| | [Sondage] Lunastasia VS Nicolaï | |
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Aure Strangle Elève de 5ème année & Préfète
Nombre de messages : 983 Localisation : Univers>Voie lactée>Système solaire>Terre>Europe>Grande Bretagne>Ecosse>Poudlard>Dortoirs des Pouffy' Date d'inscription : 31/05/2011 Feuille de personnage Particularités: Que veux-tu qu'une gamine de quatorze ans ai comme particularité ? Ami(e)s: Alex Turner, loup garou de son état. Hannah. J'ai deux amis :D Âme soeur: Obelix
| Sujet: [Sondage] Lunastasia VS Nicolaï Mar 9 Oct - 16:11 | |
| - Spoiler:
- Le thème de la rédaction :La vie de Jean-Jacques - Les consignes particulières : Jean-Jacques est un moldu qui va se trouver propulser par un intermédiaire au centre du monde magique de Londres : Le chemin de traverse. - Le nombre maximum de ligne : 1 pages word mini pas de maxi - Le style : prose - Les contraintes : Bon, je pense qu'en vous donnant un thème où il y a le nom Jean-Jacques vous pouvez comprendre qu'il faut une consonnance drôle :D Sinon aucune laisser votre imagination travailler ! - Autre : Rien
Vous avez jusqu'au 10 Octobre pour me les envoyer !
Et sinon bravo les Pouffys!!!
Bravo encore à vous deux ! Voila les créations : Création n°1 : - Spoiler:
Il y a peu de temps mon patron, commissaire en chef du petit poste de police de Guemasque ou juste trois personnes travaille, m’avais envoyé résoudre une affaire particulière, une affaire de client qui souscrivais une nuit dans l’hôtel du village, mais qui disparaissait durant la nuit, malgré qu’on les ais suivit ou mit suffisamment de caméra pour rivaliser en sécurité avec la maison blanche personne n’avais encore compris ce qui c’était passé.
Le plus bizarre, étais que l’on retrouvait ses personnes au quatre coin du monde dans la journée qui suivait. Le commissaire m’avait donné crédit illimité. (C’est à dire grosso modo 200€, oui on à de petit moyen, mais il aime bien faire ‘comme les pros’…) Pour moi le meilleur moyen de savoir se qui se passais étais de passer quelque nuits dans l’hôtel. Je connaissais bien le proprio, il accepta pour les besoin de l’enquête que je dorme gratuitement.
Trois jours plus tard il n’y avait toujours rien de nouveau, quand je fus réveillé par un chuchotement et un parquet qui grince, sans réfléchir plus que nécessaire je me lever et j’ai ouvert la porte du couloir pour voir trois manteau gris avancer vers la grande salle, un cul-de-sac qui ne possédait que un canapé et une cheminé. Les trois capuches rentrèrent dans la salle, pourtant normalement verrouiller, je m’avançais donc vers la salle lorsque je vis un grand éclair vert sortir de sous la porte, suivit peu de temps après d’un deuxième, ni une ni deux je m’élançais vers la porte, je me pris le pied dans le tapis juste devant la porte et je m’écrasais sur la porte verrouiller, l’éclatant au passage, (au même titre que mon pauvre menton) au moment ou un type avec l’une des capuches jetais de la poudre sur ces pieds en criant ‘chemin de traverse’, j’ai juste eu le temps de voir son air surpris qu’il disparaissait dans un nuage de fumée accompagné d’un éclair vert.
Je venais de comprendre comment tout ce monde disparaissait, mais je voulais en avoir le cœur net avant d’aller rendre mon rapport au commissaire, je voyais déjà le commissaire me dire si le rapport était incomplet car j’avais eu la trouille de tester cette poudre :
-Alors Jean-Jacques on formule des hypothèses et on ne les vérifie pas ? Bon bas maintenant que je suis au courant tu va aller essayer cette poudre, tacher se qui te sert de chaussure et juste après un bon petit moi à la circulation devrais te passer l’envi de recommencer.
Brrr, j’en frissonnais rien qu’à l’idée de passer un moi planter au milieu du rond point de la ville pour faire circuler les deux voiture quotidienne qui passe, et avec le commissariat et sa baie vitré juste en face impossible de prendre des pauses… Je me mis donc dans la cheminer et prenais un peu de suie grise dans un petit récipient et j’y lâcher sur mes chaussures, pardon mes pieds nus (dans ma précipitation j’étais sorti de ma chambre en pyjama). J’attendis une minutes puis deux, à la troisième je me dis que j’avais foiré un truc, je criai donc ‘chemin de traverse’, durant trente seconde il ne se passa rien, avant de tester de crier ce lieu en même temps que je lâchais la poudre, le résulta ne se fit pas attendre par contre.
Un gigantesque éclair vert illumina toute la pièce, pendant que je sentais comme si on était en train de me tirer vers le bas, bizarrement tout sa ne dura qu’une seconde comme en témoignât ma montre, mais j’avais l’impression d’avoir passé une heure avec cette sensation désagréable. Après avoir faillit rendre mon diner, je levais les yeux pour m’apercevoir que j’étais dehors en pleine nuit, pas étonnant que j’ai si froid… Je remarquais tout de suite plein de personne passé devant moi avec les espèces de grande capuche que j’avais vue, alors que je m’apprêtais à questionner un groupe pour leur demander ou j’étais, j’entendis tout de suite qu’il parlais anglais, et après quelque seconde je remarquai que toute la rue parlais anglais, quel chance pour moi qui n’ai jamais réussit à dépasser le niveau oral en anglais d’une quiche lorraine (et si vous avez déjà entendu une quiche lorraine parler anglais vous comprendrez se que je veut dire)…
Peu de temps après je remarquais que les échoppes était bizarre, entre les échoppes où était aligner plein de chaudron et de fiole fumante et les animaleries vantant les mérites du grand duc sans oublier les boutiques proposant divers objets dont de drôle de tête réduite discutant entre elles. Le faite qu’elle soit ouverte de nuit ne m’étonna même pas, alors que je me retournais pour voir l’autre coté de la rue, je vis tout de suite un monstre : un homme de 2m50 avec une énorme barbe broussailleuse, de long cheveu noir et un manteau qui semblai provenir d’une bête tuer récemment, je me mis tout de suite à hurler :
UN OGRE !!
Tout le monde me regarda évidement, je me mit donc à reculer, évidement avec ma poisse naturel et ma maladresse légendaire je butais contre le trottoir, je me tapais la tête contre un établi et je me retrouvais allonger sur le dos. Je n’avais pas eu le temps de faire quoi que se soit que je senti un gout bizarre dans ma bouche, aussi qu’une envie monstrueuse de mouche ou de n’importe quel autre insecte volant. Se fut le dernier souvenir que j’ai eu. Je me suis réveiller dans un marais avec mes habits imbibé de boue et avec trois mouche dans la bouche, après un rapide cout d’œil à ma montre je vis tout de suite, du moins après l’avoir nettoyé, que j’avais dépassé halloween, se qui m’étonna franchement vus que je me souviens très bien que hier c’était le 26 octobre.
Après avoir déambulé durant deux heures dans ce marais et ses environs j’arrivai dans une ville d’où je pus contacter mon patron. Trois jour plus tard j’étais devant lui, et lui fit mon rapport, comme vous vous en douterez il ne cru pas mon rapport, surtout le passage avec l’ogre et mon black out qui suivit. Le chef doutait fortement de ma santé mentale et je dus démissionner.
Maintenant je travail dans la poste de ma petite ville, le plus bizarre c’est que depuis que je suis là, beaucoup de lettre disparaissent, bizarrement la plupart des noms concordes avec les personnes qui disparaissent de l’hôtel, d’ailleurs la cheminer à complètement disparut car le commissaire à quand même voulu vérifier, et il m’arrive aussi souvent de marcher dans du guano de Strigidés. Bon là je dois vous laisser il y a une friandise qui viens d’arriver dans mon local et de se poser sur le papier tue mouche, plus qu’à aller la cueillir.
Création n°2 : - Spoiler:
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Londres. Ville excentrique et glamour, entre mémoire et modernité. Cité dépassant trente fois Paris par sa taille, destination de vacances très prisée par les Français accros au shoping, mais aussi centre incontournable du business mondial.
Jean Jacques Dupont n'était ni un touriste, ni un autochtone, et pour lui, la grande métropole avait depuis longtemps perdu tout son charme. Il faut dire qu'il n'en fréquentait qu'une partie : le quartier des affaires. Un Master Commerce immobilier en poche, une famille et un peu d'embonpoint : voilà comment pouvait se résumer la vie de cet homme qui pourtant aimait à se définir comme étant "Occupé...oui, très occupé". Londres ? Il l'avait visitée bien plus d'une cinquantaine de fois en quête de ces vieux squats qu'"ils" ne demandaient qu'à détruire, d'un appartement à vendre, bref, de bonnes affaires. Et franchement, des bords de la Tamise aux pointes des aiguilles de cette horloge démesurément grande, Londres lui avait depuis toujours laissé un arrière goût de lassitude amère dans la bouche.
Jean-Jacques était quelqu'un d'ordonné. Il aimait que tout reste "dans l'ordre des choses" : l'exubérance de cette lumineuse "City" lui allait très peu, et il s'efforçait toujours de n'y rester que le temps qu'il fallait, et de surtout, surtout... de demeurer dans les quartiers "fréquentables". Fréquentables, cela voulait dire, soit la banlieue riche, soit le centre des affaires. Évitons toutes ces ruelles malfamées et ces quartiers presque exotiques pour lui, où rodaient tous ces punks, racailles et autres affreux dont "l'homme respectable" ne voulait même pas entendre parler.
Et pourtant. Que faisait-il là, au fond de cette ruelle sombre bien trop éloignée du centre-ville, et qui plus est bien après minuit ? Un écart à ses principes de "straight businessman" ? Non, ce n'était pas le genre de "Monsieur" Jean-Jacques. La vérité, c'est que chargé du repérage d'une vieille bâtisse à revendre au prix fort, le Parisien avait dû tirer une croix sur ses principes et s'engager, yeux fermés, dans la ruelle malfamée.
Était-ce une raison pour se perdre ? Fichu sens de l'orientation. Il lui faisait encore défaut... ou pas. Égayé par un (ou deux) verres de trop, "imposés" par les autres cravateux ayant partagé son dîner d'affaire (Jean-Jacques ne s'était, certes, pas trop laissé prier), il avançait d'un pas ferme... dans la mauvaise direction.
Ou du moins, il essayait. Quelles étaient ces quatre formes, qui venaient de lui barrer le chemin ? Jean-Jacques leva des yeux endormis pour essayer d'identifier l'obstacle. "L'obstacle" ne lui en laissa pas le temps : le businessman reçut un choc assez rude à la mâchoire et recula, brusquement réveillé et plutôt paniqué. Il cherche à assurer sa retraite en tâtant d'une main hésitante le vide derrière lui, tout en esquissant quelques pas en arrière. Sa main rencontra quelque chose de dur et de râpeux. Il était dos à...un mur.
Une voix avait retenti. On lui avait demandé quelque chose. Quoi ? Peut être de l'argent. Il avait bien dit que ce quartier n'était pas fréquentable, pourquoi son boss avait-il eu la cruauté de l'envoyer là quand même ?
Comme il ne réagissait pas, un autre coup partit. Chose incroyable, le Parisien l'évita. Son auteur étouffa un cri. Taper de toutes ses forces dans un mur, c'est ridicule et surtout, ça fait mal. Mais le mur avait réagit de façon plutôt inhabituelle : sous la pression du poing, la pierre avait reculé, en fait elle semblait presque décelée. Un vieux mur ? Jean-Jacques n'eut pas le temps de réfléchir à la perte de valeur que cela eut put occasionner à la propriété en cas de revente, car déjà plusieurs coups pleuvaient sur lui. Sa tête heurta douloureusement le mur. Mais là encore, la pierre recula. Sans se déceler. Très "strange", se dit Jean-Jacques en mélangeant sous le coup de la panique son Français à son "Anglais-maîtrise complète" (c'était marqué sur son CV).
Il y a un dieu pour les businessman (bien que Jean-Jacques soit complètement athée). Les agresseurs de celui ci le manquèrent encore plusieurs fois, enfonçant d'autres pierres du mur.
CRAAAAAC.
Enfin non. Pas exactement. Plutôt un bruit de glissement de pierre, façon Big-Ben-se-déplace.
Là. Dans le mur. Il y avait... un trou.
Étonné, le Jean-Jacques ? Même pas. Pas le temps. Trop content de ne plus être dans une impasse, il s'engouffra dans cette porte nouvellement créée.
Une ambiance enfumée, des bruits de verres et de raclements de chaises... c'était tout ce que pouvait percevoir Jean-Jacques dans son étourdissement. Était il dans un de ces vieux pubs anglais que, il devait bien l'avouer, il affectionnait particulièrement ? Le décor boisé qu'il pouvait discerner semblait confirmer cette hypothèse. Le businessman s'approcha lentement du comptoir, se demandant comment cette porte avait pu lui apparaître comme ça.
- Une bière au beurre ?
Hein ? S'adressait-on à lui ? Que voulait-on ? Dans sa torpeur, il avait cru reconnaître le mot bière. Il ne put s'empêcher d'être tenté. Après tout, il fallait bien se remettre de ses émotions.
- Er... well, why not ? répondit Jean-Jacques de façon hésitante, retrouvant au dernier moment ses notions d'anglais tout en menant une bataille intérieure contre sa conscience qui l'accusait d'avoir déjà bien trop bu au repas d'affaire. - Une bière, reprit-il, l'envie ayant vaincu l'hésitation. -... au beurre, compléta le barman, un homme assez grand, tout de noir vêtu. Comme la totalité de ses clients, remarqua avec étonnement le Français. Mais la principale source de cette surprise ne résidait pas là. -Q...quoi ? What ? Au... beurre ?
Encore une de ces lubies anglaises. Il n'eut pas le temps de protester assez vivement contre la teneur de la boisson locale, on en poussait déjà une grande chope devant lui. Sceptique, il y trempa les lèvres et les retira d'un seul coup. Le breuvage était... sucré ! Une bière sucrée ! Quelle infamie ! Éréthisme ! se garda bien de crier Jean-Jacques. Il poussa quelques pièces devant lui sur le comptoir et sortit précipitamment sans finir sa bière "au beurre" (quel scandale !).
Mais d'autres surprises l'attendaient dehors. La ruelle piétonne qui s'ouvrait à ses pas lui était totalement inconnue. Mais le plus bizarre restaient les passants. Ils étaient déjà étonnamment nombreux pour une heure si tardive, mais en plus tous habillés de noirs. "Je suis tombé chez des gothiques", songea le peu-tolérant bonhomme. Il alla néanmoins de l'avant, le regard rivé sur ses chaussures, en essayant d'ignorer les regards curieux des autres passants. "Ils n'ont jamais vu un français...? A moins qu'ils aient un problème avec les gens plus respectables qu'eux", conclut Jean-Jacques en pressant le pas. Pour couronner le tout, une pluie drue se mit à tomber. Il rentra précipitamment dans le premier commerce étant à sa portée, ne s'étonnant même pas du fait que les magasins soient ouverts à deux heures du matin dans cette étrange ruelle.
Une fois au sec, une odeur pestilentielle l'assaillit. Il se crut retourner en enfance, obligé de suivre sa grand mère dans son affreux poulailler recouvert de fiente et empli de caquètements de volatiles qu'on croirait génétiquement modifiés tant leur crête leur donnait une allure étrange. Mais en levant les yeux, il se rendit compte que ce poulailler-là ressemblait plutôt à des rangées de clapiers en hauteur. Mais faute de lapins, leurs occupants étaient un mélange tout à fait hétéroclite de chats, de chouettes, de rats (le Parisien fit la grimace), de serpents (il frissonna) et de... CRAPEAUX ? Jean-Jacques sentit une peur sauvage et irraisonnée lui monter du fond de la poitrine. Depuis tout petit, il avait la phobie de ces horribles animaux. Il laissa échapper un couinement lui ôtant tout le sérieux qui lui était dû, rapidement suivi d'un juron qui aurait fait blanchir le plus immaculé des hiboux de la volière, et recula lentement comme s'il avait peur que le crapeau (où peut être était-ce une grenouille ?) lui saute brusquement à la figure. Les rires du jeune garçon qui le regardait, moqueur (et à juste titre) ne lui parvinrent qu'à peine, en revanche, il entendit clairement l'exclamation qu'il proféra à ce moment :
-AMPLIFICATUM !
Jean-Jaques avait beau avoir plus d'une fois déclaré d'un ton fier et sûr de lui : "Je ne crois qu'en ce que je vois.", était-ce une raison pour qu'il daigne imaginer que ce qui se passa à ce moment là put être d'une quelconque réalité ? Non. Quand le crapeau (la grenouille ?) tripla plusieurs fois de volume sous ses yeux effarés, jusqu'à atteindre la taille d'un petit mouton, Jean-Jacques faillit mourir de terreur, mais ne put s'empêcher de se faire cette réflexion :
"Je savais bien que j'avais accepté un verre de trop, ce soir...". Ce qui ne l'empêcha pas de bégayer :
- L...le cr...c...cra...cra...peau...!
Les rires du jeune homme qui regardait la scène redoublèrent, si bien qu'il dut s'y reprendre à deux fois pour ranger une sorte de brindille sombre dans sa poche. Jean-Jacques sembla se ressaisir d'un seul coup, fit volte face à partit en courant plus vite qu'il ne l'avait jamais fait. Il eut quand même le temps de saisir les derniers mots du jeune qui s'était bien moqué de lui :
- Et au fait, c'était une grenouille !
Et revoilà Jean-Jacques dans la rue. Il grimaça en sentant les premières gouttes ruisseler le long de ses joues, mais en repensant à l'énorme crap... euh, grenouille, il eut vite fait de décider qu'il préférait mouiller son nouveau costume. Il eut cependant mieux fait de regarder devant lui, car il percuta brusquement quelque chose... ou quelqu'un.
- Eh, c'est lui ! C'est lui qui m'a payé en fausse monnaie !
Le Parisien releva péniblement le regard pour manquer de défaillir à nouveau : il était encerclé d'hommes et de femmes tout en noir. Il reconnut, en face de lui, le pointant du doigt... le barman, qui déplia son autre main, dans laquelle étaient cachées les quelques livres (ah ces anglais, ils n'avaient toujours pas adopté l'euro) déboursées par Jean-Jacques pour cette immonde "bière au beurre".
- Je... quoi ? Moi ? Ah mais non, Môsieur. Je suis quelqu'un d'honnête, moi, Môsieur, j'ai payé ! s'écria-t-il vivement, oubliant pour un moment cette histoire de grenouille, rattrapé par son "incroyable" sens de la justice... et par un langage cru qui ne lui était pas familier. - En fausse monnaie, Sir ! rétorqua le barman. - Wait a minute... interrompit une voix. Le jeune garçon de l'étrange animalerie, celui qui s'était bien moqué de notre Français, s'empara des quelques pièces et fit mine de les examiner. Puis il sourit. - C'est bien ce qui me semblait. Messieurs, cet homme a payé en monnaie Moldue !
Des murmures se firent entendre dans l'attroupement, et Jean-Jacques, ne comprenant plus grand chose à ce qui se passait, se sentit de plus en plus embarrassé.
- Si vous me le permettez, je vais vous échanger ces pièces, pour ma boutique de Farces et Attrapes... les touristes en raffolent.
La transaction se fit en silence tandis que le pauvre Moldu se demandait dans quel quartier excentrique il était encore tombé. Son inquiétude grandissait en même temps qu'il saisissait des brides de conversations. On parlait "d'effacer la mémoire" à quelqu'un, de "Moldu" (la race de cette grenouille géante ?), et d'autres choses que Jean-Jacques ne saisissait pas. Il profita de cette agitation pour s’éclipser discrètement...
Personne ne sait comment le Moldu réussit à repasser par là où il était entré. Probablement en profitant du passage d'un sorcier. Toujours est-il que la sécurité fut renforcée dans le Chaudron Baveur. Quant à ce mystérieux "Passager Moldu", comme les anciens du Pub aiment à l'appeler, certains racontent qu'il a adopté définitivement la toge noire du sorcier pour monter une organisation moldue sectaire prônant l'existence de la magie (mais heureusement, sans crédibilité auprès du Moldu "standard"). D'autres prétendent qu'il fut retrouvé au fond d'une ruelle de Londres, marmonnant des propos inintelligibles à propos d'une "grenouille se faisant aussi grosse qu'un boeuf", et rapidement emmené par d'autres Moldus tout de blanc vêtus... Quant aux derniers, ils concluront leur récit par un haussement d'épaules. La plupart des Moldus ne croient même pas ce qu'ils voient de leurs propres yeux. Notre Jean-Jacques était de ceux-là. Il aurait passé la nuit dans une chambre d'hôtel miteuse avant de reprendre une vie normale. Une vie de Moldue.
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Vous avez jusqu'au 16 Octobre pour voter pour votre texte préféré ! |
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Annalisa de Bertolis Élève de 6ème année
Nombre de messages : 875 Localisation : Quelque part vers le truc de la chose à machin chouette. Classieux n'est-ce pas?. Date d'inscription : 26/05/2011 Feuille de personnage Particularités: J'ai une tête à avoir des particularités sérieux? Toi t'as la particularité de m'en poser d'ces questions à la mort moins le noeud... Bon euh poufsoufflienne et proud to be. Euh, quatrième année, sortant avec un serpentard, euh euh... Demie sœur de la préfète de Serdaigle mais c'est secret donc tu la fermes ou je te fais avaler mon violon. Fais gaffe, ça doit pas être très bon. Ami(e)s: Oui j'ai plein d'amis, j'vous assure! Du genre Chuck Carlton, Ruby, Anthéa, tu vois métissage des maisons eh ouais! Âme soeur: Lui et seulement lui, j'le crierai au monde entier.
| Sujet: Re: [Sondage] Lunastasia VS Nicolaï Mar 9 Oct - 16:23 | |
| J'ai beaucoup aimé les deux textes, mais sans hésité, mon choix se porte sur la création n°2. Le texte est parfait, drôle à mourir, on y retrouve plus l'esprit magique de la chose. Il est bien mieux décrit à mon goût et plus complet. Bref bravo aux deux écrivains de battle!
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Eric Williamson Élève de 2ème année
Nombre de messages : 211 Date d'inscription : 25/02/2012 Feuille de personnage Particularités: Ami(e)s: Âme soeur:
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Elinor Cealtar Élève de 4ème année
Nombre de messages : 500 Localisation : Dans le parc, la bibliothèque, sinon : cherche, tu finiras par me trouver... ^^ Date d'inscription : 21/06/2010 Célébrité : Liv Tyler Feuille de personnage Particularités: Yeux violet, cheveux auburn (châtain avec des reflets roux) Ami(e)s: Emeraude, ma chouette, The Golden Flyers sinon à toi de voir ! Âme soeur: Qui sait ?
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Aure Strangle Elève de 5ème année & Préfète
Nombre de messages : 983 Localisation : Univers>Voie lactée>Système solaire>Terre>Europe>Grande Bretagne>Ecosse>Poudlard>Dortoirs des Pouffy' Date d'inscription : 31/05/2011 Feuille de personnage Particularités: Que veux-tu qu'une gamine de quatorze ans ai comme particularité ? Ami(e)s: Alex Turner, loup garou de son état. Hannah. J'ai deux amis :D Âme soeur: Obelix
| Sujet: Re: [Sondage] Lunastasia VS Nicolaï Mer 24 Oct - 17:05 | |
| Bravo pour cette belle battle inter Pouffsoufle ! Bravo à Lunastasia,vainqueur de cette battle a l'unanimité ! Et aussi bravoi à Nicolaï pour son texte ! Vous rapportez 35 points à Pouffsoufle ( je suis supra fière de vous !) Les points et la coupe arrive bientôt :D EDIT : voila la coupe : |
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Lunastasia Crossy Élève de 2ème année
Nombre de messages : 140 Date d'inscription : 09/11/2009 Feuille de personnage Particularités: Étripera quiconque l'appellera Lunastasia ! Elle est Luna, rien d'autre... Ami(e)s: Hum... ça va venir. J'espère. Âme soeur: Que... quoi ? Je... *Luna rougit*
| Sujet: Re: [Sondage] Lunastasia VS Nicolaï Mer 24 Oct - 21:26 | |
| Waaaah, c'est génial ! Merci beaucoup =3
Je ne vois pas très bien ce que représente la coupe ? Même si elle est plutôt classe xD 35 points à Poufsouffle, c'est cool ça. Contente de cette battle avec toi, Nicolaï ! |
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| Sujet: Re: [Sondage] Lunastasia VS Nicolaï | |
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