Ruby Standiford-Wayland Apprentie à Sainte Mangouste
Nombre de messages : 2205 Localisation : Cachée. Date d'inscription : 03/09/2011 Feuille de personnage Particularités: « and from the rain comes a river running wild that will create an empire for you. » Ami(e)s: Lizlor; « Maybe home is nothing but two arms holding you tight when you’re at your worst. » Âme soeur: « Lover, when you don't lay with me I'm a huntress for a husband lost at sea. »
| Sujet: [Sondage] Aure VS Serghei Mar 4 Sep - 11:18 | |
| Rappel de la Battle. - Ruby Standiford a écrit:
- Il n'est jamais trop tard comme on dit... Mon premier sujet de battle, n'est-ce pas magnifique? Ahem, breeef, pour vous les p'tits chou c'est parti! ♥
~ Le thème de la rédaction : Alors bon comme on est en été, c'est les vacances, blablabla, j'aimerais un texte où vous décrivez un départ en vacances. A la mer, la montagne, chez les grands parents, bref comme vous voulez. ~ Les consignes particulières : La rédaction doit comporter le mot... Stéthoscope. ~ Le nombre maximum de ligne : Je pensais une page word minimum, du reste c'est à vous de voir, ce n'est pas un roman non plus hein ~ Le style : A vous de choisir également! Cela peut-être poétique comme humoristique, finir même en drame avec un crash d'avion si vous voulez ~ Les contraintes : Alors alors... Ben y en a pas vraiment. Vous choisissez si vous préférez écrire à la première ou la troisième personne. ~ Autre : Vous pouvez choisir un départ en vacances moldus ou de sorciers, ce qui vous inspire le plus!
Voilà, la date limite est le trente août, si il y a un quelconque problème de timing (vu que la battle date un peu, si vous partez en vacances et tout) vous m'envoyez un MP! Et bien sûr, ma boite aux lettres attend vos créations avec impatience, bonne chance! Premier Texte:- Spoiler:
C'était tous les ans la même chose. Il faut toujours que ma soeur Marion hurle quand je lui emprunte quelque chose. Quand on était tout petit déjà elle hurlait quand je prenais ses jouets. Voyez-vous, cela n'a rien à voir, mais ma petite soeur avait demandé une valise de médecin à Noël, il y a plus une dizaine d'années. Il y avait tout pour devenir un parfait petit docteur là-dedans. Une seringue en plastique, un marteau toujours en plastique (parce que le plastique c'est fantastique et le caoutchouc... oui enfin vous connaissez la chanson). C'était vraiment bien fait n'empêche, il y avait des compresses, un thermomètre et même le bidule tout froid que les médecins vous collent dans le dos ou sur la poitrine sans prévenir. Ah, oui ! Un stéthoscope... Enfin tout ça pour vous dire que je n'ai jamais pu approcher cette trousse à moins de trois mètres sous peine d'être assourdie par des hurlements stridents et aujourd'hui si elle criait comme un cochon qu'on égorge c'était parce que je voulais lui emprunter un de ses paréos. Et des paréos elle en avait au moins quatre et « comme par hasard » c'est celui que je veux prendre qu'elle a décidé d'emporter pour les vacances.
De toute façon à chaque fois qu'on partait en vacances, c'était la guerre. Mes parents avaient déjà fait leurs bagages depuis une semaine et ils n'arrêtaient pas de nous répéter que Marion, les jumeaux et moi devions faire de même pour éviter que cela soit la panique la veille du départ. Comme d'habitude on ne les avait pas écoutés et comme d'habitude ils ont eu raison. Nous étions la veille du départ et c'était la véritable panique parce que rien n'était prêt. Les jumeaux ont travaillé en équipe et ils bouclèrent leurs valises en moins de deux heures. C'était l'efficacité façon jumeaux quoi. Ils n'avaient même pas besoin de se parler, cela me faisait peur parfois. Et je me suis même demandée s'ils étaient vraiment humains. En ce qui concerne ma propre valise ce fut déjà beaucoup plus... compliqué. La première fois, j'avais pris trop de vêtements et la valise ne se fermait pas même en s'asseyant dessus. La deuxième fois, alors que je pensais l'avoir correctement remplie et après l'avoir fermée à l'aide de mon cadenas, je retrouvais ma trousse de toilette trônant paisiblement sur mon oreiller, me narguant presque. Pour la troisième tentative, il me manquait mes livres. La quatrième fois mes chaussures Après quatre heures de lutte acharnée et huit tentatives infructueuses, ma valise fut enfin bouclée. J'étais la dernière à poser ma valise dans l'entrée. J'ai envie de dire : comme c'est bizarre ! Enfin nous allions pouvoir partir demain matin quand la lune règnera encore en maître dans le ciel. En attendant impatiemment le départ, j'allais pouvoir diner et je pouvais humer la bonne odeur des spaghettis bolognaise et du basilic rien que d'y penser.
La soirée c’était bien passée, pas de disputes et tout le monde au lit de bonne heure. C’était ce matin qui était plus difficile. Il était trois heures quand ma mère est venue me lever. Difficile, très difficile. Pour une fois Marion ne monopolisa pas la salle de bain et se contenta de faire comme tout le monde, c’est-à-dire se coiffer, s’habiller et prendre son sac. Je vérifiais que j’avais bien de l’argent et surtout ma musique, car il était hors de questions que j’écoute les musiques ringardes de mon père. Musiques qui raisonneront à dix heures pétantes… C’était tellement prévisible que je préférais en rire. Quatre heures et demie, les valises étaient dans la voiture familiale, les jumeaux avaient leurs consoles, Marion s’était rendormie et je sentais que j’allais faire de même dès que mon doigt pressa le bouton lecture de mon MP3. Mes paupières se fermèrent doucement et je sombrais dans une agréable inertie.
Le réveil fut brutal, encore plongée dans ma léthargie, un de jumeaux me secoua comme un prunier en me disant qu'on était arrivé. Avais-je dormi tant que ça ? Sans manger ? J'étais au courant du fait que je puisse parfois être comme une marmotte en hibernation lorsque je dors, mais j'étais sceptique sur le fait d'avoir dormi pendant les mille kilomètres séparant la maison principale de la maison de vacances. La lumière du jour m'aveugla un instant et je dû plisser les yeux un moment avant de m'y habituer. Un coup d'oeil succinct sur mon téléphone m'indiqua qu'il était un peu plus de neuf heures trente. Et lorsque les portières s'ouvrirent on pouvait entendre le bruit des voitures qui filaient dans le vent. On était bel et bien arrivés, mais sur l'aire d'autoroute pour prendre le petit déjeuner. Mon père nous annonça qu'il nous restait plus que huit heures de routes avant d'atteindre la côte sud-ouest du pays... Plus que huit heures, mais avec les pauses toilettes ou pas ? Je haïssais les trajets en voitures et si on ne s'arrêtait pas souvent pour arriver plus tôt, j'allais avoir mal aux fesses et vu le bouchon dans lequel on s'était retrouvé après le petit-déjeuner c'était très mal partie... Help ! SOS ! Ma vie pour le don de téléportation !
Deuxième Texte:- Spoiler:
-MAMAN ! Hurlais-je prise de panique- Maman je ne retrouve plus la couverture de survie ! J'étais proche de l'hystérie. Demain, je partais en vacances avec des amis. Au menu : Camping et rando' dans une forêt surpeuplée d'être magiques en tout genre. Des inoffensifs comme des dangereux... Bonjour l'angoisse. Et encore on avait bien fait attention au calendrier : pas de pleine lune pour la semaine annoncée, c'était déjà ça. Pour autant quand je voyais l'insouciance- l'inconscience, plutôt ? - de mes compagnons de voyage je ne pouvais m'empêcher de penser qu'il allait nous arriver quelque chose : Certainement alors qu'on dormirait près d'un lac, un Strangulot viendrait nous attirer au fond de l'eau. Ou bien des feu follets essaieraient de nous perdre et de nous emmener vers des dangers encore plus grands.
- Bon qu'est-ce qu'il y a Miranda ? Me demanda ma mère, adossée dans l'encadrement de ma porte.
- J'ai plus envie d'y aller, on va tous mourir, commençais-je à geindre.
Elle leva les yeux au ciel et soupira : être ma mère devait vraiment être compliqué parce qu'il me semblait qu'elle avait toujours eut cette expression gravée sur le visage. Pourtant, je ne faisais pas semblant j'avais vraiment peur : Jack avait dans l'idée de nous faire connaitre l'aventure avant de rentrée en septième année à Poudlard. Bien sûr cela avait ravi Luke, Amelia et les autres. Mais pas moi : Bon sang je n'étais pas une Gryffondor ! De plus Jack nous avait bien précisé qu'une partie du sentier qu'on allait emprunter ne serait pas balisée. Vous comprenez maintenant que l'on puisse avoir peur quand on était la seule Serdaigle ? J'étais la seule d'à peu près sensé du groupe. C’était pour ça que j’avais pris le strict minimum de survie : aspi-venin, désinfectant, pansements, bandes, kit de sutures (même si je n’étais pas très douée en couture), médicaments contre le mal de tête, les vomissements, la fièvre, le mal de ventre, Bezoard. Et si je remettais la main dessus : la couverture de survie.
Comment ça j'en faisais un peu trop ? Vous pensez ça simplement parce que vous ne connaissez pas la bande d'énergumènes que je me coltine H24 à Poudlard ! Amélia n'a aucune mémoire, si bien que c'est toujours moi qui lui rappelle ce qu'elle doit faire et où elle a mis telle ou telle chose. Luke c'était le gryffondor dans toute sa splendeur : « Je suis fort et courageux. J'aime en découdre. Viens te mesurer à moi l'ours ! ». Jack... C'était Jack, il n'avait aucune conscience de ce qu'il faisait. En tout cas il mesurait rarement l'ampleur de ses projets avant de se retrouver dedans. Et connaissant Tony il aurait surement oublié de prendre des provisions et on serait obligés de partager les nôtres. Et bien sûr, conformément au secret magique, aucun de nous ne pouvions faire de magie, car personne n'avait dix-sept ans. Fuck my life, on allait tous mourir, c'était certain maintenant.
- Miranda, la couverture de survie est là, sur le coin de ton bureau. Me désigna maman qui m’observait délirer toute seule.
Je la remerciais d’un signe de la main, attrapais la couverture et la fourrais dans mon gros sac à dos rouge. Ou du moins j’essayais car il ne restais plus beaucoup de place dans mon sac. Pourtant j’avais fais des recherches sur ce que les moldus appelaient « internet » et les ceux qui pratiquaient la randonnée prescrivaient bien que les deux ennemis du marcheur débutant était le poids du sac et une vitesse de marche trop élevée : Génial, mon sac était trop chargé, et connaissant les copains on était assuré de cumuler les deux bêtes noires du randonneur.
- Bon allez, maintenant viens manger, m’ordonna ma mère.
Je me levais à contrecœur : je devais encore vérifier le contenue de mon sac, tracer notre itinéraire, et relire les pages de mon livre au sujet des créatures qui se trouvaient dans la forêt où nous partions. Bref, je n’avais vraiment pas le temps de manger ! Mais je préférais ne pas contrarier ma mère : c’était rarement une bonne idée.
A table mon frangin dédaignait à merveille la sorte de choux écrasé que ma mère avait préparé. Mon père jouait à la perfection le mari en extase devant les plats de sa petite femme et ma petite sœur… Ben étant donné qu’elle avait deux ans elle avait la chance de manger des pâtes…
- Alors ma chérie ton sac est prêt ? Me demanda mon père un sourire aux lèvres.
Je lui lançais un regard désespéré du style : Au secours papa. Et visiblement ma détresse sembla le toucher car il ajouta:
- On s’en occupera après le repas. Et ensuite je te donnerais quelques conseils pour survivre en milieu sauvage… D’ailleurs ca me fait penser je vous ai raconté la fois où avec oncle Cyril on s’était retrouvé encerclé par des loups ?
Et c’est repartit : Mon père nous racontait encore une fois ses histoires de jeunesses. Bien sure je les adoraient, mais à la longue j’aurais put les raconter tout aussi bien que lui : j’en connaissais les moindres détails. Ecoutant distraitement je me forçais à avaler l’infamie culinaire de maman : elle n’était vraiment pas douée en cuisine… Le repas fini, mon père et moi montâmes dans ma chambre sans demander notre reste. Il demanda à examiner le contenue de mon sac et je sortais donc mes vêtements, ma trousse de secours, mes miches de pains, mes six bouteilles d’eau, mon boites de conserve et mon pot de confiture de citron. Et bien sur mon sac de couchage.
- C’est tout ? Fit papa légèrement ironique. Et dans ta trousse de survie tu n’aurais pas oublié de mettre un stéthoscope tant que tu y es ? - Je le regardais ne sachant pas s’il rigolait ou non : après tout ca pouvait peut-être servir. Mais le grand sourire qu’il affichait m’appris qu’il se moquait de moi : Tu es sure de ne rien vouloir enlever ? Demanda-t-il plus sérieusement.
J’hochais de la tête : tout ce qui était dans ce sac était essentiel à ma survie. TOUT !
- Bon alors je vais tacher de le rendre un peu plus léger.
Et papa lança un sortilège d’extension sur le sac puis un d’allègement.
- Porte-le maintenant.
Je m’exécutais et effectivement il n’était pas plus lourd qu’un sac où on aurait rangé deux t-shirts. Ravie je sautais dans ses bras.
- C’est génial papa merci !
Il me sourit et m’ébourriffa les cheveux.
- Bon maintenant je vais t’apprendre à te débarrasser de certaines bestioles sans avoir besoin de ta baguette. Mais au cas où prends la quand même sur toi :on ne te renverra pas de Poudlard pour t’être défendu contre un lutin de Cornouailles.
Et papa m’expliqua durant une bonne heure tous les trucs et astuces qu’il connaissait et qui pouvait me sauver la vie, il m’aida à tracer notre chemin puis il m’enjoignit de me coucher, ce que je finis par faire. Bien que les conseils de mon père m’aient rassurés j’avais toujours une petite boule d’angoisse au fond de mon ventre. Je m’endormis en répétant mentalement ce que je venais d’apprendre.
Le lendemain au réveil je me forçais à manger un petit déjeuner malgré que l’angoisse qui me nouait la gorge. Il n’y avait que papa et maman, le frangin dormant encore et la petite jouant dans son parc. Tous les deux y allèrent de leurs conseils puis à neuf heures tapantes je sortais, prenais un porteloin en forme de boite de conserves et arrivais … Et arrivais au bord d’une étendue d’eau magnifique. Je regardais mes amis sans comprendre. Leur fou rire ne m’appris rien de plus. Je finis par demander pourquoi nous n’étions pas à la lisière d’une forêt dangereuse et infestée de créature malfaisante et ce fut Jake qui m’informa de leur… « Blague » :
- On voulait te faire une surprise : tu es un peu parano tu sais ? Du coup on s’est dit que ce serait drôle de te faire croire qu’on allait vivre une aventure dangereuse. Et tu n’as pas marché tu as carrément courut !
Luke surenchérit :
- Tu as pas sérieusement crut qu’on ferait ça avant d’être tous majeur et de pouvoir emmener nos baguettes quand même !
Je revenais à la raison :
- Vous êtes vraiment con ma parole ! J’ai rien pour me baigner ! M’écriais-je, leur jetant un regard noir.
- Tes parents étaient dans le coup, m’apprit Amélia, toute les affaires dont tu as besoin sont dans ton sac.
Méfiante je m’assurais de ses dires en ouvrant mon sac : effectivement il contenait tout ce qui fallait pour une vacance au bord d’un lac. Mes parents avaient dut en changer le contenue durant mon sommeil. Je souriais pour la première fois depuis ce début de journée et regardais mes amis : finalement ces vacances n’allaient pas se réveler si dangereuses et angoissantes que ca. A moins que… Mon esprit se pencha sur toutes les catastrophes qui pouvaient arriver avant que je ne les chassent : non tout allez bien se passer… Enfin j’espère. Voilà, bravo aux deux participants! Vous avez jusqu'au 12 septembre pour voter, je compte sur vous! ♥ |
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Casey Roberts Élève de 3ème année
Nombre de messages : 389 Localisation : Je cherche encore le plan de l'école, avec «Vous êtes ici» indiqué d'une croix rouge... Date d'inscription : 14/12/2011 Feuille de personnage Particularités: Âmes sensibles, s'abstenir. Ami(e)s: Les autres. Mais avant, il y a Sasha. Âme soeur: Dans tout les cas, il vaut mieux qu'il ait une grosse boîte de mouchoirs en papier... Mais je crois que Seb a prévu le stock ..!
| Sujet: Re: [Sondage] Aure VS Serghei Mar 4 Sep - 23:04 | |
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Amy Strasberry Élève de 3ème année
Nombre de messages : 355 Localisation : Je dirais, entre la réalité et le rêve ou encore la folie et la paresse en tout cas un endroit ou le calme n'a pas sa place. Date d'inscription : 30/07/2011 Feuille de personnage Particularités: Euh ... Déjanté ? Ami(e)s: Je ne suis pas complétement associale ... oui j'ai des amis Âme soeur: Je n'aime personne ! And I hate you !
| Sujet: Re: [Sondage] Aure VS Serghei Mer 5 Sep - 11:21 | |
| J'ai beaucoup aimé les deux textes, bien qu'il soit dans des styles très différents. Le premier montre à merveille la préparation nécessaire aux vacances familiale . Cependant j'ai préféré le coté humoristique du deuxième, Miranda est complètement paranoïaque et angoissé, de plus la chute et vraiment géniale Je vote donc pour le texte numéro 2 Bravo aux deux participants !!!! |
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Ana Falkowsky Élève de 6ème année
Nombre de messages : 1098 Localisation : Cachée, et ne t'avise pas de venir m'embêter. Date d'inscription : 19/01/2012 Feuille de personnage Particularités: Ami(e)s: Eh bien pas si peu que ça à la réflexion... Je sais, ça mnque un peu de crédibilité pour une ex-solitaire. Âme soeur: Et si il ne m'aime pas en retour, ça compte quand même ?
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Ruby Standiford-Wayland Apprentie à Sainte Mangouste
Nombre de messages : 2205 Localisation : Cachée. Date d'inscription : 03/09/2011 Feuille de personnage Particularités: « and from the rain comes a river running wild that will create an empire for you. » Ami(e)s: Lizlor; « Maybe home is nothing but two arms holding you tight when you’re at your worst. » Âme soeur: « Lover, when you don't lay with me I'm a huntress for a husband lost at sea. »
| Sujet: Re: [Sondage] Aure VS Serghei Jeu 13 Sep - 19:28 | |
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| Sujet: Re: [Sondage] Aure VS Serghei | |
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