerciais de ne pas faire effectivement ce genre de remarque des meilleures amies, que je comprenais, mais qui étaient toujours un peu délicates quand on était le petit ami en question et que l'on avait rien demandé à personne.
Finalement, ce n'était pas si éprouvant que ça, et c'était même plutôt sympathique - quoi qu'exubérante, ce à quoi je n'étais pas habitué, Rita m'était vraiment agréable, et j'avais envie de la connaître un peu mieux, encore plus si elle était une amie de Ruby.
Sauf qu’avant de m’exécuter, j’avais repérée un peu plus tôt une élève qui aurait bien besoin de mon aide. Cheveux bruns épais relativement désordonnés, un sourire mesquin collé aux lèvres et le centre d’attention de la classe entière, ainsi que récente Miss Poufsouffle : Rita Minithya. J’avais observé durant une bonne partie du cours, assez perplexe, les trois quarts des élèves lui tourner autour et l’applaudir lorsqu’elle réalisait un sortilège. Je ne comprenais pas. Elle était populaire, ça, il n’y avait aucun doute à avoir, mais pour le reste ? Ses sorts n’étaient même pas si impressionnants ; elle les réalisait avec force et puissance, c’était certain, mais elle était si sûre qu’elle qu’au final, ils en étaient bâclés. Comme si elle n’allait pas au bout à chaque fois, se contentant de les faire à moitié. Alors c’est avec de plus en plus de sceptisme, et peut-être même une touche d’amertume naissante que j’avais constitué ma véritable opinion sur Miss Poufsouffle. Je trouvais tellement injuste qu’elle se fasse applaudir pour quelques Accio et Confringo alors que j’avais toujours eu le meilleur niveau de ma classe et jamais un compliment… -Mlle Minithya,commençais-je, mettant volontairement de la distance entre nous –il ne manquerait plus qu’elle me parle comme à ses potes, tient. J’ai cru remarquer que vous n’arriviez pas à réaliser le sortilège du Patronus, contrairement à pas mal de vos camarades.
**** Je relève les yeux vers la Poufsouffle avec une difficulté immense, comme si toute la lassitude du monde pesait sur mes paupières. Quoi, maintenant ? Elle avait encore quelque chose de prévu pour moi ? Me faire glisser sur une peau de banane devant tout le monde, me faire dévaler les escaliers sur les fesses ? Tout ça m'était presque égal tant j'avais reçu d'humiliation aujourd'hui - une de plus, une de moins... J'avais même affronté la Grande Salle à l'heure de manger, tout en ayant conscience que quatre tables d'élèves rigolaient et me regardaient fréquemment. Alors quoi qu'elle ait prévu, ça n'était rien que je ne puisse pas supporter.
Je la fixais, les yeux vides à cause de l'épuisement que cette journée m'avait procuré. J'étais à bout, complètement à bout, et elle, on ne peut plus en forme. -Et si je vous dis que vous n'avez pas de talent, vous allez faire quoi ??!! Me faire brûler pour avoir oser vexer Sa Majesté ????!! MAIS GRANDISSEZ UN PEU !
****
Je la dévisageais, toujours aussi perplexe, mais force m’étais d’admettre que jusque là, je ne décelais aucun coup caché et qu’elle semblait sincère. J’étais partagé entre la méfiance que ses excuses m’inspiraient et mon côté optimiste qui m’incitait à penser que tout le monde pouvait réaliser ses erreurs et tenter de les réparer. Bon, étant donné que pour l’instant, je n’avais aucune preuve qu’il s’agisse d’une blague, je ne pouvais décemment pas refuser ses excuses ; je devais agir en adulte, et les adultes pardonnent lorsqu’on reconnait ses fautes. Seulement, je devais quand même rester méfiant car il s’agissait après tout de Rita Minithya et… et on ne change pas une équipe qui gagne, hein.
Mais qu’est ce que l’on est censé répondre à ça ?! Je n’avais pas du tout était préparé à recevoir une Rita Minithya sincère et qui reconnait ses torts, à vrai dire je n’avais même pas soupçonné l’existence d’une telle Rita Minithya. Mais je tâchais de rester le plus neutre possible et de garder une part d’objectivité, de recul ; je m’étais bien fait duper par le passé par de la fausse gentillesse et c’est comme ça que j’avais fini la tête violette alors…
Je connaissais son goût pour les explosions et j'étais sûr que mon cadeau lui plairait. Avec, j'avais joins un CD de musique, le meilleur que j'avais trouvé ce mois-ci, et je crois que le tout plu à Rita car elle me remercia chaleureusement, manquant de renverser ma bierraubeurre sur ma chemise d'ailleurs. Mais ça m'était égal, je riais déjà et quelques minutes plus tard, j'étais déjà absorbé par une conversation avec Ana, parfois interrompu par quelques rires et interventions des autres – nous nous mêlions joyeusement les uns aux autres, et j'espérais que Rita s'amuse bien!
Je m'approche d'elle, féline ne la quittant pas des yeux. Tandis que j'essaie de me calmer, la rage continue de grimper en moi d'une puissance inévitable. Je lui lance un sourire, qui a tout d’hypocrite ce qui ne me ressemble en rien. J'ai l'impression que pour ça, je tiens de ma mère et que j'ai bien du sang de vipère dans les veines. Je m'approche d'elle à une distance tout ce qu'il y a de raisonnable car j'essaie de me convaincre moi même de ne pas lui sauter à la gorge et de lui mettre le nez dans le terreau. Je passe ma main droite dans mes cheveux et les attache en queue de cheval, en vérité j'essaie juste de gagner du temps afin de réfléchir à la façon de lui faire mal sans passer pour la sorcière à mettre sur le bûcher. - Voilà, il ce trouve que j'ai un léger problème que j'aimerais éclaircir avec toi de manière calme et civilisée. Comment dire, je suis au courant que tu as eu un truc avec Archibald pendant que j'étais malade. Et autant être directe, j'ai une folle envie de te gifler pour ce que tu as fait. Honnêtement et là je fais preuve d'un self-control admirable.
"Oh.My.God. Cette fille allait lui plaire, elle avait un sens de la réparti plutôt comique et très intéressant, c'était rare de nos jours ce qui était une raison suffisante pour que la jeune fille continue la conversation. ChaeRin ne pu s'empêpecher de laisser échapper un petit rire."
"Quand elle eut finis de prononcer ces quelques mots, un flot de sentiments se déversèrent en moi j’étais en rage, comment osait-elle ? De plus la fatigue m’empêchait de réfléchir normalement, la faim me nouait le ventre et cette fille m’exécrait"
Amie d'une après-midi
Daphne Kasperek
Avant l'heure c'est pas l'heure, après l'heure c'est plus l'heure "Après tout, si on allait toutes les deux au même endroit, autant qu'on emprunte le même chemin... et puis pour une fois qu'une compagnie ne m'était pas complètement désagréable, ça ne faisait pas de mal..."
Amie d'enfance
Traice Swily
People help the people "Tiens tiens, comme un air de déjà-vu. Heureusement ce n'était pas Ruby suspendu aux bras de Jay. Face à moi se tenait une jeune fille aussi bridée que moi, que j'avais déjà croisé dans les couloirs. Elle me disait vaguement quelque chose, mais je mettais ça sur le compte de nos origines ethniques."
Compagnon de Quidditch
Jay Blackwood
Croisons les doigts et gardons espoir "J’avais rencontré la jeune coréenne à un entraînement de Quidditch, comme moi, elle faisait partie d’une équipe. Autre que la mienne. On s’était plusieurs fois retrouvés à deux sur le terrain, et on avait quelque peu fait connaissance. C’était une fille sympa, et on s’entendait bien. Et puis avouons le, c’est toujours mieux de se lancer des balles à deux que de se retrouver tout seul à voler sur un balai miteux, essayant tant bien que mal que de s’envoyer une balle à soi-même. Je vous l’accorde, mission presque impossible."
Dernière édition par Rita Minithya le Mer 29 Jan - 8:30, édité 11 fois
Rita Minithya
Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1079 Localisation : Je sais où toi, tu es, coquin. Date d'inscription : 10/09/2011
Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
Sujet: Re: Rita Minithya -Why so serious? Sam 11 Mai - 19:09
Every boyfriend is the one... I broke a million hearts just for fun...
Nathanael Oryon -ex petit ami "Trying hard not to hear but they talk so loud Their piercing sounds fill my ears try to fill me with doubt Yet I know that their goal is to keep me from falling But nothing’s greater than the risk that comes with your embrace And in this world of loneliness I see your face Yet everyone around me thinks that I’m going crazy Maybe maybe"
"Ohhh the reason I hold on Ohhh cause I need this hole gone Funny you're the broken one but i'm the only one who needed saving Cause when you never see the lights it's hard to know which one of us is caving"
"In too deep, can't think about giving it up But I never knew love would feel like a heart attack It's killing me Swear I never cried so much Cause I never knew love would hurt this fuckin bad The worst pain that I ever had"
"‘Cos lately I’ve been craving more And it’s been a while but I still feel the same Maybe I should let you go You know I’ll fight my corner And that tonight I’ll call ya After my blood is drowning in alcohol No I just wanna hold ya" "Give me love..."
“Ulrich se rapprocha de la fenêtre sans la quitter des yeux. En dehors du fait qu’elle avait les yeux qui avaient dû tripler de volume elle avait un visage plutôt… doux. C’était donc agréable de la regarder. Et puis comme elle n’était pas dans cet état de mi- surexciter qu’il lui parle mi- craintive de ce qu’il pourrait lui dire, c’était aussi plutôt… chouette de lui parler. »
-T’as rien trouvé de plus « dingue » que de sortir sous la pluie ?
"Elle avait vraiment de beaux yeux bruns. Elle était tellement différente d’Annalisa. Brune aux yeux bruns et sa peau n’était pas d’une pâleur extrême comme pouvait l’être celle de sa camarade. Quand bien même elle était l’opposé de celle que je cherchais difficilement à oublier, si j’avais l’occasion de la recroiser un de ces jours, je ne me priverais pas pour la séduire et cette bousculade était la première phase de mon plan de séduction. Définitivement cette Rita Minithya avait tout pour me plaire. "
-Tu retournes dans ta salle commune ? Je peux te raccompagner si tu veux ?
"D'ailleurs, maintenant que le Serdaigle regardait plus en long et en large la jeune Rita, il se rendit compte qu'en effet, la Poufsouffle et son corps de sirène semblaient tout de même résistants et préparés à affronter les pires équipes du championnat de Quidditch de Poudlard. Cela plu au jeune homme, qui voyait en elle un gros potentiel en tant que remplaçante de Makie Sasaki, elle-même très bonne poursuiveuse et très jolie fille. Remplacer complètement leur ancienne capitaine semblait impossible, mais couver son poste et l'assurer au maximum, cela pouvait être viable avec une élève comme Rita Minithya."
"Miss Poufsouffle, ma maison préférée. Les filles, là-bas, étaient comme de grandes bouffées d'oxygène ! Et Rita… Hmmm, elle était encore mieux que Megane qui, de son côté, était déjà casée ! Jeune, jolie, toujours pleine d'entrain et fréquemment séparée de son Jules, elle était de loin ma Miss favorite ! Ouuuh, quel dommage que les élections soient terminées ! J'aurais envoyé un sms en sa faveur sans aucune hésitation ! "
-Je peux avoir un autographe ?
Just a kiss, babe... Your heart is in my Jar.
Rita Minithya
Élève de 6ème année
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Feuille de personnage Particularités: Oh, il suffit d'une petite étincelle pour que ça fasse BOUM! Ca vous donne une idée? Ami(e)s: Oh, j'en ai des tttassss! Heureusement, j'en ai aussi des vrais. Âme soeur: La pyrotechnie. Entre elle et moi, c'est la passion folle. On s'embrase, on s'enflamme et on se fout en l'air!
Sujet: Re: Rita Minithya -Why so serious? Mar 20 Aoû - 21:57
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