Nathanaël Fleming
Nombre de messages : 407 Date d'inscription : 18/10/2011 Feuille de personnage Particularités: Ami(e)s: Âme soeur:
| Sujet: [Sondage] Ruby Standiford VS Rita Minithya Mar 27 Mar - 16:04 | |
| Rappel de la battle:- Le thème de la rédaction : La demande en mariage de James à Lily!!! - Les consignes particulières : Vous pouvez choisir de vous placez du point de vu d'un des deux personnages ou être un narrateur omniscient. Je vous laisse carte blanche quant aux circonstances de cette demande ainsi qu'aux personnages qui peuvent être présents lors de la scène!!! - Le nombre maximum de mots : Pas plus de 2000 mots (environ 4 pages word) - Le style : Romancé - Les contraintes : Éviter la mièvrerie et trouver une situation originale digne de James! - Autre : Tout est dit, je crois! ____________________ Texte n°1:- Spoiler:
« Lily Evans. »
Sa voix est douce, avec des notes enjouées, comme d’habitude. Ses cheveux, en bataille sur son crâne, virevoltant au vent. S’il parait grave et sérieux, ses yeux pétillent et il a son sourire isolent coincé aux bords des lèvres. C’est James tout craché. Il a un petit rire et plonge son regard dans le mien. Même si je connais ce regard depuis des années, je ne peux m’empêcher de sourire comme une illuminée à chaque fois qu’il se pose sur moi. J’ai envie de le couvrir de baiser, mais reste calme, tentant de dissimuler mon amusement pour ne pas le vexer. Visiblement, il a l’air de tenir au sérieux de cette soirée. Bien que, il faut se l’avouer, sérieux chez James est une notion plutôt… Vague ? Quasi-inexistante plutôt. Il suffit de voir ce soir pour le comprendre. J’étais allongé sur le divan du salon, un livre dans les mains, lorsqu’il débarqua en trombe dans la pièce. Il avait ce sourire qu’il a toujours lorsqu’il prépare un mauvais coup (autant dire qu’il l’avait quasi-tout le temps) et me tendis la main pour me relever. « Met en manteau, on sort ! » Et c’est ainsi que commença cette soirée.
« J’ai jamais été très fort pour les grands discours. »
J’ai un petit rire tandis que James attrape mes mains, avec un pâle sourire d’excuse sur son visage d’enfant. Ça, c’est sûr, l’émotion, les sentiments et tout le bordel, il n’est pas le plus doué pour les exprimer. Ce soir est de nouveau l’exemple parfait. Lorsqu’il m’annonça que nous sortions, j’eu un soupir et grommelai. Qu’est-ce qu’il voulait que l’on fiche dehors à cette heure-là ?! Je tentai de le raisonner. Il était tard, j’étais en pyjama… Mais non, il n’y avait rien à faire. Il me supplia avec son air de chien battu, sans même tenter d’argumenter avec moi. Je devais venir, un point c’est tout. Et il continua à me tirer la main pour me lever, me tendant mon manteau de l’autre main. Je finissais par accepter, parce que c’est toujours ce que je faisais. Lorsque James avait quelque chose en tête, pas question de l’en déloger. Le vent griffa mon visage lorsque je sorti de la maison, mais je ne dis rien. James semblait bien trop heureux pour que je m’énerve contre lui. Il m’attira contre lui, déposa un baiser sur mon front et me fit un clin d’œil. « Accroche-toi » murmura-t-il en me tentant son bras. J’y posai ma main, et avant d’avoir le temps de protester, je me senti aspira dans le vide et atterrit quelques secondes plus tard dans un champ.
« Mais j’aime bien faire des choses originales, tu le sais. »
Nouveau rire de ma part, nouveau sourire d’excuse de la sienne. Bon, l’originalité d’accord, c’est son fort. Ça me fait peur sur les bords, et j’avoue mettre demander ce que nous foutions là lorsque nous pénétrâmes dans le champ désert, éclairé par la lune et les étoiles au-dessus de nos têtes. Je le questionnais mais il refusait de me répondre, continuant de répéter que c’était une surprise, et que je verrais bien ce qui m’attendait. Je trainais un peu des pieds, mais son engouement était contagieux. De plus, j’étais curieuse : que me préparait-il ? Je ne voulais pas essayer de deviner, car il m’avait préparé tant de surprise inattendues qu’avec lui, il était impossible de prévoir. Je me souvenais encore de cette Saint-Valentin où il avait fait un gâteau aux brocolis, car j’adorais ces légumes. Autant vous dire que le résultat n’avait pas été… Brillant. Mais bon, aucune trace de nourriture foireuse pour le moment, donc plutôt bon signe. Nous nous stoppâmes après quelques mètres, et James agita sa baguette dans un murmure. Aussitôt, un balai vola droit vers nous et il l’attrapa d’une main, satisfait. Il se tourna vers moi, un grand sourire aux lèvres, et me fit signe de monter. Je fronçai les sourcils mais acceptais, et il monta derrière moi, m’enserrant la taille tout en tenant le manche devant moi pour nous diriger. James frappa le sol du pied, et nous décollâmes dans la nuit noire.
« Maintenant, demande-lui de s’ouvrir. Il ne répond qu’à ta voix. »
Je regarde le vif d’or que je tenais au creux de ma main. Qu’est-ce que cela signifie ?! Je fronce les sourcils et regarde James de mon air sévère. Lui ne cesse de me dévisager tendrement. J’hésite un instant. Qu’est-ce qu’il contient ? Bon, une chose est sûr, c’est déjà une bonne chose de l’avoir attrapé. Car quand James sortit de sa poche la boule dorée et la lança dans la nuit profonde, je laissai échapper une exclamation. Il me souffla dans l’oreille « Maintenant aide moi à le rattraper. » et donna une accélération à notre monture. Le vent soufflait dans mes oreilles et j’eus un petit rire nerveux. Je n’étais pas aussi à l’aise sur un balai que pouvait l’être James. Ce dernier tourna au-dessus du champ, tandis que je plissais les yeux pour distinguer un éclat d’or. Parfois, je poussai un petit cri en agitant mon bras vers une direction, et le balai accélérait brutalement. Nous rations le vif d’or et j’éclatai de rire, brisant le silence de la nuit. James m’embrassait la joue et me chatouillait les côtes, et je riais toujours. Le balai déviait souvent car James ne le contrôlait pas très bien, trop occupé à me taquiner. Pourtant, je réussis à refermer mes petits doigts sur la boule dorée après trois bons quarts d’heure.
« Ouvre le ! » James est impatient comme un gamin, et moi aussi. J’ai les cheveux emmêlés et un vieux sourire planté sur le visage. Je lui tire la langue, et me penche vers le vif d’or. Le cœur battant, je murmure à l’intention de la balle un faible « Ouvre-toi » Un cliquetis se fait entendre, et elle s’ouvre doucement, révélant un éclat brillant et argenté. Une bague de fiançailles. Texte n°2:- Spoiler:
Jamais il ne s'était retrouvé dans une situation pareille. Tout à fait critique, oui. Le sifflement qui persistait autour de lui ne le gênait pas le moins du monde. Et pour cause, il y était habitué. La provenance de ce sifflement n'était pas identifiable. Visuellement s'entend. Cependant, si on observait attentivement la scène, on pouvait distinguer une forme flou dorée. La chose était tellement rapide qu'il était presque impossible de la distinguer. Alors, vous pensez, l'attraper... Le jeune homme, perdu dans sa grande réflexion réajusta ses lunettes. Il ruminait. Quand allaient-ils donc arriver?! Cela faisait plus de 5 heures maintenant, et bientôt le match!Si ça avait été un autre jour, le jeune homme aurait bien voulus attendre avec patience ses cheeeerrrss compagnons de chambre... Enfaite non, il aurait quand même ruminé, mais là, c'était un jour exceptionnel. Il l'espérait du moins. Il se passa la main dans ses cheveux noirs épais. Il jeta ensuite un regard anxieux, circulaire sur le dortoir. Le lit de son meilleur ami, Siriux Black, Patmol, comme ils l'appelaient depuis qu'il était de venus un animagi. C'était le plus téméraires de tous, et il fallait bien le dire, le plus séduisant. Il avait ce regard malicieux qui faisait tomber toutes les filles. Son lit n'était pas fait, comme à son habitude, et quelques chaussettes, caleçons et autres choses non identifiables le jonchait. Suivait le lit de Rémus Lupin, Lunard, pour ses mais, à gauche. Les lambeaux des rideaux et des draps firent sourire le jeune homme. Son ami Lupin, réservé, avait émis un point d'honneur à garder ces rideaux-ci, jusqu'à la fin de sa scolarité à Poudlard (“Après tout, ils ne peuvent pas aller plus mal”). Le jeune homme était venus à Pourdlard avec la hantise de se transformer en loup-garous et de faire du mal aux autres. Bien heureusement, le jeune homme s'était trouvé de véritables amis sur lesquelles il avait pu compter. Ensuite, continuant de regarder vers la gauche, se tenait le lit de Peter Pettigrow, aussi appelé Queudver. Un homme petit et un peu rondelet qui ne vivait que par eux. Son lit était parfaitement fait, créant un réel contraste entre le sien et celui des trois autres. Il lui était même arrivé un jour de défaire son lit volontairement pour faire comme ses modèles. Il avait vite cessé quand il s'était rendus compte que ce besoin de propreté l'obsédait littéralement. Enfin, son regard se posa sur son propre lit. Il avait placé sa couverture nonchalamment et s'en été contenté. James Potter, Cornedrue pour ses proches, se tenait là, devant tous les souvenirs qu'il avait de ses amis, de Poudlard. De Lily.
Il avait mit tellement de temps à conquérir sa belle, à comprendre qu'il ne pouvait l'impressionner qu'en se changeant lui-même. Cette femme avait changé radicalement sa vie. Ses longs cheveux roux volants au vent, ceux là même qui l'avait impressionné la première fois qu'il l'avait vu. Ses grands yeux verts pétillants d'amusement. Ce sourire sublime qui illuminait ses journées. Une chose était sure, la rencontre avec cette magnifique créature l'avait rendu complètement obsédé et stupide. Il lui était même arriver de passer des heures à écrire son nom sur une feuille, de rater le vif d'or (même s'il l'attrapait l'instant d'après) ou encore de s'entraîner à créer des lilies par la magie. En gros, il était devenu complètement niais et en dépossession totale de ses moyens. Et comme tout homme qu'il était, il avait, pour se faire remarquer de cette jeune fille, fait des choses... stupides. Mais contrairement à ce que l'on pouvait croire, lorsqu'elle passait devant lui, pour cacher son blocage, il se montrait prétentieux et séducteur. Chose qui s'était montré, par ailleurs complétement inutile, car cela énervait la belle rousse. Que dire de Severus alors? Le meilleur ami de la femme qu'il convoitait était un Serpentard. Il avait les cheveux gras, le nez crochus, grand et chétif. Le pauvre garçon n'avait rien pour lui... Pauvre?! Non, bien sur que non, il l'avait elle. Lily. Et à chaque fois que le regard de la jeune femme s'était posé sur son ami Serpentard, James avait enragé. Alors il avait voulus séparer les deux amis. En humiliant Severus. Et en y repensant, James et ses amis avaient étés stupides ( bien que Sirius n'en pipait mot)... A cette époque, il s'était demandé pourquoi la jeune femme ne sortait pas tout simplement avec lui, le beau, le grand, le magnifique attrapeur de l'équipe de Gryffondor, James Potter. Et peut être était-ce cela même qui l'avait rendus éperdumment amoureux de la jeune fille. Cette innocence, cette loyauté, toujours à défendre les autres, presque à ses dépends. C'était précisément au moment où il avait sauvé la vie de Severus que Lily avait changé d'opinion sur lui et avait compris qu'il avait changé. Pour elle.
Le jeune homme sortit de ses pensées lorsque la porte du dortoir s'ouvrit. Un instant, il se figea, pensant que sa petite-amie allait apparaître, mais il affaissa ses épaules quand il vit la tête au sourire provocateur de Sirius. Instinctivement, James prit un coussin de son lit et le balança sur son ami qui n'eut aucun mal à l'éviter, souriant de plus belle.
-Et bien, c'était pas trop tôt! Je devais lui demander avant le match. C'est malin, je fais quoi moi, maintenant?!
-Oh, tu feras ça la prochaine fois. J'étais avec une fille... il haussa les sourcils de haut en bas, si tu vois ce que je veux dire, tu sais, la blonde là, de Serdaigle, je sais pas si tu vois, mais elle a une belle paire de...
Cette fois-ci, Sirius n'évita pas le coussin qui s'écrasa sur son visage.
-Je t'avais demandé d'aller chercher...
-C'est bon, c'est bon, détends toi, j'plaisantais. Comme si j'allais rater ça. Le plus beau refus de toute l'histoire de la sorcellerie. Parce qu'entre nous, je vois pas du tout pourquoi elle accepterait... Non! Non, c'est bon! Lâche ce foutu coussin James! Voilà, en douceur... Bon, ça a pas été facile mais je l'ai!
Sirius plia tout d'abord la carte qu'il tenait dans les mains (“je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises”) puis la rangea doucement dans la poche d'où il sortis un autre objet. Il agita alors la main droite puis l'ouvrit de façon théâtrale, posant un genoux à terre. Une minuscule boîte rouge se présenta sous les yeux de James. Il l'a regarda un instant avant de la saisir et de l'ouvrit. Exactement la bague qu'il avait demandé à Sirius! Bien que tout à fait heureux, James resta perplexe.
-Tu crois pas que c'est un peu...
-Décevant de ta part James, oui, ça l'ait. Et comme je savais que tu allais changer d'avis au dernier moment, la bague c'est du toque, hein, j'ai prix ça, toi tu t'occupes du reste.
James ne comprit pas tout de suite. Ce que lui montrait son ami n'était pas réellement identifiable, ci ce n'est qu'il s'agissait de gros battons en métal. Avant même que James est pu dire quoique ce soit, Sirius lui lança un regard franc et tout à fait sérieux. Fais moi confiance. James le regarda un instant puis se dit qu'il était tout de même bien naïf de laisser son destin être dessiner par ses amis. La porte grinça et apparurent alors Lunard et Qeuedver. Ses deux autres amis, qui avaient bien changés avec le temps. Lupin avait une grande balafre sur le visage, avait prit en taille et en muscle, tandis que Pettigrow était plus dodue que jamais. Bien que la situation était très sérieuse, Lunard s'installa sur le lit de James, regarda la bague et dit tout simplement.
-Bon allez, maintenant, il faudrait peut-être t'entraîner.
-Ohhhhhh, Ma lily d'ammouuurrr, je t'aime tellement! Marions-nous, ayons des enfants ensemble!
Tout le dortoir éclata de rire devant la petite comédie de Sirius qui gigotait comme un fou furieux devant James. Et cela donna suffisamment de baume au cœur et de courage pour que le jeune homme, après avoir enfilé son costume de Quidditch sorte du dortoir accompagné par ses amis. Avec un seul objectif. Que Lily n'oublie jamais ce jour. Son dernier geste fut un mouvement de bras extrêmement rapide et précis. Le sifflement avait disparu, le vif d'or était dans sa main. Non seulement James allait annoncer au monde entier qu'il voulait faire de Lily sa femme, mais en plus, ce jour restera à jamais gravé dans l'histoire du Quidditch de Pourdlard.
Au centre du terrain de Quidditch, James commençait à trembler. Pas parce qu'il faisait un peu froid. Pas non plus face à l'équipe de Serpentard qui arborait un sourire vicieux pour leur dernier match. Il tremblait devant d'anxiété. Quoi de plus normal. Sirius, non loin de lui lui fit un signe et lui mima les mots (“ Tout est OK”) le pouce relevé. James regarda dans les gradins où étaient placés les professeurs et y vit le présentateur du match, un Poufsouffle joyeux et comique qui testait outrageusement le micro, sachant pertinemment qu'il était branché, attirant les reproches des professeurs. Puis de son regard il chercha la personne la plus importante en ce jour. Il la reconnaitrait parmi mille. Ses longs cheveux roux, illuminés par le vert de ses yeux, cette bouche sensuelle, cette petite main qu'elle agitait pour lui et ce magnifique sourire. James aurait pu rester ainsi éternellement, les yeux dans les yeux, avec Lily, qui paraissait au comble du bonheur en venant encourager son homme quand un grand bruit la fit sortir de sa torpeur. Mais à quoi servait ce présentateur par Merlin!? A quoi jouait-il avec le micro?
-Bonjour Mesdames et messieurs! En ce jour où deux équipes se disputent leur dernier match, qui soit dit en passant est remporté d'avance par les Gry!... d'accord, d'accord... Hurm hurm...donc je disais, qu'en ce jour exceptionnel, un homme, dont je ne citerai pas le nom, c'est l'attrapeur de Gryffondor, a une demande très importante à faire. Je vous assure, ça mérite de reporter le match de quelques minutes!
Tandis que de grandes protestations montaient chez les Serpentards, on entendant de nouveau un grand bruit. Tout le monde se retourna vers le Poufsouffle, l'air tout aussi surpris, qui pour une fois, n'avait rien fait. Car le bruit venait du terrain. Sirius avait profité de la diversion de son ami pour installa ses bâtons en métal. Lesquelles venaient d'exploser. Rien de très impressionnant jusque là. Si ce n'est Sirius qui donnait de grand coups de pieds à ces foutus objets, si l'on en croyait ses mots, qui finirent tout de même par libérer de grande lumière rouges et dorées. Des milliers de confettis rouges et or explosèrent dans le ciel tandis que Sirius poussait James a décoller sur son balais. Enfin, les confettis se réunirent pour former une magnifique fleur ainsi que la phrase traditionnelle: “Veux-tu m'épouser?”. Une lilie magnifique et gigantesque. De grands cris explosèrent dans les tribunes des Gryffondors, d'encouragement et d'émerveillement. Dans un élan de courage, James décolla, fit le tour de la fleur et s'arrêta devant la tribune à laquelle Lily était penchée. Elle le regardait intensément, des larmes de joie au bord des yeux (même si elle faisait tout pour les dissimuler). James sortit sa baguette et après un lent mouvement de poignée fit apparaître une magnifique bague tige, une minuscule lilie rouge au centre.
-Lily... ça fait longtemps que je voulais te le demander, tu es la femme la plus belle, la plus merveilleuse que j'ai jamais connu... Je sais que je ne te mérite pas assez... et...
-ON ENTENDS RIEN!
-Il est en train de faire sa demande, vous pouvez pas la fermer!? cria le Poufsouffle dans le micro.
James en perdait tellement les moyens qu'il allait finir par tout faire rater. Lily, à la fois surprise et émerveillée par le courage, par la témérité de James n'hésita pas. Elle posa ses mains sur le visage du jeune homme, dit un simple “Oui” et l'embrassa avec toute la tendresse et la fougue que me le moment évoquait. Cela valait tous les discours du monde. James, quelque peu abasourdie éclata ensuite de rire, suivit par Lily et par tous les applaudissements du terrain. Les gens sifflaient, s'agitaient, même quelques Serpentards ( surtout les filles) souriaient, une larme aux yeux. La fleur en confettis s'était mise à danser, modifiant son texte en “Oui”. James passa la bague au doigt de son épouse et ferma un instant les yeux de bonheur front contre front. Enfin, et comme les Serpentards s'impatientaient, le commencement du match fut annoncé.
Ce n'est que quelques temps après que fut placé en vitrine la coupe de meilleur attrapeur de l'histoire de Poudlard. Avec un nom gravé dessus et une minuscule, presque invisible, lilie sur le côté. James Potter.
____________________ Félicitations aux deux participantes! Vous avez jusqu'au mardi 3 avril pour voter, alors go, go, go!!! |
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